Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps.

Personne ne lit cette feuille, sauf que tout le monde est au courant.

CA VA PAS FORT CHEZ LES HAM*

* Humanistes anthropocentristes monothéistes

MISE À JOUR DU 01.03.2010

MAJ 14.07.09 : Le ruine de l'Etat et la disette des collectivités locales (qui sera surtout sensible à partir de 2010, les conséquences de la crise se font sentir à retardement en matière d'impôts), oblige les "décideurs" à serrer les boulons et pas lâcher les picaillons au moindre concert de pleurnicheries, à donner le bourdon à Soeur Sourire, de la myriade de bons samaritains qui donnent dans l'humanitarisme.

C'est au tour de la BAC environnement, à qui l'Etat "demande des résultats". Comme ils en ont peu (à part la collecte du papier recyclé), le problème est réglé d'avance.

Si on peut même plus se donner bonne conscience aux frais du contribuable, où va-t-on ?

Auparavant, c'est Alcool Info Pays d'Auge, la structure chargée de financer le salaire de René Sorin, connu de nos services pour avoir entraîné une liste de citoyens un peu innocents dans une galère aux dernières municipales. Etant donné que le score était inférieur aux 5% fatidiques pour être remboursé, ça s'est arrangé par un appel à voter Aubril. Ce faisant, le camarade s'est fait des copains à gauche. Comme l'UMP et la reconnaissance du ventre ça fait deux, Aubril ne va pas lever le petit doigt. De toutes façons là aussi, ça sert à rien, la preuve, ils sont débordés par les alcooliques, de plus en plus jeunes.

Autre bande d'humanistes dans le caca, les loustics de l'ESI et leur "Maison des addictions", eux aussi débordés par 660 "personnes" soit à la grosse 3% de la population, ou encore 10% bien tassés de "jeunes de moins de 29 ans". Encore faut-il savoir que les "clients" arrivent à ESI au bout du rouleau. C'est dire l'imprégnation générale.

On retrouve chez ESI, ce cher Patrick Bance, un vieil ennemi. C'est lui, qui avait implanté des jardins ouvriers juste sous les retombées de l'incinérateur.

Et un poireau à la dyoxine, un !

Il avait promis aussi de remettre deux marronniers devant la porte du stade. On attend toujours.