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2015
MISE
À JOUR DU 15.12.2015
PIMPRENELLE
BIBLIOTHÉCAIRE ?
MAJ
du 02.07 : Pour ne rien arranger, le maire, Christian Mauduit, qui
ne peut rien refuser à Nanard, sous peine de se faire couper les c.. pardon les
subventions, est à la retraite. En plus il fait du vélo, gare aux troncs. Aux
dernières nouvelles, il y aurait eu des candidats à qui "on" aurait
répondu qu'il n'y avait "pas de poste à pourvoir". Si quelqu'un d'un
peu teigneux postule, merci de contacter l'Echo Joli, on sait jamais, des fois
que les règles d'embauche dans la fonction publique puissent être respectées.
MAJ
du 29.06 : C'est pas encore très clair, mais il n'y a pas de fumée sans
feu. Certains se sont étonnés de voir traîner notre diaphane binôme à son
"parrain" Nanard du côté de l'école primaire de Beuvillers, où
madame mère a son petit boulot peinard. Il se trouve qu'un pot de départ à la
retraite de la bibliothécaire a eu lieu vendredi. Border limite gros piston en
famille pas vraiment élégant si notre miss est embauchée, sans qualification
justifiée ça va de soi, car le coup du diplôme de psycho cité dans la
profession de foi personne n'y croît. L'usurpation de titres n'est pas une
nouveauté, surtout au parti socialiste (cf Cambadélis).
D'ailleurs
si c'était vrai, l'Echo Joli se ferait une joie de publier. Bon, en attendant,
la chérie à son parrain entame ainsi une brillante carrière de cumularde
comme son "protecteur".
A
suivre.
AUBRIL
SUR LA TOUCHE AU CG
MAJ
du 09.04 : Il est évident que l'article ci-dessous est en partie
erroné, du fait que les petites souris de l'ECHO JOLI n'étaient pas dans la
salle de bain de la victime aux aurores.
MAJ
du 02.04 : Une petite souris bénévole a assisté ce matin aux ébats de
la nouvelle assemblée départementale. Même si un peu d'ambiance va être mise
par l'enjuponnement forcé, on ne déroge pas aux bonnes habitudes, qui
consistent dès le lundi, voire les deux jours suivants, en des tractations de
Jésuites pour se partager les bonnes places de vices-présidents en fonction de
critères que seuls les spécialistes de la Curie Romaine pourraient comprendre.
L'épaisse
moquette et les portes matelassées amortissent les éclats de voix.
Comme
il faut partager les places avec les porte-foufounettes, chez les porte-zizis on
doit se sacrifier. Coup de bol, beaucoup de sortants atteints par les limites de
la sénilité sur lesquelles le viagra n'a plus d'effet ne sont plus sur les
rangs.
Mais
il fallait au moins un sacrifié chez les vices-présidents. Et bien, l'Echo
Joli a été prémonitoire dès son édito du 25/03, c'est Nanard
qui a été écartelé. Et est donc le seul vice-président à perdre sa
place. C'est des sous en moins, mais comme il était plafonnés (12000€ par
mois à la grosse), ce sera compensés par les impôts des Lexoviens. Pas
étonnant qu'ils aient voté 300000€ en cas de coup dur, et ça s'en est un.
Mis
au piquet, vexé comme un pou qui vient de se prendre une dose de Marie Rose, il
s'est fait porter pâle : le président de séance l'a classé
"souffrant" en rigolant, et les autres n'étaient pas en reste.
Pourtant au conseil mardi, il n'était pas à l'article, et a même pu à loisir
se soulager la prostate vu qu'il a été prié de sortir deux fois.
Du
coup, il s'est privé d'une arrivée glorieuse dont il fantasmait sans doute
quand il a choisi sa miss. Quand on est un vieux schnock de 65 piges, descendre
du carrosse municipal financé par les sans-dents au RSA payé par le conseil
général, et grimper les marches façon festival de Cannes à la Zizi Jeanmaire
au bras d'une poupée Barbie dans des atours transparents, ça classe son
Berlusconanard chez les bouseux. Ladite poupée, qui découvre ce qu'est une
démocratie, est donc venue toute seule. Mais "papymadit" a voté
comme il faut : blanc. Le seul bulletin blanc, donc on sait que c'est elle.
Remarque, c'est le seul bulletin où t'es sûr de ne pas te gourer, pour les
autres il faut savoir lire (blague machiste, c'est un style).
Commencer
par un dépucelage démocratique aux forceps, c'est pas bon signe. Mais bon, à
2200€ par mois (en fait 900€ ?), on va pas non plus cracher dans la soupe. Des mauvaises
langues nous rapportent qu'elle se serait étonnée de la forme de la salle, et
de l'absence d'estrade. On voit d'ici Jean Léonce en train onduler du
postérieur pour présenter des slips de bains de la collection d'été pour
hommes, enfin pas tous.
Comme
je le prévoyais, cette pantalonnade va coûter très cher à Lisieux, car en
plus, nous sommes cernés, les élus des cantons qui nous entourent sont, eux,
vice-présidents, dont le bellâtre de Livarot au poste prestigieux des
finances, qui peut pas nous blairer. L'individu étant loin d'être insensible
aux charmes féminins --sauf s'il s'est vraiment rangé des voitures avec la
jolie maman de son rejeton-- nous avons encore des chances d'avoir des miettes,
mais il va falloir beaucoup de dévouement. On a eu des exemples fameux par le
passé. Non, non, pas de nom, parce que là, faut quand même faire gaffe à la
liberté d'expression selon Case de Vide et Adolfo Ramirez.
A
vaincre sans péril,
on
triomphe sans gloire !
MAJ
du 30.03 : Avec 54% d'abstention comme au premier tour, et 12,3% de
blancs ou nuls (au lieu de 5% au premier, la différence est significative),
avec 66%, le Firmin des Marquises et sa roturière des anges n'ont été élus
que par 22% du corps électoral. C'est "mèg". Certes le score est
doublé, mais l'appel déchirant d'une gauche en guenilles et d'une droite
Lexovienne explosée n'a pas fonctionné.
Plus
embêtant pour tout le monde pour la suite, le score FN a lui aussi doublé, ce
qui signifie que de nombreux électeurs ont franchi leur Rubicon.
Personnellement,
j'avais vu juste, de ne pas y aller comme en 2011, la bande de crétins n'aurait
pas manqué de m'accuser d'avoir fait perdre la droite anti-Nanard, là ils se
sont plantés tous seuls comme des grands.
Nos
deux duettistes vont maintenant être noyés dans une assemblée qui compte 34
élus de droite, et pas vraiment dans les petits papiers de Jean Léonce, vu
qu'ils n'ont pas pu bénéficier du label majorité départementale. Firmin nous
en a fait un caca nerveux : me faire ça après 22 ans au conseil ! Et a donc
aggravé son cas.
Toutes
les portes qui permettraient de sauver Lisieux de son naufrage sont maintenant
cadenassées. Même la Clotilde est sûre de perdre sa place aux législatives,
qui ne sauraient tarder si la révolte qui gronde éclate.
Et
ce n'est pas l'ordre du jour sans relief du conseil municipal de demain qui peut
rassurer.
Etrange non ?
ET
MAINTENANT,
QUE VAIS JE FAIRE ?
MAJ
du 26.03 : Donc je suis embêté, et pas le seul. Pesons les avantages et
les inconvénients, là on va faire son maquignon, p'tèt ben qu'oui, p'tèt ben
qu'non.
AUBRIL,
selon quelques témoins, faisait des passages éclair au conseil général, et
n'a pas vraiment engagé de projet majeur en faveur de Lisieux, sinon il
l'aurait chanté sur les toits. Il rate tout, la liste est longue, se fait
reclaquer ses dossiers, strictement rien n'a avancé depuis son élection à la
mairie, les pancartes A VENDRE et A LOUER fleurissent à foison (c'est assez
incroyable d'ailleurs). Il doit donc être bien vu, dans le sens où il
n'a pas besoin de quémander des financements, pendant ce temps là les
marquises de la Côte se goinfrent et ses copains se marrent.
Déjà
il n'y arrive pas avec la ville et LINTERCOM, mais là se rajoute un canton
pratiquement multiplié par trois, rien qu'à faire les repas de petits vieux et
quelques cérémonies, t'es occupé tous les WE, pendant ce temps là le
véritable boulot s'empile. Il ne faut pas compter (au moins au début) sur son
ingénu de binôme, qu'il va devoir quand même trimballer pour amuser la
galerie façon Pont de Vue Image. Car la chérie peut très bien se la couler douce
aux frais du contribuables pendant six ans.
Les
râleurs qui pestent contre les indemnités versées aux élus et leur nombre
pléthorique feraient bien de protester à l'aide de leur bulletin de vote de
devoir rincer une bouche inutile de plus, si pulpeuse soit elle.
Nous
sommes également toujours dans un contexte "tout sauf Aubril". S'il
se ramassait une toise, ce ne serait pas plus mal.
N'oublions
pas l'épisode tragi-comique de l'investiture UMP, une bonne partie des
militants et sympathisants locaux ne va pas voter pour ce monsieur qui leur fait le coup du
mépris. Et il part quand même d'assez loin, 34%.
PIEL
et sa colistière Marine (!) GAUGAIN sont encartés au FN.
Je
préfère avoir en face de moi quelqu'un qui a des convictions politiques
plutôt qu'un paltoquet pâlichon.
S'ils
sont élus, ça va être très dur, car ils vont être isolés et Jean Léonce
va nous faire une jaunisse purulente. Pas bon pour Lisieux, mais pas pire
finalement qu'avec Nanard. Politiquement, ce n'est pas dangereux pour la
majorité de droite et du centre, car le FN sera minoritaire. Il faut toutefois
prévoir quelques avanies, par exemple dans le dossier chaud du RSA et de la
pieuvre monstrueuse des aides sociales du département.
Sa
jeunesse et son absence de dérapage peut séduire l'électorat UMP godillot
lassé des dérives UMPS. La preuve, Juppé s'est ramassé un bouillon.
Rappelons
aussi que ce sont des électeurs qui jadis votaient à gauche qui ont voté pour
le FN dans les villes qu'il a conquit. Dans les quartiers populaires, le raz le
bol du chômage, de la misère et surtout de l'insécurité et des incivilités
va jouer à plein, Aubril et son adjoint De La Crouée s'étant viandés grave
sur le sujet (incendie du MIKO, poubelles, autos et ça continue, silence dans
la presse aux ordres).
Nous
sommes sur une terre centriste, et ces électeurs étaient représentés par le
binôme UDI. Ca fait 17% pas vraiment enclins à voter Nanard, mais un peu
réticents quand même à voter FN. N'oublions pas que la
responsable de ce capharnaüm métaphysique, c'est tout de même Sylvie Grandin
et la bande de crétins qui l'ont materné sur ce coup. Et elle botte en touche
par une pirouette en langue de bois : "je n'aime pas Bernard Aubril, et ne
veux pas voir le FN l'emporter". Ben voyons comme dirait Zemmour.
Reste
aussi la possibilité de voter blanc. Je dois avouer que je ne sais pas lequel
des deux cela peut favoriser.
Voilà
le tableau, à vous de voter en votre âme et conscience.
Mais
c'est clair, pour se débarrasser de Nanard et surtout de son erreur de casting,
il faut mettre ses états d'âme au placard, et pour les catholiques passer au
confessionnal après l'isoloir pour se faire pardonner. Pour les mécréants,
une mousse suffira, à la santé de la France, comme dans les banquets à la fin
d'un Astérix.
Ca fait un peu estrade de comice agricole, vous
trouvez pas ? Sont y pas mignons,
et cette transparence, Jean Léonce va devenir
dingue, oublie pas ton viagra.
Pour les épisodes précédents c'est
par ici.
CANTONALES
: "CONSIGNE" DE VOTE
TOUT
SAUF AUBRIL !
MAJ
du 19.03 : J'avais fait ma part en 2011 en expédiant le hobereau
méprisant le peuple de sans-dents de Nanarland au deuxième tour. Très
vexé le bougre.
Tout
était différent pour cette élection : il ne faut pas faire l'élection
de trop, le triplement du nombre d'électeurs augmente considérablement
le budget, et vu l'enjeu départemental, où le tout mou Jean Léonce
risque de se prendre une toise, une candidature individuelle n'était
plus raisonnable par rapport à une inéluctable politisation.
En
clair, y aller sans la pancarte d'un parti dans le dos était un peu
suicidaire. Adhérent au MODEM et boss de la section locale, j'ai un
souci avec les chefs à plumes du département, qui préfèrent ne pas
présenter de candidat (alors que je suis crédible), et donc entériner
le statut quo, la nullité qu'est Aubril pour défendre les intérêts
de Lisieux. Ca les arrange ?
En
plus, il ne faut pas oublier que le camarade Rodolphe Thomas est impliqué
jusqu'au cou dans les opérations de la SHEMA, la société d'économie
mixte qui patauge dans l'argile à briques des Hauts de Glos. Aucun
risque, on pérore, de toutes façons, in fine, c'est le contribuable
qui raque. Donc autant éviter qu'un nouvel élu ne mette son nez dans
de pot aux roses, donc pas de misères.
Autre
élément, le FRONT NATIONAL et sa progression. Qui s'est traduite par
l'élection de Benjamin Piel au conseil municipal de Lisieux. Le FN,
avec un illustre inconnu avait fait 16.8% sur Lisieux 1 en 2011, juste
derrière Olivier Truffaud 18.3%, il était moins une. Vu les prévisions
des sondages, avec des scores de 30 à 33%, le Benjamin était parti
pour le deuxième tour dans un fauteuil. Patatras, erreur de jeunesse,
il annonce démissionner, la cheftaine départementale n'étant pas de
son goût. Il n'y a pas de petite souris dans les coulisses du FN, mais
disons que l'ascension de certains cadres (comme Philippot) a mis sur la
touche un certain nombre de vieux militants, pas vraiment attirés par
la jaquette qui flotte. Un malheur n'arrivant jamais seul, la propagande
officielle et les bulletins ne sont pas parvenus en temps. Apparemment,
le candidat assume, a collé ses affiches et il y aura probablement des
bulletins FN.
A
noter que Benjamin Piel ayant démissionné du FN, il devient
politiquement correct pour des électeurs de la droite traditionnelle.
Il annonce que s'il est élu, il siégera sans étiquette.
Faisons
le tour de la gôôôche : le PS est dans les choux avec 20%, mais a une
bonne implantation locale en ville. Arriver à 25% va toutefois être très
très compliqué. Les cryptos communistes du NPA, qui se prennent aussi
pour des écolos, vont faire leur 2 ou 3 %. Très rouges à l'ancienne,
eux aussi écolos de mes fesses, mais bien fonctionnaires, le Front de
Gauche peut espérer 5%. EELV, toujours de braves fonctionnaires qui se
prennent pour des écolos, ça commence à faire beaucoup, vu les
frasques de la Cécile Duflot, suivent la déconfiture de leur maître
le PS, allez 3%.
Retour
à droite, Debout La France peut espérer récupérer quelques voix de
droite égarées par l'imbroglio FN.
Le
cas du tandem d'enfer Sylvie Grandin et son fleuriste Johnny Briard
(alias Johnny Be Bad) n'est pas facile à cerner. Sylvie est une amie à
titre personnel, je vais donc le dire avec le langage fleuri habituel de
l'Echo Joli, mais plus parfumé. Suivez bien, car c'est compliqué.
Sylvie a été choisie par ce cher Riton Rastignac pour faire joli sur
le ticket des cantonales en tant que suppléante : il inaugurait ainsi
la tendance people, qui lui a valu sa perte aux municipales. Cet
ex-canton Lisieux III qui a toujours été de droite avait été ravi
par une nullité PS, et naturellement Riton, avec son dossard UMP et
l'absence de concurrence, a retrouvé les voix de droite, mais ce fut pénible
avec 48% au premier tour et un étriqué 52% au second. Ensuite vinrent
les municipales. J'ai raconté par le menu l'enchaînement des erreurs
commises par le candidat lui même, mais aussi par la bande d'idiots de
ville qui l'entouraient, dont Johnny Briard et un certain nombre
d'autres empaffés, dont un plutôt ondulant, qui ne perdent rien pour
attendre. Il a suffit d'un tract pour dézinguer le traître, qui a démissionné
de son mandat, et s'est évanoui dans la nature. Du coup, Sylvie Grandin
s'est trouvée propulsée, mais sans avoir le temps de s'implanter, car
il faut savoir prendre les maires dans le sens du poil, normal à la
campagne, et certains ne sont pas faciles à traire. Quelques précisions
au sujet du Johnny, il avait adhéré discrètement au MODEM et en
cirant les pompes au délégué de circonscription avait tenté de
s'approprier la section. D'où mon enthousiasme à vous dire qu'il ne
faut pas voter pour un magouilleur de cet acabit, de la politique
politicienne de fond de bac à fleur.
Une
rencontre a eu lieu entre Nanard et la Sylvie, qui ne s'est pas terminé
dans le canapé du bureau du maire : "il n'est pas mon genre".
Restait
l'investiture UMP. Là, l'imbroglio est total, et on ne sait pas qui
ment le plus façon UMPS. Il semblerait que le Firmin des marquises a
senti un moment le vent tourner, et a préféré décliner le logo UMP.
Les dissensions sont telles au sein de l'UMP que l'investiture est restée
en plan, et comme les électeurs UMP sont plutôt du genre godillots, un
tel spectacle de division et de coups bas politiciens ne peut que les
inciter à basculer vers le FN, le repoussoir Sarkozy et l'islamophile
Juppé les y poussent. Donc nos deux tourtereaux se sont contentés du
logo UDI, qui peut leur apporter 8% des voix. Cocasse : l'UDI c'est Jean
Léonce Dupont, qui avait adoubé Emmanuel Thillaye comme délégué de
circonscription (législative), et qu'on retrouve comme suppléant d'Aubril.
On nage en plein marigot politicien, et cela prouve en tous cas qu'il
n'y a ni à l'UMP ni à l'UDI, ni même au MODEM, des gens qui savent
s'imposer et présenter un choix clair aux citoyens.
Lisieux,
il ne faut pas l'oublier, est une terre centriste (d'Ornano, Triqueneaux),
à mon avis un ticket UDI-MODEM aurait été plus crédible, mais bon.
N'oublions
pas qu'il faut arriver devant le FN et le PS pour figurer au second
tour, car une triangulaire est impossible (il faut faire 25% des voix
avec 50% d'abstention.
Reste
donc le cas AUBRIL. Déjà, donner dans le genre Star'ac avec une miss
qui tombe des nues (si j'ose dire), est très mal passé chez les
petites vieilles, terrorisées à l'idée qu'elles se feront moins
bizouter en ville par ce Berlusconi rural. Car s'il est élu, elle
aussi, c'est quand même grave pour la démocratie de voir élue une pom
pom girl qui ne devra son siège qu'à ce qui est assis dessus. Si
elle ne voulait pas se faire mettre en boîte, elle n'avait qu'à
refuser.
AUBRIL
est le champion de l'échec, la liste est longue et n'est pas terminée
: 4000 habitants de moins, la magouille du Crématorium au tas,
l'incendie du MIKO (SMA Magne) conséquence directe de son incurie en
matière de sécurité, les Hauts de Glos, le pataugeage de l'Ellipse,
la bérézina financière pour les assocs, les coupes sombres dans
l'animation, un Multiplexe dont on entend plus parler, etc...
Se
pose aussi le problème cette fois urgent du super-cumul des mandats :
ville, canton (x3), communauté de communes, trop c'est trop.
Le
premier parti de France sera l'abstention, pas étonnant quand on voir
ce souk.
Je
ne suis pas là, mais je voterai par procuration, ayant la République
laïque chevillée au corps par des instituteurs à l'ancienne.
Ne
votez pas pour Aubril, vous avez compris.
Si
vous êtes encore de gauche, vous avez le choix au premier tour mais
resterez chez vous au second.
Benjamin
Piel est redevenu politiquement correct depuis qu'il a démissionné du
FN, quitte à encourager la jeunesse, autant que ce soit lui plutôt
qu'un mannequin. Quant à Sylvie et son Johnny, ils sont un peu victimes
de dégâts collatéraux, mais quand on sait faire de la politique, on
peut passer au travers : il suffit de rester ferme sur ses convictions démocratiques.
Les
pronos pour terminer :
Aubril
32/40 - FN 22/25 - PS 15/18 - UDI 10/12 - EEELV 3/3 - FdG 4/5 - DlF 5/4
- NPA 1/2
Deuxième
tour : Aubril - Piel.
Yes
!
LA
CAMPAGNE NAUSÉABONDE
DE
NANARD BERLUSCONI
MAJ
du 16.03 : Je vais prendre l'habitude de faire des copies d'écran
de facebook, pour éviter que les auteurs de débilités aient le temps
de les effacer (comme avec le suicide qui a eu lieu à la gare, le Pays
d'Auge a fini par retirer les con... qu'il a raconté).
C'est
pas moi je le jure. Merci à la petite souris bénévole.
LES
FEUX DE L'AMOUR
AUX
CANTONALES !
MAJ
du 06.02 : La maman de la miss est secrétaire de mairie à
Beuvilliers, morne banlieue où est élue Sylvie Grandin. Ambiance...
MAJ
du 04.02 : Le papounet de la donzelle, Mr Perini, a été
cycliste au... VCL. Tout s'explique. Si ça se trouve, ça fait un bail
que notre sous-DSK lorgnait sur la chérie. Tsss...
La
minette à Nanard va comprendre rapidement que le monde de la politique,
c'est pas les bizounours ni Porcinet. Ce qui serait grave, c'est de voir
une pom pom girl élue par ce stratagème et siéger. La moitié du
conseil général va être constitué de ce "genre" (et de
beaux gosses pour ceux accolés à des femmes). Les socialos sont des
pervers : cette loi de discrimination positive va un peu plus avachir la
République. Le preuve.
Je
rappelle que la loi stupide sur la parité a abouti à la désertion en
rase campagne de la gent féminine pour la liste Riton.
MAJ
du 03.02 : Imitant en cela l'arriviste déchu Riton Rastignac (Eric
Lehéricy), qui avait bâti une liste genre casting de Star'ac, ou le
pire du pire de la télé-réalité, notre vieux beau sur le déclin
Nanard a choisi comme co-listière aux cantonales une... miss. Un peu de
bas de gamme comme le garagiste favori de Riton (on vous en recausera),
puisque la carrière de la pépée s'est arrêté il y a 7 ans comme
Miss Basse-Normandie, façon Geneviève de Fontenay, de son vrai nom Geneviève
Suzanne Marie-Thérèse Mulmann, un nom à coucher dans un hôtel borgne
de Meurthe et Moselle avec un billet de logement du conseil général du
Calvados.
D'ordinaire,
le genre à Firmin, c'est les blondes (jeunes, ce qui met hors jeu les
marquises), grandes, au yeux bleus, habitant à la campagne.
Là,
la dame culmine à 1m76, 1m86 avec les talons aiguilles, autant dire
qu'il a intérêt à se fournir chez le marchand de groles à
talonnettes de Sarko.
Il
y a sept ans, cocotte était déjà un peu pulpeuse limite
rondouillarde, après les privations engendrées par ces concours, on se
lâche sur la crème Chantilly.
Comme
toutes ces chéries, elle poursuivait désespérément des études, pour
devenir... criminologue. Le crime de baise électeur sera t'il parfait ?
Ca
s'est terminé dans le noble métier d'assistante commerciale. Métier
ou certains arguments comptent.
On
voit d'ici le tableau de Nanard débarquant sa cargaison en escarpin et
tutu raz la moule sur les moquettes feutrées du Conseil Général,
peuplé de vieux barbons libidineux et de douairières ménopausées.
Comme disait Monsieur le Curé dans la chanson de Ricet Barrier :
"chauffe un marron, ça le fait péter".
L'ECHO
JOLI était au courant depuis samedi. Comme quoi les petites souris sont
excellentes. Par contre, le journaliste amateur est à la ramasse. Mea
culpa.
L'ex
miss habiterait Beuvilliers. Tiens donc, c'est le bled de Sylvie Grandin.
C'est à ce genre de mesquinerie qu'on sent le pervers de politique
politicienne.
S'agissait
il de contrer psychologiquement le co-listier du "bulldozer"
Sylvie, Johnny Bee Bad ?
Le
Johnny, il fait aussi un peu télé-réalité, je le vois bien en boloss
escort boy au bord de la piscine en train de faire le joli coeur à des
pétasses. Fais gaffe Johnny, maman a des sécateurs pour ses roses.
Bref,
après avoir refusé le soutien du merdier en pleine implosion qu'est
devenu l'UMP, le voilà qu'il nous fait du people pour sauver sa
tronche.
Il
faut maintenant dévoiler deux suppléants. Le poulain de Dédé la Défaite,
qui fréquente assidûment la mairie, Jérémy Gouret (surnom Jérémy
Cricket ou "J'ma gouré"), aurait été sur les rangs.
L'individu vient de se faire bombarder président du "Souvenir Français"
par Gérard Pattier. Croix de bois, croix de fer. Cette officine théoriquement
patriotique est censée maintenir le souvenir de la gloire des soldats
morts au champ d'honneur, une façon de décrire le trou plein de boue où
tu crèves en pensant à ta mère. Bon, j'y connais un peu, je le vois
mal passer le conseil de révision. Et encore moins crapahuter. Mais ça
permet de frimer et bomber le torse avec une belle médaille qui brille
dans les cérémonies. Comme celles devant le monument aux morts avec
Piquot et Lefebvre qui se bidonnent, ça valait le coup de mourir à
Austerlitz.
Et
bien non, c'est Emmanuel Thillaye (vu sa corpulence, surnom sympa "Porcinet",
un personnage gentil aimé des gosses), dont on ne sait plus très bien
la couleur politique. Il se trouve que lors du pince-fesses*** de la
remise des prix du concours 12/12 de Cap Lisieux, j'ai attrapé
l'individu par l'oreille pour lui faire cracher le morceau. Toujours la
boule de cristal de l'Echo Joli. Réponse, "non non, tu sais, je me
contente d'être adjoint". C'est pas beau de mentir, ça commence
bien et ça met la queue en tire-bouchon.
La
suppléante est une certaine Nathalie Tosser, conseillère municipale de
Glos, pas trouvé sa bobine sur le net.
Bref,
le degré zéro de la politique, pire que Riton.
La
question que vont évidemment poser les concierges amatrices de ragots
style Closer : y a t'il de la fumée sans feu de l'amour ?
Zut,
il n' y a pas de rue du Cirque à Beuvilliers. On le saura de toutes façons,
les maîtresses éconduites ayant une fâcheuse tendance à balancer :
merci pour ce moment. Quand vous voulez les filles, et surtout, pour ce
journal iconoclaste, du croustillant, du graveleux, du grivois et du
lubrique.
***Au
garage OPEL, qui nous a reçu de charmante manière. Ce qui ne veut pas
dire que j'ai pincé les fesses de la patronne. Un je ne fais pas de vélo,
deux il y a d'autres méthodes plus subtiles et bien élevées.
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