Journal de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps

 

        

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DE LA SHNOUF DEVANT LA MAIRIE (suite)

 

 

 

 

 

 

 

MAJ 03.11.2016 : On en apprend de belles à propos du fameux tournage de C8 au commissariat de Lisieux. Il a eu lieu en fait il y a deux ans. Notre chance pour la France Sénégalaise (31 ans, originaire d'une enclave de non droit de Dreux, nom de code "Diop") aurait écopé d'un an ferme en 2015, non exécuté cela va de soi. N'y voyez aucune lâcheté façon Flamby, il n'y a plus de place dans les prisons. Le verdict étant rendu au nom du Peuple Français ou ce qu'il en reste, est donc public. Le cas est intéressant pour savoir effectivement ce que contenait ce jugement (amende ou pas, saisie de la "baraque", sa planque près d'une passage à niveau de la ligne Lisieux Deauville, etc...). En effet, la tôle c'est une chose, le plumer fiscalement et par une amende salée pour rentrer dans nos frais de "vieux sang pourri" (t'as vu ton cul, la grosse à Sarko ?) en est une autre. Une petite interdiction de séjour peut être, avec un zeste de reconduite à la frontière à ses frais, parce qu'en tant que contribuable, ça va bien ?

Toujours est il que ce charmant produit de la diversité se baguenaudait en ville sans oublier quelques doigts d'honneur au passage devant les cow-boys en grève de mon grand copain du commissariat, en cours de remplacement à ce qu'il se dit.

Il a finit par se faire "pécho" en ville, avec 0.98gr dans la musette. L'individu, dans le film de C8, se disait particulièrement imprégné. Ecraser les gamins des sens-dents alors que l'éducation du sien est financée par son petit bizness au schwartz n'a pas l'air vraiment de l'inquiéter. Vu la dose, il a refusé de se faire dépister à la chnouf, de la bonne de son fournisseur Marocain (rappel 100000€ d'achat), un pote aux trois ministres issus de la cuisse du commandeur des croyants. L'ECHO JOLI n'était pas vraiment au courant des moeurs financiers de cette pègre, s'imaginait bêtement qu'il payait cash, comme tout bon commerçant souchien enregistré et honnête, plumé par le conseil général qui versait glorieusement le RSA à ce bachi-bouzouc. Bah non, on se fait crédit, c'est aussi beau que de l'économie solidaire gaucho-boboïde. Avantage pour le fournisseur : au cas où les versements tardent, une kalach sert d'huissier.

Alors qu'on aurait pu un peu rigoler, la gribouille de service du Pays d'Auge a titré sobrement, politiquement correct du vivre ensemble, alors qu'on aurait pu avoir une accroche plus marrante : "La vedette de l'émission "Au coeur de l'Enquête" à Lisieux de C8 mise au trou" ou "Le Proc obligé d'embastiller le multi-récidiviste". Car c'est quand même un peu ça qui s'est passé, des fois, le dernier des murdeconisateurs peut être un peu coincé, et appliquer la loi. D'autant plus que vu les propos tenus par les poulets sur les chaînes de réinformation de You Tube, il y a un moment où on sent que le peuple souverain pourrait bien demander des comptes, avec mesures individuelles.

L'histoire ne dit pas ce que sont devenus les autres protagonistes. Ont ils rejoint leur grossiste ? Où en est la radicalisation ? 

 

 

 

 

 

MAJ 04.10.2016 : Infoutu de me souvenir où et quand j'ai été informé du passage de ce film, rien trouvé dans la presse papier locale sauf erreur, en fait il me revient que je suis allé par hasard sur le site du Pays d'Auge, qui en a causé le 27 alors que le film est passé le 24. En omettant bien sûr de préciser le lieu du trafic, des fois que Nanard se fâche. Alors que pour une fois qu'on parle de Lisieux, ça aurait dû être annoncé à sons de trompes. Bon c'est vrai que cette histoire n'est pas reluisante. 

 

 

 

MAJ 03.10 : Le film "AU COEUR DE L'ENQUETE" (Chaîne C8, groupe CANAL+) tourné au commissariat de LISIEUX, a finalement été sucré de la page internet de la chaîne. Bravo la liberté d'expression et l'omerta. Il faut dire que roitelet, dont le peu de crédibilité qui lui restait est partie en fumée, comme un joint de popo-marocco, a dû remuer ciel et terre et accessoirement le popotin de sa directrice de com pour faire supprimer cette preuve accablante de son incurie.

D'après un gentil jeune consommateur et des riverains interrogés, le lieu était connu comme super-marché de la beu --"ça grenouille"--, devant la mairie, à 100m du bureau du proc et à 200m des joyeux fonctionnaires baba cool de la "maison des addictions" et son toubib de choc. Franchement bravo les gars.

Pas certain que mon grand copain Garcia ne se soit pas fait remonter les bretelles pour divulgation de méthodes de travail policières.

Avec en prime la tronche des fins limiers de la BSU, dont j'ai affiché la bobine sur mon mur de cons à moi. On sait jamais.

J'ai suffisamment pris de notes pendant mon visionnage pour pouvoir poser une foule de questions.

En effet, le film se termine en eau de boudin et queue de poisson. Si "Diop" a été mis au trou en attendant son procès, pour s'être fait gauler en flag deux jours après sa sortie triomphante de garde à vue, on ne sait pas ce que sont devenus quatre autres membre du réseau : le crétin qui s'est fait choper comme un bleu en ville, la fille de l'hôtel, l'homme à la Mégane bleue, l'homme à la BMW qui reçoit sa livraison par les airs, et celui qui lui a balancé le paquet. Sauf erreur, vu la trajectoire du paquet cadeau, elle ne provenait pas de la cage d'escalier de l'immeuble (j'y suis allé), mais d'un appartement (voir cliché). Ce complice de Diop est il une simple nourrice ? S'agit il éventuellement d'un autre réseau ? Un manque de curiosité certain !

Il y en a un aussi qui passe pour une bille, c'est Jean Léonce Dupont. Bon, cette sale affaire a pour avantage de lui confirmer qu'il a eu bien fait de sucrer sa vice-présidence du conseil général à ce "bon à rin" de maire de Lisieux et sa Pimprenelle (dont on n'entend plus parler). Mais le Jean Léonce n'arrête pas de pleurnicher et de se lamenter, de psalmodier comme un mort vivant "Mon RSA, Mon RSA", tel l'avare de Molière. Le RSA lui plombe son budget et va mettre à genoux le département. Pas grave on tondra un peu plus le contribuable.

Si Diop touchait le RSA (avoué dans le film), qu'en est il des quatre autres et de l'ex qui crèche dans le pavillon "la baraque" ? Elle touche les allocs mamie pour le gosse et pendant qu'on y est l'allocation logement ?

Est il normal de se mettre au frais pendant six mois au pays natal et de continuer à recevoir notre pognon ?

En admettant que le réseau de revendeurs de terrain ne comportait que quatre bicraves, qui avouent une plaquette (plutôt deux ?) par semaine comme la fille, soit 4x4x600 par mois de chiffre d'affaire, sans TVA = 9600 à 15000 on va dire. Là dessus la tête de réseau, le Sénégalais au RSA, touche, par le jeu des marges, 25%, soit 2500 à 3000€ par mois.

Le Jean Léonce va t'il avoir assez de couilles pour réclamer le remboursement du RSA versé aux voyous ? 

Le proc se fera t'il une joie de balancer ces escrocs qui se font entretenir par les babtous et les kouffars que nous sommes ?

Le fisc va t'il s'en mêler et taxer la tronche à ces zombies ? Il a une "baraque" à saisir nom d'un petit bonhomme.

Ce serait mérité, car enfin le "Diop" élève son gosse en détruisant ses petits camarades de classe. Abject personnage. Allez hop, dehors après avoir purgé (double peine supprimée par Sarkozy).

Bon, et les procès publics c'est pour quand qu'on se marre un peu ?

Autre détail cocasse, à un moment une hirondelle de faubourg signale aux cow-boys en planque que notre tirailleur se baguenaude en ville. Comme par hasard ils tombent sur lui du premier coup dans le jardin de la mairie. Donc ils savaient parfaitement où le trouver. C'est pas beau de bidonner !

 

 

Le jet du paquet de drogue de l'immeuble devant la mairie, depuis un appartement, et le dealer avec son véhicule. Incroyable !

 

 

MAJ 11.10 : La drogue a bien été balancée d'un appartement...

 

 

 

 

MAJ 29.09 : Le film "AU COEUR DE L'ENQUETE" (Chaîne C8, groupe CANAL+) tourné au commissariat de LISIEUX est finalement disponible sur facebook, le lien a été posé sur ma page : (NDLR, supprimé le samedi 1er octobre).

Je vous le laisse découvrir, et, un conseil, asseyez vous avant de commencer. C'est en effet gratiné. On y perçoit le boulot des cow-boys de mon grand copain Garcia, et la montagne de travail qui accouche d'une souris.

Le suspect n°1, un black surnommé "Diop", un Sénégalais, probablement bi-national, une ordure qui se fait du blé sur la santé de nos jeunes, et plombe la sécu pour les soigner, est en vedette. Baisé comme de la bleusaille chez son "ex", qui réside près d'un passage à niveau vers Pont l'Evêque, pavillon bon chic (payé par l'argent de la drogue ?).

La saisie et l'expulsion de cette bonne femme c'est pour quand ? Le loustic était au RSA. Avec mon fric. Il serait en tôle (pour récidive deux jours après sa libération) en attendant son procès. Ce fumier de drogueur, touche t'il toujours le RSA en tôle ? Sera t'il déchu de sa nationalité Française s'il l'a ou se faire sucrer sa carte de séjour, et interdit à vie en France ?

Plus dantesque, le lieu de deal était le petit jardin face à la Mairie. Ce qui a permis aux perdreaux de l'année de l'observer du deuxième étage, dans des bureaux... vides, j'ai compté six écrans inutilisés. Bonjour la gestion du petit personnel par le roitelet.

Personne évidemment ne s'est étonné de voir des zombies zoner devant un des symboles forts de la République, la mairie, en plein centre ville, au pied de la cathédrale millénaire, une excellente couverture finalement (pas facile de planquer, plusieurs issues dont la cathédrale, faut leur courir après à pieds...).

Une des salopes de "dealeuse" du réseau (une blondasse) résidait à l'hôtel Albatros, rue Henri Chéron/Bd Victor Hugo, avec son gosse et son porte-bite. C'est la grand-mère qui a récupéré le chiard quand elle s'est fait embarquer.

Maintenant que Diop est au gnouf (peut être ressorti d'ailleurs par un murdeconisateur), qui l'a remplacé et où ont lieu les deal ?

Mystère. A suivre. Au jardin public sous les fenêtres du proc ? D'ailleurs si ça se trouve, ça a recommencé devant la mairie.

Bref, le roitelet est aveugle, son adjoint à la sécurité, Monsignore Daniel, est une brêle qui l'a bien profond, on ne lutte pas contre la drogue avec un goupillon.

Les guignols du CCAS (maison des addictions) passent littéralement pour des cons.

Regardez vite avant que cette vidéo accablante pour la municipalité et les murdeconisateurs ne disparaisse.

Si vous avez des talents de hackeur, les jeunes, merci d'essayer de me récupérer une copie.

 

LES COW-BOYS DE MON GRAND COPAIN GARCIA

 

MAJ 28.09 : Ont été filmés par la chaîne C8 (Groupe Canal+) dans leur oeuvres (Au Coeur de l'Enquête). Je n'ai vu que le début sur un piratage You Tube viré ce matin, le podcast ne marche pas chez moi (ndlr : finalement récupéré sur facebook). La victime, enfin le premier dealer gaulé par les keufs est vraiment le roi des cons : il se fait choper (au faciès ?) par hasard, les keufs lui rendent ses portables, qu'il continue à utiliser. Avantage de ce film : on voit la tronche des poulagas du commissariat, ça peut servir de les reconnaître. Autre enseignement : il y a un marché florissant, une maison des addictions en dessous de tout, et un maire qui s'en tape. 

A suivre....