Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps

 

        

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CULTURE

 

MISE À JOUR DU 10.10.2019

 

 

 

THEÂTRE : Ah ! c'qu'on s'emmerde ici

 

TSOUIN TSOUIN !

 

 

 

 

MAJ du 12.09.2019 :  Je me plaisais à surnommer ce théâtre : "Ah ce qu'on s'emmerde ici". Il faut dire que l'ancien directeur -- plutôt sympathique-- était l'archétype du bobo trottinette crypto-marxiste, et la rombière de l'assoc des amis du théâtre veillait au grain côté orthodoxie bourge, et la programmation s'en ressentait. D'où une sélection de pièces plus chiantes les unes que les autres, mais de gôôôche.

Là, ça défrise, du Labiche pour rigoler avec des histoires de cocus, et ce sont ceux qui y sont qui se marrent le plus, et entonnent en sortant : "Si tous les cocus, avaient des clochettes, des clochettes au dessus d'la tête, ça f'rait tant de rafut, qu'on s'entendrait plus.

 

MAJ 08.10  : On apprend que Eric LOUVIOT abandonne le Tanit Théâtre. De plus, il n'habite pas Lisieux mais Caen, on comprend mieux pourquoi faire rigoler les Lexoviens le samedi soir n'est pas vraiment sa priorité. Pfff...

MAJ 04.10  : La programmation 2013/2014 a été dévoilée. C'est le choix du dirlo, Eric Louviot, qui se prend pour le roi Lear (un looser), et qui précise qu'il a privilégié quatre axes, et même qu'il n'y aura pas de "variétés", entendre par là du Boulevard, de l'Opérette, des comiques, bref de la rigolade popu, avec son folklore de cocus, de soubrettes, de plaisanteries paillardes et j'en passe. Bon, le jazz est bien servi, on ne va pas trop taper sur l'homme, ouvert à la discussion.

Il n'en reste pas moins que cette programme est soporifique, branchouille, bobo de gôôôche en général et de prof en particulier, mâtiné d'élitisme bourge.

Déjà, la couverture du programme est suspecte, un paon, avec un guitoune sur la tête munie d'une fermeture éclair, ça a forcément une signification.

S'il y a un psy dans la salle, à votre disposition pour publier l'analyse Freudienne des fantasmes que cette image peut suggérer, avec commentaire circonstancié sur la personnalité de son auteur. Et avis sur les précautions à prendre par l'entourage, voire une expédition sous camisole au BS (le Bon Sauveur).

Bref, on va encore s'emm.. à cent sous de l'heure cette saison.

Rassurez-vous, si la liste de gauche passe, ça va être pire.

Seul moyen pour rigoler au théâtre la saison prochaine, virer Aubril, car c'est lui le président de l'INTERCOM qui finance cette soupe à la grimace.

Et d'entonner, sur l'air de "Dans un amphithéâtre" :

 

Dans notre pauvre théâtre (bis)

Not' théâtre (ter)

Tsouin Tsouin

 

Y'avait un macchabée (ter)

Macchabée (ter)

Tsouin Tsouin

 

Etc..

Ah s'qu'on s'emmerde ici  /  On se fait vraiment ch...  /  On s'ennuie à mourir / Raz le bol de la Kulture / On en fera du pâté / Qui nous fera dégueuler.

 

 

LE JUGEMENT SACRÉ

 

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L'ECHO JOLI ne résiste pas au plaisir de publier le jugement du tribunal administratif de Caen qui condamne une nouvelle fois la CCLPA.

Selon Maître GUIBERT, ils n'ont pas encore fait appel. Pas certain qu'AUBRIL, qui a le pouvoir d'ester en justice, le fasse. Le scandale du coût pour le contribuable de cette guéguerre qui sera systématiquement perdue enfle. Il y a un conseil communautaire lundi 28, et des questions écrites sont à l'ordre du jour.

Comme certains "nains de jardin" sont échaudés par le coup du tracé du TGV, il est possible que Firmin doivent faire face à une fronde qui se termine par un votre négatif pour cet appel, comme pour le "pôle muséal" mort né.

Problème : comme le coup pourri de la "musique sacrée" a capoté, il va falloir imaginer autre chose et surtout pas laisser faire les pervers des services de com.

Suggestions : composer la danse des placards, une petite musique de jour, la marche funèbre pour la sortie de la mairie de la liste Firmin battue aux municipales, les danses Augeronnes, un Te deum à la gloire des biftons défunts des contribuables, une aubade en Sibm (harmonique) pour charmer la vipère à chignon...

 

 

 

 

LA CULTURE VIRÉE

 

MAJ 19.07 : Après avoir saqué l'adjointe à la culture comme une malpropre, Firmin nous avait annoncé, toujours lors  la fameuse réunion avec les commerçants, qu'il allait verser la compétence culture à la CCLPA.

C'est pas gagné, car lors d'un repas familial dans une commune rurale, très rurale, un membre de la docte assemblée de la CCLPA a émis quelques doutes et lâché le qualificatif : "ingérable".

Firmin, qui a déjà senti le vent du boulet lors du dernier vote sur le chiffon de papier du projet de territoire (voir ci-dessous "les péquenots se rebiffent")  pourrait bien se faire envoyer aux pelotes sur ce sujet. 

Déjà qu'avec le coup tordu de l'Ellipse les élus ruraux vont ruer dans les brancards.

A cette occasion, un truc qui m'avait échappé : la piscine est gérée par la commission culture de la CCLPA, de l'aqua-culture en quelque sorte.

 

 

 

"Les péquenots se rebiffent"

 

MAJ 11.07.2011 : Bon, tout d'abord, pas de polémique autour du mot "péquenot", c'est pour faire un titre dans le style d'Audiard (Le cave se rebiffe).

Une des caractéristiques du camarade super-cumulard est qu'il a horreur de l'adversité, la preuve il avait lâchement démissionné alors qu'il était élu lors du deuxième mandat d'Yvette Roudy. Môssieur se dégonfle quand il s'agit de ferrailler dans l'opposition, et avec Yvette il fallait du Tolède.

Môssieur préfère les grandes tapes dans le dos et les patins pour les filles, et faire passer ses coups dans le consensus.

C'était le cas jusque maintenant à la CCLPA, où tout le monde la bouclait sévère, au moins en séance plénière. Car pour ce qui est des tractations en coulisses, à la mode Vaticane, l'Echo Joli n'a pas encore d'honorable correspondant dans cette instance. La place est libre.

Il faut dire que les élus ruraux, les "péquenots", qui ne sont pas vraiment des tribuns habitués à la polémique (pas besoin pour gérer un village), sont plus faciles à embobiner que la camarade Clotilde.

La corde sensible de l'Augeron de base, c'est évidemment les picaillons.

Et là ça commence à coincer.

La ponte du projet de territoire a pris un an, rédigé par on se sait qui, et "porté à la connaissance du conseil".

Du blabla de technocrasseux, pour couvrir et justifier les opérations financières et commerciales en cours aux "Hauts de Glos" sans doute.

La pompe à fric capitaliste ne néglige jamais de faire raquer le contribuable, surtout que pour viabiliser les 100 hectares en général et les 12 hectares de l'Ellipse en particulier avec son parking de 900 places, sa voirie, ses "jeux d'eaux" Versaillais, sans oublier caméras et miradors, locaux pour la flicaille privée et j'en passe et des meilleures.

Un coup de force a eu lieu autour de la fiscalité du foncier bâti, et il est dans l'air d'en mettre une petite couche sur la taxe d'habitation.

Comme c'est un peu mystérieux, avant de vraiment savoir ce qui se passe il va falloir passer à la phase investigation, toutes les infos sont bienvenues.

Ca ronchonne donc, si bien que lors du vote, mon Firmin a senti le vent du boulet. 57 votants (à bulletin secret), 28 pour, 21 contre et 8 miraculeuses abstentions, sinon, c'était plié.

Et ça, c'est un vrai crime de lèse-cumulard.

On comprend maintenant pourquoi la bande des cinq (qui manipule le conseil municipal aussi bien que le conseil communautaire), aux postes clés de la CCLPA, a refusé genre sectaire la présence de membres de l'opposition Lexovienne à la CCLPA : il fallait que personne ne mette son nez dans cette instance qui échappe à tout contrôle démocratique.

 

 

 

LA CULTURE DÉSHABILLÉE

 

"Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver" J. Goebbels

 

 

 

La misère culturelle à Lisieux, allégorie.

 

 

MAJ 19.06 : Cette affaire a mis en évidence la véritable personnalité du valet des marquises, qu'elles soient de la côôôte ou Lexovienne à chignon.

Cela créé des remous dans la majorité municipale, reste à savoir s'il y aura d'autres rébellions telle que celle de Michèle Gesnouin "qui défie son maître" alors qu'elle n'en avait pas. Ca balance pas mal à Lisieux et dans la presse est diffusé ce que l'Echo Joli savait déjà, que "la bande des cinq" qui décide de tout sans aucune concertation, est composée de Firmin (Bernard Aubril), de notre chère Marquise du Chignon des Orangers de la Cour de la Mairie (Mme De Faccio), du Grand Maître de l'Ordre des Panneaux Solaires des Chiottes du Carmel (Gilbert Godereaux), du très immobilier Paul des Brosses des Rochettes (Paul Mercier) et du Phynancier à la baignoire fuyante, alias Jean Paul Soulbieu (est-ce volontaire ou du fait de ses fonctions ?). Grand absent, un petit roquet. Le "bureau du maire" n'est qu'une chambre d'enregistrement, que dire des "réunions majoritaires".

En ville, l'électorat bien vieux et bien sage commence à avoir des doutes. Certains habitants nous décrivent la dégradation de la propreté et de la sécurité en centre ville, la prise de conscience est en marche. Ce qui est sûr c'est que Firmin ne bougera pas, sa préoccupation principale c'est de se pavaner en ville, de courir les cocktails et de balancer de la poudre aux yeux dans son sillage.

A la différence de 2008, où Firmin avait retiré leurs délégations à Ursula Oger et Marcel Blin juste avant les élections, là il va falloir se traîner quatre ans une adjointe sans délégation, qui doit rester à sa place protocolaire au conseil et être présente en bureau du maire. D'où évidemment la pression qu'ils ont exercé pour qu'elle démissionne. Ils vont de toute évidence s'acharner sur Michèle Gesnouin, comme sur M. Batrel et JP Seguin (et bien d'autres exécutés) la spécialiste de la gégène politique étant sans conteste l'amatrice d'orangers.

Mine de rien, le troisième mandat vient de prendre l'eau.

 

MAJ 16.06 : La culture déshabillée, pas l'adjointe. Michèle Gesnouin (MG) vient de se faire SACquer par la vieille garde UMPiste. Il y a eu des prémisses, avec la prise de parole à sa place par le maire lors du dernier conseil, puis la réunion avec les commerçants où Firmin a été furax de la question posée par Jean Luc Davy (PROCOM) au sujet de l'intérêt du transfert du Musée dans la Banque de France.

Michèle Gesnouin avait apparemment bossé sur cette histoire, et avait fait visiter les lieux aux huiles administratives.

Je lui avais personnellement dit dans un entretien informel qu'elle prenait des initiatives et qu'elle réussissait, ce qui avait le don de déplaire aux vieux incapables accrochés au pouvoir qui entourent et encadrent notre cher Firmin.

On ne serait pas étonné d'apprendre que la décision de fusiller Michèle Gesnouin a été prise en présence, voire à l'initiative de l'antédiluvien gnome qui grenouille encore, car on le voit en ville, Dédé soi même (André Fanton).

La méthode y est : réunion d'alcôve secrète en petit cénacle, confiscation de l'attribution culture (par transfert des compétences à la communauté de commune), mise devant le fait accompli il y a 15 jours dans le bureau du maire, "sans débat", "à la hâte", par "un petit groupe d'élus". CQFD.

Pour Lisieux, c'est une révolution : médiathèque à Yvette, musée, toutes les associations culturelles (dont la musique qui m'intéresse), dont évidemment celles intéressées par le transfert du musée à la BdF. Comme il y a de la place, il y avait possibilité de transformer le lieu en agora culturelle en lieu et place du poussiéreux musée actuel.

"La culture n'a jamais été considérée comme une priorité par le maire et son équipe". Faut-il s'en étonner ?

Rien que le graphisme de la signature de Firmin et ses discours de naze en disent long.

Rappelons la hargne vengeresse avec laquelle sa garde rapprochée traite deux hommes de culture : Michel Batrel et Jean Pierre Seguin, dans des procès que la mairie perd mais qui coûtent cher aux contribuables.

MG, qui en a, du caractère, a donné une interview au Pays d'Auge lundi (Julien Lagarde), publiée mardi : "clash à Lisieux", "tacle".

Avec des cruautés : "sous-estime la culture", "manque d'ambition", "désert culturel", "je dérange", "tout dépend de l'image que le maire veut donner de sa ville"...

On notera qu'au moment de l'interview MG disait "on ne quitte pas un navire qui tangue".

A la parution mardi (ou avant vu le fil rouge qui relie la mairie à la "rédaction unique"), branle bas de combat.

Aubril et sa bande décident mardi après midi, non seulement de retirer ses délégations à MG (culture, enseignement et cuisines municipales (!)), mais la somment de démissionner. Retirer des délégations est légal, sommer de démissionner est infect.

C'est donc la CCLPA et Christian AUZOUX qui vont récupérer le bébé. Ne connaissant pas l'individu et ses appétences politiques, pas de commentaires.

Les associations culturelles vont toutes basculer à la CCLPA (comme celles gravitant par exemple autour de la natation, on connaît le résultat avec Le Nautile, on ferme et démerdez-vous).

C'est pour janvier 2011.

Moralité : Firmin n'est pas un démocrate, c'est un sectaire UMPiste, un autocrate bon teint, capable de tout en matière de violence politique.

Rendez-vous au conseil municipal le mardi 22.06, car il faut légalement entériner tout cela et trouver un remplaçant dans la bande pour cette délégation croupion.

Que va faire Michèle Gesnouin ? Mystère, mais l'Echo Joli l'a contactée et lui ouvre ses colonnes.

Ce matin, sa bobine figurait encore sur le site de la ville. Le Karcher est en route pour effacer toute trace de MG.

Cette décision "hâtive" n'est pas sans faire des dégâts dans la majorité : à qui le tour ?

Car les autocrates (pour rester soft) ont tendance à rapidement passer au bouc émissaire suivant.

Et puis après, pour la ramener sur "l'ouverture" (c'était le cas), tu as bonne mine.