MISE A JOUR DU 22.05.2023 : Aucune réaction à l'article politiquement très incorrect  saignant ci-dessous, ni du château, ni des gentils organisateurs, ni de la calotte. Le catho intégriste et parfois inquisiteur se fait rare, les moutons vont finir dans une arène.

MISE A JOUR DU 12.05.2023 : Lisieux Bouge est une émanation (au sens propre comme au sens figuré ?) de la ville, grassement subventionnée. Je n'ai rien contre le fait qu'on fasse la teuf dans notre ville endormie, mais le mélange des genres entre la musique métal, aux paroles n'omettant pas de se référer à Satan , Lucifer, Belzébuth et cette charmante Lilith, entre autres, sur le parvis de la cathédrale, fait quelque peu désordre. La forge et ses flammes infernales, et les soudeurs, abondamment tatoués, et pas qu'avec des anges, s'étaient installés sur le dit parvis.  Le boucan avait duré jusqu'à plus d'heure, et la rose maléfique, couleur de l'angoisse, est actuellement sur le rond-point Jean Paul II en bas de la Basilique. Ils le cherchent vraiment, le courroux des dieux.

En clair les curés et leurs grenouilles de bénitiers n'ont rien vu venir et se sont fait rouler dans la farine :

Re-belote cette année, cette fois les élèves de Paul Cornu vont fabriquer une arcade de roses, toujours en métal,  et l'offrir à cette chère Sainte Thérèse, qui en a vu d'autres mais enfin quand même. 

Pour ceusses qui ne seraient pas convaincus, les teufeurs auront droit à de l'Iron Maiden, un des pires dans le genre.

Le père Bertrand a intérêt à faire des réserves d'eau bénite et faire réviser son goupillon, voire de se faire assister par l'exorciste du diocèse.

Ce festival serait tout de même mieux sur la place de la République, celle de la Gueuse, des Grands Frères, les obligés de la synagogue de... Satan.

MISE A JOUR DU 02.06.2023 : Toujours pas de réaction des curés ni du château au sujet de nos propos sur cette manifestation qui sent le souffre. Pour l'épisode précédent, c'est par ici. Vont ils oser forger leurs roses maléfiques sur la parvis de la cathédrale comme l'an dernier. Au moins, dans les temps anciens, ils avaient un peu de savoir vivre, ils y brûlaient les sorcières.