Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps.
Personne ne lit cette feuille, sauf que tout le monde est au courant.
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L'ÉCOLE DE MUSIQUE
OU UNE HISTOIRE QUI REND CHÈVRE
MISE À JOUR DU 08.04.2016
NOUVEAU CANARD
MAJ : 01.03.2016 : Encore une mauvaise nouvelle pour le roitelet : Jean-Pierre Seguin, directeur à la retraite de l'école de musique de Lisieux, renommé au Conservatoire de Musique, a décidé de faire appliquer la décision du Conseil d'État ordonnant sa réintégration pour la période allant du 15 janvier 2008 au 28 juin 2012, date à laquelle il est officiellement parti en retraite. Il exigerait de même, conformément au jugement du conseil d'Etat, l'annulation pure et simple de toutes décisions prises, ordres, conseils d'administrations, réunions, nominations et affectations, jusqu'à la date de son départ à la retraite. Le préjudice pour les finances de la Mairie s'élèverait à plusieurs dizaines de milliers d'euros. Il en pense quoi notre petit Madoff à la barbe fleurie ? Cette longue histoire a sa page dédiée sur ce site. Elle a pour origine les méthode pas très reluisantes utilisées par notre chère Marquise Marie Antoinette du Chignon des Orangers de la Cour de la Mairie, alias "Chignon". A suivre !
Cliché Saturnin Minox, le nouveau paparazzi de l'Echo Joli (voir l'édito). 03.11.
MAJ 03.11 : Jean Pierre SEGUIN s'est donc présenté ce matin pour réintégrer son poste en vertu du jugement qui condamne la CCLPA. En compagnie d'un huissier, mais sans bleus ni sous-préfet. Il lui a été remis un papier à en-tête de la CCLPA... non signé, prenant acte de sa réintégration administrative, un peu forcée quand même les gars. On ne prend pas acte d'un jugement, on s'exécute, on ne fait pas de commentaires et on la boucle. Comme d'hab il a été prié de ressortir, on repart donc pour un tour. Cela fait jamais que la 12ième fois. Et c'est pas fini, car j'ai trouvé Jean Pierre Séguin assez en forme. Le bonhomme a 64 piges, et statutairement peut prendre sa retraite à 68 + 2 prolongations Sarko, soit 70 aux prunes. L'homme est bardé de diplômes, la vipère à chignon lui a en plus reproché "d'être intelligent", venant d'une godillote obscurantiste UMPiste (ex RPR) ce n'est guère étonnant. Pour ceux qui ne suivent pas, je me suis retrouvé un jour en face à face avec cette furie vitupérante, qui lance des couteaux à découper la charogne avec ses yeux bleus, même que les épingles du chignon commençaient à rougir à force de se prendre des vannes de votre serviteur, qui a le sarcasme facile dans ce genre d'altercation. Selon l'avocat Yves Guibert on en serait depuis le début à 500/600000€ entre le salaire "confortable", les condamnations, les frais de justice, d'avocats et d'encostardés qui phosphorent pour rien, du dirlo de la CCLPA en passant par le service juridique de la mairie, lecteur assidu de cette feuille iconoclaste. Il faudrait quand même que les délégués communautaires obligent Firmin et sa marquise furibarde, qui porte une lourde responsabilité dans ce désastre financier, à s'expliquer. Rien ne les empêche de voter une motion, genre Jeu de Paume ou référendum Grec, pour arrêter les frais. Il me semble tout à fait démocratique que ce soit l'assemblée plénière de la CCLPA qui décide par un vote s'il y a lieu de faire appel. Une telle procédure, étant donné la montagne de documents du dossier va encore coûter plusieurs dizaines de milliers d'Euros. Les délégués ont déjà infligé une grosse baffe à Firmin et sa bande avec le retoquage du Pôle Muséal, autant continuer sur la lancée. Au passage on apprend que le vrai faux directeur actuel "fait fonction de sous-directeur", ce n'est pas vraiment ce qu'on lit dans la presse et sur les publications de n'ENM et la CCLPA. Le courrier adressé à la CCLPA par Yves Guibert, le mordant avocat de Jean Pierre Séguin, qui vaut son pesant de cahuètes, on dirait presque de l'Echo Joli, c'est dire. J'ai adoré le paragraphe sur le vélocipédiste en danseuse ! Firmin en tutu dansant le lac des vélos salle Canada, je veux une invitation. Au passage, coup de griffe à mes copains professionnels qui en prennent pour leur grade.
L'ÉCOLE DE MUSIQUE
un REBONDISSEMENT !
MISSION
IMPOSSIBLE
La CCLPA adore mission impossible, le célèbre thème du compositeur Lalo Schifrin. C’est pour cette raison qu’elle peine à trouver la mission idéale pour Monsieur SEGUIN. Après l’étude de la musique
d’Europe et l’organisation d’un festival de musiques sacrées du monde (missions rejetées par le tribunal administratif), nous suggérons les missions suivantes : Soyons sérieux. Pour la sérénité de tous, pour le porte-monnaie du contribuable, quand va-t-on cesser cette gabegie ?
SCANDALE AU CONSERVATOIRE
MAJ 19.10 : Décidément, l’affaire Seguin n’en finit pas d’affecter le conservatoire de Lisieux Pays d’Auge. Et, de jour en jour, inexorablement, le scandale apparaît. Voici les principales raisons de ce scandale. L’argent du contribuable est au cœur de nombreuses tractations. Monsieur Seguin a été écarté du conservatoire et touche, depuis octobre 2008, un coquet salaire à ne rien faire. Les missions fantaisistes, inventées par la CCLPA, ont été rejetées par le tribunal administratif. En outre, cette mise au placard engendre des frais de justice considérables ainsi que des tracas et des pertes de temps pour le personnel administratif et les élus.
La CCLPA a commis des erreurs et des fautes. Les élus et les cadres de la CCLPA n’ont pas su établir un solide lien de subordination entre eux et Monsieur Seguin. Ils n’ont pas exigé de celui-ci la rédaction d’un solide projet d’établissement s’inspirant d’un projet politique clair. D’où l’absence d’un dossier d’évaluation régulièrement documenté à partir d’objectifs bien définis. Les motifs de la mise à l’écart de Monsieur Seguin sont par conséquent flous.
Les personnels, les partenaires ont été méprisés. Dans un contexte difficile (avec maints dysfonctionnements et une longue absence de direction), les enseignants, les agents administratifs et les partenaires (l’APEC notamment) ont lancé des signaux en direction des cadres et des élus. Malgré leur connaissance des dossiers et leur volonté de rechercher des solutions pour un fonctionnement optimal de l’établissement, ces « partenaires » n’ont pas été consultés. De plus, ils ont été informés des tractations avec Monsieur Seguin uniquement par la presse. Ce mépris a généré un climat malsain au conservatoire.
Les délégués communautaires ont été mal documentés. Le 29 septembre 2008, en conseil communautaire, les délégués ont entériné des tractations sans éléments vraiment tangibles, le dossier d’évaluation du directeur étant réputé vide. Par ailleurs, 3 ans plus tard, le journal Pays d’Auge du 19/01/11 nous révèle l’existence d’un rapport de la DRAC qui mettrait en cause la façon de diriger de Jean-Pierre Seguin. Ce fait montre incontestablement l’opacité de l’affaire dont le traitement par un cercle restreint d’élus est évident.
Le fonctionnement du conservatoire n’est toujours pas harmonieux. Malgré la mise à l’écart de Monsieur Seguin, le conservatoire n’a pas retrouvé le fonctionnement harmonieux du temps où Louis Muckensturm dirigeait. Le mépris a laissé des traces. Le nouveau management des cadres et des élus ne fait pas l’unanimité. Les dysfonctionnements et les micmacs demeurent. L’Éveil de Lisieux du 19/01/11, notamment, les relate. A ce sujet, le conseil de discipline du 07/04/11, qui a émis l’avis qu’aucune sanction ne soit infligée à un agent technique, discrédite les hauts responsables de la CCLPA. Enfin, en septembre 2011, le tribunal administratif enjoint la CCLPA de rétablir Monsieur Seguin dans ses fonctions de directeur du conservatoire. C’est l’ultime camouflet pour quelques personnes qui ont négligé les partenaires et la négociation.
Pour la réputation du conservatoire, pour le plus grand bien de tous (des élèves notamment), il convient de mettre fin à cette scandaleuse affaire. Cette mission sera possible si l’on place la transparence, le bon sens, l’écoute et la morale au cœur des préoccupations de l’établissement. A cet égard, un médiateur pourrait jouer un rôle utile.
NDLR : Pour en avoir discuté lors des cantonales avec Christian AUZOUX, le problème est la crispation de tout le monde, qui ne peut pas être résolu par le maire et président de la communauté de commune, sinon cela se saurait, dont le manque de charisme est patent. Seule la désignation d'un médiateur à l'autorité morale incontestée et fin négociateur Florentin peut arranger les choses. Rassurez-vous, je n'ai pas le profil, mon style.
RAPPORT
DE LA DRAC* MAJ 19.10 : Dans l’article du Pays d’Auge du 14/10 titré « Jean-Pierre Seguin de retour au conservatoire ? » on peut lire : « la CCLPA indique qu’un rapport de l’autorité de tutelle, la DRAC, avait mis en cause la façon de diriger de Jean-Pierre Seguin ». A propos de ce rapport, il serait intéressant de connaître les détails suivants : Notons que, jusqu’à maintenant, le dossier d’évaluation de Monsieur Seguin était réputé vide. Il serait judicieux que les délégués communautaires prennent connaissance de ce rapport (enfin un élément tangible de cette affaire ?) avant d’engager d’éventuelles nouvelles tractations.
LULU, COCO ET L'AFFAIRE SEGUIN
MAJ
19.10 :
Dans le hall du
conservatoire, Lulu et Coco parlent, à leur manière, de l’affaire
Seguin.
MAJ 12.10.2011 : Le jugement rétablissant Jean Pierre SEGUIN dans ses fonctions est plutôt hard : "La République (vous savez la nana sur les barricades les seins à l'air) ordonne au Préfet du Calvados en ce qui le concerne ou à tous huissiers de justice (les vautours en salivent d'avance) à ce requis "de pouvoir à l'exécution du présent jugement". Cette fois, Chignon et Firmin vont avoir du mal à passer outre. Bonjour l'ambiance à l'ENM avec un régisseur et un directeur réintégrés, avec dans les pieds un faux directeur qui a remplacé l'un et tabassé l'autre. Et les gosses dans tout ça ? MAJ 13.10.2011 : REBONDISSEMENT ! L'avocat de la CCLPA fait appel, et propose un arrangement financier. Si dans le privé cela ne pose pas de problèmes majeurs, ça me paraît scabreux pour le public. Il faudra de toutes façons un vote, car faire passer une ardoise pareille aux élus qui ont déjà reclaqué le "pôle muséal" (prononcer snob avec l'accent de Courtonne la Meurdrac) ne va pas être de tout repos. Jean Pierre SEGUIN serait à deux ans de la retraite, quoique, comme il s'agit de missions, on pourrait continuer à jouer statutairement les cadors à la baguette jusque 70 piges bien tassées. Un certain Louis, Loulou pour les intimes, est toujours frais comme un gardon. Pas certain que le retour aux affaires de JPS se fasse dans la sérénité, vu les règlements de compte à prévoir. Que faire du faux directeur, dont la diplomatie façon baston est bien connue ? Une exfiltration serait bienvenue, mais là, c'est pareil, si une prime à la casse pour se débarrasser d'une brebis galeuse est possible dans le privé, pas certain que ça marche. Si le destinataire du bébé se renseigne un peu, à Lisieux et à La Flume, l'enthousiasme initial va baisser. Cerise sur le gâteau, la libération des locaux de l'école Jean Laf' n'est pas due au hasard, car l'Hôtel du Haut Doyenné, vénérable maison, est un peu obsolète côté normes et aurait besoin d'un lifting. De là à imaginer qu'ils ont préparé leur coup en évitant de caser des K-sos lapinistes dans les tours, il n'y a pas des kilomètres. Pour avoir discuté du problème avec Mr Auzoux, l'homme chargé de ce nid de tapis volants, il est grand temps de mettre un peu d'ordre avec un médiateur incontesté. Pourtant le même insiste pour son pôle muséal dans le journal et va se ramasser un deuxième gamelle.
MONTRE TES CLAVECINS
MAJ 21.08.2011 : Ceux qui suivent se souviennent de l'épisode tragi-comique du coup du vrai-faux clavecin de l'an dernier (voir ci-dessous "LE TOCSIN AU CLAVECIN). Finalement, la CCLPA a acquis un clavecin, encore que, vu que le premier était soit disant acheté avant d'être rendu, tant qu'on a pas vu la facture acquittée... La chose a été inaugurée en petite pompes en mars. Ce modèle bas de gamme bénéficie d'une clim de luxe achetée pour son prédécesseur. Longue vie donc à cet instrument, et défense de rigoler derrière l'abat son. Il paraît que la baguette de chef d'orchestre dont se sert l'actuel faux vrai directeur serait marquée aux initiales JPS. Encore un truc à rendre à son légitime propriétaire, et donc une nouvelle dépense à voter en conseil communautaire, vu le coût d'un bout de bois millésimé. Vu l'ambiance de rébellion généralisée à la CCLPA, pas sûr que ça passe, même en commission.
LE TOCSIN AU CLAVECIN
MAJ 19.10.2010 : Cet article aurait pu aussi s'intituler "Cachez ce clavesein que je ne veux plus voir" ou encore "Ducornet n'a plus de piston". Dans un article de OUEST FRANCE de l'an dernier, du 26.09.2009 les camarades Delanoë et Josien plastronnaient fièrement devant un clavecin, que la maison "venait d'acquérir". Il a d'ailleurs fallu installer un humidificateur, cet instrument à cordes pincées (comme une guitare) étant un petit sensible qui se désaccorde facilement. Bis repetita dans le Pays d'Auge du 29.09.2009, le prix est même indiqué 14000€. Idem dans l'Eveil du 30.09.2009. Effectivement le clavecin est resté toute l'année dans la salle centrale du rez-de-chaussée. Puis a disparu cet été (2010), repris par son légitime propriétaire, un facteur du nom de Ducornet. Pour le festival de musique ancienne en juillet cela a été la course pour en trouver un en location, ça ne doit pas se trouver sous le pied d'un cheval et bonjour la facture. Bref, cet achat n'a jamais eu lieu, et on a raconté des sornettes dans le poste. Ca jette un sérieux doute sur le reste. C'est d'autant plus inquiétant que l'ensemble de la compétence culturelle vient d'être basculé à la communauté de commune, on a donc pas fini de rigoler dans ce domaine ou le rat des champs excelle moins que le rat des villes. En plus, il va bien falloir en acheter un, de clavecin, ne serait ce que pour la climatisation, qui s'ennuie à mourir et va évidemment tomber en panne si ça dure un peu. On pourra toujours s'en servir pour refroidir les vieux en cas de canicule. Et leur jouer "Il jouait du piano debout", sur un clavecin, ça devrait faire pleurer les mémés.
JEAN MICHEL ET LA HAINE INCARNÉE
MAJ 04.03.2011 : Résumons : l'Ecole de Musique, ENM à rayonnement départemental, est un véritable champ de bataille radioactif, où l'enchaînement des maladresses de la mairie d'abord et de la CCLPA ensuite ont abouti à une situation inextricable. Seul un médiateur faisant autorité pourra décanter la situation. Le problème central est l'éviction du vrai directeur Jean Pierre Seguin, et son remplacement par un individu qui serait très contestable. L'ECHO JOLI attend pour se prononcer que les affaires judiciaires en cours le concernant soient jugées. Un proc aurait quand même fait appel dans une sombre histoire de harcèlement. Evidemment, comme il s'agit d'une lutte de pouvoir entre ce faux directeur, la haine incarnée qu'est Dominique De Faccio, l'élu de la CCLPA chargé de la culture et les victimes que sont les élèves, les parents d'élèves et le personnel de l'école, il y a de l'ambiance. Nous avons relaté ce qui est arrivé à deux membres du personnel, l'un licencié à un mois de sa titularisation dans des conditions acrobatiques, l'autre accusé de vol, perquisitionné, mis en garde à vue et totalement innocenté par la suite. Mais les vipères du noeud du chignon de la violente première adjointe d'Aubril ont continué à persifler leur venin maléfique. Aux dernières nouvelles, bien que Jean Michel aurait dû être immédiatement réintégré, avec les excuses circonstanciées du faux directeur, la bouiffe lubrique en rajoute une couche : Jean Michel est sous la menace d'un mise à pied de deux ans sans solde. Les accusations sont évidemment bidon. Jean Michel et Christophe sont défendus becs et ongles par une femme de caractère présidente de l'APEC, et par ce site qui décrit la réalité de ce qu'est l'arbitraire brutal et cruel dont sont capables les UMPistes ex-Gaullistes les plus sectaires. Ca va un peu loin quand même. Question : la corde modèle France Télécom est-elle fournie gracieusement par le CCAS ? Il y a un moment où il faudra passer à la protestation des élèves (dont je fais partie) et de leurs parents, voire des professeurs. A la rentrée du 14 mars par exemple, une semaine avant le premier tour des cantonales, une belle batacuda ferait son petit effet, avec défilé instruments crosse en l'air, sauf pour les pianistes, ça va de soi.
Le tapis volant des médusés
Les couillonnés sur le tapis de la honte qui les emmène en exil : Delanoë, Auzoux et De Faccio.
L'école de musique, vue allégorique, Radeau de la Méduse, Géricault.
MAJ 10.04.2011 : Après 5h1/2 de discussion, une commission de discipline composée de trois maires des environs de Caen, trois syndicalistes et d'un premier conseiller du Tribunal Administratif a blanchi Jean Michel Pissot, le régisseur qui avait été accusé à tort de vol et de tous les maux du prolétariat, avec garde à vue, et mise au trou au commissariat. Il a reçu sa lettre le vendredi suivant, c'est du rapide et du bien torché. C'est un désastre pour la bande des cinq, qui va devoir se poser des questions sur la manière de gérer le personnel de la première adjointe, dont les vipères de chignon en ont perdu leur venin. Autres victimes colatérales de cet exocet musical : Firmin, en tant que président de la CCLPA, son adjoint à la culture Christian Auzoux, qui ferait mieux de présenter sa démission, le faux vrai directeur de l'école de musique, Laurent Delanoë, qui a perdu le peu de crédibilité qui lui restait, et doit en tirer les conclusions personnelles, et les bobos Binet et Gestin (qui a été nul pendant l'audience), mignons fonctionnaires encostardés de la CCLPA. Ca fait beaucoup de monde au tapis volant. Comme on a affaire à des Branquignoles qui manquent de réflexes professionnels, le site de la CCLPA faisait toujours mention des victimes de la bande d'abrutis, élus et fonctionnaires, Jean Michel PISSOT et Christophe HELOUIN (dont le cas reste à régler, car il a été licencié juste avant une titularisation méritée).
Directeur quelconque de la CCLPA recherchant des tapis de danse soit disant volés. On t'a dit qu'ils étaient au Bolchoï... Aux dernières nouvelles le tapis volant à la recherche des tapis volés serait entre Téhéran et Beyrouth.
ARTILLERIE LOURDE A L'ENM
MAJ 19.01.2011 : Articles corrects dans les trois journaux. A ceci près qu'ils n'insistent pas trop sur l'air con et la vue basse des instigateurs de cette pétaudière, le faux dirlo, le DRH et le dirgen de la CCLPA, et les politicards qui les ont couvert ou excités : Auzou, De Faccio et Aubril. On doit aussi se poser des questions sur "l'instrumentalisation" du parquet, qui a autorisé une perquisition domiciliaire pour 200€ de matériel soit disant volé, retrouvé dans les placards de l'école de musique. Si le Proc obéit à Aubril et aux marquises au doigt et à l'oeil, pas étonnant que les plaintes des citoyens restent en plan. Celui-là, il va se ramasser une bafouille à son supérieur hiérarchique, ce qui me tentait depuis longtemps, mais là l'occasion est trop belle. Merci les gars. Même les yeux bandés, Thémis s'apercevra bien un jour que deux poids deux mesures dans le même plateau, ça fait pencher la balance. Maintenant, tenter de faire passer à la trappe Christophe et Jean Michel, comme ils semblent vouloir le faire, va devenir un enjeu politique et polémique. Comptez sur moi pour jeter de l'huile sur le feu que vous avez allumé comme des imbéciles.
MAJ 17.01.2011 : Billet de JC Deslandes : Recherche d'indices Alliot-Marie est allée jusqu'à proposer des policiers au régime du président Ben Ali (lequel est désormais déchu). Des cadres de la CCLPA ont tout fait pour que des policiers mènent une perquisition chez l'un de leurs employés. Il est intéressant de dégager les points communs et les différences de ces deux situations. Votre temps de recherche : 3 heures (un temps de garde à vue).
MAJ 15.01.2011 : Le samedi matin (15.01), l'auditorium était pris pour une réunion, les élèves jazzeux (dont je fais partie) sont allés répéter dans la salle de danse.
MAJ 15.01.2011 : Les témoignages affluent sur le déroulement de cette journée du jeudi, à marquer d'une pierre noire. Le pouvoir d'Aubril vacille de plus en plus, car ce sont ses choix débiles, de recrutement d'abord et de politique productiviste, de bourrage de l'école de musique, et de dégradation de l'enseignement (sous-traitance à des associations) qui l'ont mené là. Cette crise inopinée, qui couvait depuis un moment, est la cerise sur le gâteau. Quand ils ont su que Jean Michel Pissot avait été embarqué, messieurs Delanoë, Gestin (DRH de la CCLPA) et Binet (Directeur des services CCLPA, pas le plus mauvais bougre), se sont déchaînés, pensant que l'affaire était dans le sac. Les mômes ont été virés de leurs cours (les parents pas prévenus probablement, puisque l'agent d'accueil, Christophe, est lui aussi viré). Réunion des profs dans l'auditorium : "Jean Michel est un voleur", etc... Bonjour l'ambiance. Quand on en a fait autant, et que le soufflé retombe, par un "non lieu", tu as perdu toute crédibilité. Seule issue : la démission. Encore heureux que le proc soit un mollasson aux ordres de la Chancellerie UMPiste, car trois cow-boys et un substitut mobilisés toute une journée pour des prunes, ça mérite bien un petit renvoi en correctionnelle pour dénonciation calomnieuse a minima, le code pénal étant plein de ressources pour embastiller le péquin moyen pour usage abusif de la sueur de fonctionnaire de police et usure aggravée de rond de cuir de magistrat. On apprend au passage qu'il n'y a pas que les plaintes de votre serviteur qui restent en plan dans le bâtiment en ruines de l'Evêché. Et que les cellules du commissariat mériteraient une petite visite des associations humanistes qui en ont plein la gueule des droits de l'homme. Voilà notre Nanard et son chignon occupés pour le week end, d'autant plus que les gribouilleux papier, alertés par ce site, sont sur le coup. Rendez vous lundi ou mardi dans la presse, une apothéose. Tout ça sur fond de campagne aux cantonales décidément bien mal engagée.
MAJ 14.01.2011 : La perquisition chez Jean Michel Pissot n'a rien donné, et les cow-boys du commandant Garcia se sont pointés avec lui (sans menottes) à l'école, pour des vérifications, en l'occurrence retrouver les objets "volés" dans les placards de service. En direct live devant témoin : "ce qui manque a été utilisé lors de travaux chez le (faux vrai) directeur". On ne va pas refaire un procès verbal pour si peu. Ils l'auraient ramené chez lui en voiture marquée "Police", ça la fout bien vis à vis des voisins. Bien élevés comme des semelles de rangers. Quant à Christophe, un courrier qu'il a reçu était antidaté pour abréger les souffrances des trois semaines de délai pour se défendre, pas de bol, cette bande de neuneus a joint des pièces d'une date postérieure. T'as l'air fin après devant le Tribunal Administratif. De vrais amateurs. Il a demandé un report de la commission paritaire qui devait avoir lieu lundi. Les deux sont soutenus par des minettes qui en ont dans la culotte et ailleurs, et par cette feuille "démagogique", en face on va passer un sale quart d'heure. Une bonne plainte pour dénonciation calomnieuse contre X, car on ne sait pas qui a signé la plainte pour vol qui a déclenché cette tornade, devrait mettre un peu d'ambiance. Et c'est là que le passé de certains va ressortir, en particulier pourquoi et dans quelles conditions se sont passées l'exfiltration de La Flume et l'embauche de l'instigateur de ce pataquès (qui a signé l'embauche, ma Marquise du Chignon des Orangers préférée ?). Car les éclaboussures vont arroser du monde : le faux vrai directeur, voire un de ses adjoints, le DRH de la CCLPA (et remplaçant théorique du retraité Bergeret), dont il se dit que ses dents rayent le parquet, le directeur des services de la CCLPA qui s'en était pris plein sa gueule d'amour lors de l'AG de l'APEC, Christian Auzou, chargé de la culture à la CCLPA, le noeud de vipères à elle toute seule chargée du personnel, et évidemment mon Nanard c'est pas moi c'est les autres, j'ai signé sans regarder. Vous êtes pénibles, il va falloir au moins trois substituts pour dépatouiller, et pendant ce temps là mes plaintes restent en plan. Pour s'en sortir, pas vraiment moyen de faire autre chose que réintégrer les deux victimes, et passer au stade règlement de comptes. Une lettre de démission devrait pouvoir résoudre une partie du problème, de toutes façons, cuit pour cuit, plus aucune crédibilité, autant s'en aller. Pas besoin de réembaucher, il suffit que le vrai directeur payé à rester dans ses charentaises reprenne son poste. Pour qui sont ces serpents qui sifflent dans son chignon ?
MAJ 13.01.2011, 18h30 : Nous avons évoqué dans les deux brèves ci-dessous de nouveaux épisodes de la guerre de tranchée qui règne à l'école de musique. Jean Michel, régisseur depuis 18/20 ans, mis à pied quatre mois suite à une altercation très récente avec le faux vrai directeur Laurent Delanoë, a été mis en garde à vue et son domicile perquisitionné aujourd'hui. L'Echo Joli ne sait pas à c't'heure où en est la procédure. Un sombre histoire de matériel qui aurait été volé. Connaissant les oiseaux tout est possible. Espérons que Jean Michel ne s'est pas fait piéger bêtement par un coup tordu. On apprend au passage que le camarade Delanoë serait moins regardant lorsqu'il s'agit d'utiliser les régisseurs pour un déménagement perso. Mais bon. Le proc, qui par ailleurs traîne de l'hermine pour les plaintes au pénal et les demandes d'ouverture d'information judiciaire pour Wonder de votre serviteur, a cette fois fait vite. Qui a déposé la plainte : le président de la CCLPA Aubril, le vice président chargé de la culture (Mr Auzou), la vipère à chignon, le dirlo de la CCLPA ? Car L. Delanoë, n'étant pas directeur titulaire, ne peut ester en justice. Evidemment, le scandale fait rage et la maison est en émoi, pas bon pour la sérénité de l'enseignement, et le mauvais exemple donné aux élèves. La tentative d'élimination de Christophe, autre régisseur, qui travaillait à l'ENM depuis quatre ans, et devait être titularisé, dans le même temps, fait désordre. Des interlocuteurs sont surpris de cette violence : "tout à l'air de leur réussir" à chaque coup de force. Ce n'est pas exact. Quand les victimes se défendent, et l'exemple du vrai directeur titulaire du poste est là pour le rappeler, la ville ou la CCLPA sont condamnées. Seulement voilà, c'est le contribuable qui paye, car les élus, et surtout les adjoints, n'ont rien à payer (c'est la loi). Alors, puisqu'on peut faire des saloperies gratos, quand on est méchant, violent, orgueilleux, certains individus n'hésitent pas. C'est au maire et au président de la CCLPA à maîtriser ce genre de situation. Encore faut il en avoir le charisme, c'est tellement mieux la politique du vélo crevé au fil de la Touques. J'en connais un qui doit bien se marrer. A suivre.
Au théâtre, mardi après- midi 11/01, c'était la honte. L'un de nos plus illustres compositeurs, Philippe HERSANT, prévenu à la sauvette, intervenait devant plus de cinquante élèves, professeurs et parents. Il fut ballotté du bar du théâtre jusqu'à la salle de spectacle où l'on entendait mieux une répétition de piano que ses réponses aux questions posées par les élèves. Quel accueil (sans la présence d'un cadre haut placé), quelle organisation, quelle image du Conservatoire ! Voici un flagrant délit de fautes graves commises par quelques censeurs. Heureusement que l'équipe du théâtre, directeur en tête, a tout mis en œuvre -disponibilité, compétence- pour pallier ces insuffisances.
MAJ 12.01.2011 : La tension monte d'un cran à l'Ecole de Musique, surtout vis à vis du personnel. C'est bien connu, quand ça va mal, ce sont toujours les lampistes qui trinquent. C'est ainsi qu'un agent d'accueil, dont le contrat arrivait à échéance avant une titularisation fin février, s'est vu reprocher une "insuffisance professionnelle". Bon, quand on veut se débarrasser de son chien, n'importe quelle petite erreur peut servir de prétexte. Curieux, un courrier serait signé Aubril soi-même. Pour une fois, ce n'est pas la vipère à chignon venimeuse qui joue les porte-flingue. N'empêche que le règlement de ce genre de conflits est de la responsabilité du directeur, pas du président de la CCLPA. Un autre, régisseur, a été mis à pied quatre mois, c'est beaucoup, suite à une différence d'appréciation au lendemain du concert de Coquainvilliers, avec le faux vrai directeur. Bref la machine à broyer est en marche, si bien que tout le monde balise à l'ENM. A qui le tour ?
MAJ
12.01.2011 :
Lors de la cérémonie des vœux de la CCLPA (le 10/01 au théâtre), la remise des médailles au personnel du Conservatoire et du Nautile restera un moment inoubliable. La scène des bisous de la vice-présidente en charge des ressources humaines fut particulièrement grandiose, mélodramatique et pathétique. L'ombre de Corneille planait dans les cintres du théâtre et je demeure abasourdi. JC Deslandes
APECcable.
MAJ 21.10 : Un système totalitaire (même s'il se donne des apparences démocratiques) ne peut survivre que s'il contrôle l'information. L'ECHO JOLI est un bon exemple qui démontre qu'on peut complètement démanteler et détruire à l'avance des coups tordus rien qu'avec la liberté de la presse sur internet. Le site mis en place par l'association des parents d'élèves de l'école de musique (APEC) est en train, avec sa qualité et son forum, de torpiller quelques années de sombres tractations. Il faut dire que la présidente de l'APEC est une femme cultivée, dynamique limite hargneuse, qui n'a ni son cerveau, ni sa langue dans sa poche, ce qui fait qu'en face on a intérêt à tout numéroter, surtout de un à deux. Avec obstination, la Justice condamne la CCLPA (qui a pris la suite de la ville, la continuité des emm.. étant une règle de droit), le Tribunal Administratif ayant donné raison en décembre 2009 au directeur en titre de l'école de musique, JP SEGUIN, sur la nature du poste où les politicards voulaient le mettre au placard. Il serait quand même temps de mettre un terme à cette gabegie financière, car l'orgueil de têtes de mules avec ou sans chignon coûte cher au contribuable en procédures et honoraires. Et pour cela il faut un négociateur ayant un certain charisme, c'est sûrement pas dans la bande des cinq qu'on va le trouver. Car pendant ce temps là, nous payons un directeur titulaire à se glandouiller dans ses charentaises et un faux vrai qui dirige sa boutique vaille que vaille.
http://apeclisieux.leforum.eu/f1-apec-lisieux-le-forum.htm
MAJ 25.09 : Il est facile d'énoncer dans la presse (Ouest France du 15/06) : "le conservatoire n'a jamais aussi bien fonctionné que depuis qu'il dépend de la communauté de communes." Il devient périlleux d'avancer de tels propos face à des parents d'élèves.
MAJ 24.09 : l'APEC est l'association des parents d'élèves de l'Ecole de Musique (voir l'édito). La mise en place de ce site par le fils d'une de ces dames est un coup dur pour la bande des cinq. En effet, plus moyen de manipuler les parents par des articles de complaisance et des mesquineries sordides comme placer des panneaux dans le hall devant le panneau de l'APEC, obliger à passer par le dict... pardon le faisant fonction de directeur (le vrai est toujours Monsieur Seguin) pour afficher, etc... En plus le site est classe. Je travaille sur le net depuis plus de 10 ans et on voit les bons tout de suite. Le grotesque est que c'est l'ENM qui devrait en avoir un, de site, mais vu l'archaïsme administratif, c'est pas près. Si le directeur général des services de la CCLP, le camarade Binet, me lit : un conseil, embauchez le loustic. Au fait quelle est la forme du vase pour le vide sidéral de la mairie ? Réponse : une selle de vélo. Quelle est la musique qui rompt le silence intellectuel de la CCLPA ? Réponse
: une sonnette de vélo.Musicalité partagée
"EXPLOIT" A L'ECOLE
DE MUSIQUE
MAJ 12.05 : La création des classes "culturelles" en primaire a fait l'objet d'un débat en conseil. Firmin s'est répandu en compliments dithyrambiques, en cirage de pompes, en festival d'obséquiosités pour mettre sur un piédestal le génial Inspecteur d'Académie (alors que l'idée date de 2004 cf ci-dessous). Alors que Michèle Gesnoin (adjointe à la culture) était rapporteur, elle n'a pris la parole que pour lâcher en persiflant : "je vous laisse parler de ce dossier, puisqu'on sait que vous faites tout bien". Et paf !
MAJ 08.05 : Placards du conservatoire: réalité ou fiction? Au conservatoire, le conseiller en architecture planche actuellement sur la réalisation des placards. Le deuxième qu'il vient d'achever est destiné à l'association des parents d'élèves ( APEC ). Il est garni de magnifiques étagères en pin noir de Sibérie qui porteront les nombreux documents que les parents ne peuvent plus afficher librement. Pour qui et pour quand, le troisième placard ? Jean-Claude Deslandes (NDLR : fréquentant les lieux pour y jouer de la musique de singe, on trouve effectivement de tout : des canards, des bruissements, des partitions délaissées par une pianiste éconduite, 43 rapports égarés, du papier bleu en pagaille. Il y a aussi des alcôves et là, chut !). MAJ 06.05 : Triomphal, soudainement devenu amis des arts et de la culture autrement que sur deux roues, le fossoyeur de l'hôpital qualifie "d'exploit" le fait d'être parvenu à ouvrir trois classes à horaires aménagés pour la musique, la danse et le théâtre, dans le cadre de la richissime communauté de communes. Votre journaliste amateur avait découpé l'article qui sonnait un peu le faux, compte tenu de la dramaturgie qui est en train de se jouer, car nous n'en sommes pas encore au dernier acte. Bon, en école élémentaire, "pas besoin d'un niveau scolaire exigeant", autant dire que c'est qui veut bien. Car par les temps qui courent, déjà, quand tu tombes sur des CM2 qui savent lire et écrire, c'est un miracle. Il y aura quand même des "tests d'admission" le 26 mai. En quoi ça consiste et qui va les faire, mystère. Il est d'ailleurs fort possible qu'il y ait foule, la Star Ac' étant passée par là, les géniteurs des Dieux Vivants Intouchables, sortis de la cuisse de Jupiter, vont penser dans leur grosse tête que leur mirifique progéniture a droit à ces enseignements artistiques. Hyper-actifs s'abstenir, ça va empirer. Le "nouvel" inspecteur de l'Education Nationale, a paraît-il "battu le terrain" (fais gaffe, faut plus rien battre, sinon c'est les assises), pour imposer cette brillantissime idée. Pas de bol, par le truchement d'honorables correspondants, nous avons appris qu'en date du 28 février 2004, un certain Jean Pierre SEGUIN faisait un 13ième rapport bimestriel au camarade Bergeret, directeur du service culturel. Après un paragraphe 1-1 ou le proviseur de Gambier et le mammouth en prennent pour leur grade, les paragraphes 1-2 et 2-2 (et la suite) décrivent avec une précision chirurgicale ce qui vient d'être mis en place et dont Firmin s'attribue les mérites, alors qu'à l'époque la CDC n'avait pas suivi. C'est souvent comme ça, les médiocres ont un art consommé de s'approprier les bonnes idées en piratant et pillant sans vergogne les innovateurs. Bref, c'est encore une imposture. Quelques passages sont savoureux, comme les parents d'élèves (récemment dégommés du conseil d'administration de l'école) qui "contestent musicalement" un des profs "dévoué" et déployant "une indéniable bonne volonté". On notera que le signataire de ce brûlot officiel a fait 43 rapports du même tonneau, il en reste 42 dans le tuyau. Ayant une petite souris à l'école de musique, une présentation enthousiaste a eu lieu le 03.05 à 18h. Les camarades Delanoë (faux vrai directeur) et Josien, interrogés par la foule en délire, on eut bien du mal à répondre aux questions, normal, ils ne sont au courant de rien réellement eux même. Ce qui comptait en effet c'est l'effet d'annonce à la Sarko par son subalterne Lexovien : "il fallait bien dire ce qui allait bien à Lisieux".
EN MARGE : Bien que bon nombre d'usagers de l'ENM, dont l'association des parents d'élèves soient au parfum au sujet d'un passé sulfureux, un renvoi tarde à venir. Pourtant la personne "qui ne cache pas son désintérêt pour les classes musicales" a été informée par qui de droit, de même que les trois journaux, vous savez, la rédaction unique. Il ne reste plus qu'à allumer la mèche et cela ne va pas faire long feu.
MARCHE FUNÈBRE POUR L'ENM
Quand c'est les finances publiques qui payent les avocats, c'est quand même plus facile de s'acharner sur une personne.
MAJ 03.12 : Comme suite au jugement du tribunal administratif annulant les décisions de la communauté de commune concernant la mise au placard de Jean Pierre Seguin, toujours directeur de l'Ecole de Musique, donc, l'intéressé s'est pointé mardi 1er décembre à 9h05 pour reprendre possession de son bureau, escorté par un huissier. Comme par hasard, le directeur général des services de la CDC, un certain Vincent Binet, était sur place pour le virer une nouvelle fois en trois minutes, prétextant qu'une nouvelle notification sur ses nouvelles attributions lui serait adressée. C'est donc reparti pour un tour, Aubril chipote sur la rédaction du jugement qui n'aurait pas cassé la mutation, mais la nature de la mission. L'huissier a pris acte et cela risque fort de se terminer par un référé sous astreinte, la fourchette dissuasive étant à la discrétion du juge des référés, à la grosse 500 à 2000€ par jour. Si la victime de la barbarie cynique de nos as de la gestion des ressources humaines était en arrêt maladie, c'est la sécu qui banque, il faut à partir de ce fatidique 1er décembre, payer à nouveau le salaire. Dans le privé, il y aurait eu transaction, parapluie doré et retraite chapeau, mais pas dans le public, c'est verboten et le trésorier payeur ne prendra jamais une telle décision qui ferait jurisprudence. Pas de bol, passe Yves Ménard, gribouilleux à l'Eveil, d'où l'article de ce jour. On remarque la prudence de Sioux : on ne parle plus de "directeur" comme dans moult articles précédents, mais de "faire fonction". Nuance. Re pas de bol, passe la présidente de l'association des parents d'élèves de l'école, qui s'avère être au courant des démêlés judiciaires du faux vrai directeur (Mr Delanoë), paraît-il une sombre histoire d'agression (requalifiée), et instruite à Rennes. L'Echo Joli a même un numéro de dossier n°2007/55/604. Autant dire que la mise au rancard et évacuation par la poterne du couloir des WC est proche. L'ENM "à rayonnement départemental" aura donc un vrai directeur viré, cool dans ses pantoufles, et un faux directeur un peu empêché d'exercer dans un milieu propice. Cela devient tellement stupide, sordide et sulfureux que tout est possible. Des décisions maladroites, violentes, méprisantes ont été prise par Aubril Bernard durant son premier mandat, et Bernard Aubril se prend les conséquences de plein fouet dans le deuxième. L'Echo joli va poser la question du coût en frais de justice de cette plaisanterie pour les Lexoviens.
MAJ 30.06.2009 : Lentement mais sûrement, l'association des parents des élèves de l'Ecole de Musique, APEC, (qu'ils appellent conservatoire, tout un symbole) se rebiffe, comme le cave des polars, héros et victime des pervers du Milieu. Un cave, en argot, c'est un michton, un innocent, un dupe, un naïf, un maladroit, qui pense pouvoir rivaliser et /ou s'encanailler avec le Milieu. Le Milieu ? C'est pas beau à voir, car quand on sait ce qu'on sait, l'APEC n'est pas au bout de ses surprises. Il faut fouiller, et les dessous sont pas chics. Par exemple, se renseigner sur les curriculum, professionnels et annexes. Erreur de casting ? Pas vraiment. Ce ne serait pas la première fois qu'une blague de management serait commise par une certaine marquise.
C'est comme dans les grosses surfiasses, la musique tourne en boucle. Nous voilà revenu à l'anacrouse. L'hôtel du Haut-Doyenné n'en finit pas de bruisser, et ses murs, bombardés quotidiennement de canards, en entendent des vertes et pas mûres. Ce n'est qu'intrigues, calomnies, ragots, rumeurs, messes basses, et un non initié a du mal à s'y retrouver. Ce n'est pas avec les énigmes ésotériques distillées dans la presse, en particulier celles du camarade Jean Claude Deslandes, que le quidam de base peut y comprendre quelque chose. Il est donc temps de mettre un peu d'ordre dans les esprits, et de suivre les tenants et aboutissants. Bien entendu, l'ECHO JOLI est un journal, et tenu de respecter les points de vue des parties et de publier le cas échéant rectificatifs et communiqués, le tout sous la responsabilité pleine et entière de leurs rédacteurs. Etant donné les enjeux, financiers et moraux pour certains personnages interlopes, il vaut mieux éviter le case Tribunal d'Instance. L'histoire commence avec la nomination de Jean Pierre Seguin à la tête de la maison, du temps d'Yvette. Il a les diplômes, ce qui n'est pas vraiment le cas de tout le monde, y inclus celui qui est présenté comme le directeur. Une ombre au tableau, JPS avait un penchant avéré pour les charmantes professeurs de piano, faute découverte et sanctionnée, on aurait dû en rester là, je sais bien qu'on est dans une ville bourge guindée (en surface, les plus prudes et vertueux le sont moins lors de leurs aventures), mais tout de même. Des frasques de cet ordre n'influent pas sur la bonne tenue d'une épicerie. Et on sait que l'exemple vient d'en face, outre rue Henri Chéron. L'équipe Aubril arrive au pouvoir. C'est la patronne du personnel, notre chère Marie Antoinette du Chignon des Orangers (Mme De Faccio) qui s'occupe du personnel en général et des hommes de culture en particulier, ceux qui sont dans le collimateur du patron du service, un certain Bergeret. La première victime de ce couple infernal est Michel Batrel, éjecté comme un malpropre, vu récemment, et toujours --selon ses dires-- en procès avec la mairie. La ville a déjà été condamnée, mais résiste tant et plus, donc l'ardoise s'aggrave. Il est quand assez piquant de constater que le directeur du service culturel s'installe au début des hostilités avec JPS dans l'école de musique (au premier étage, tout en conservant son pied à terre à l'Espace Victor Hugo. A suivre....
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