Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps.

 

Personne ne lit cette feuille, sauf que tout le monde est au courant.

 

        

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LES CLANDOS DE LA CITÉ JARDIN

 

 

 

 puis des BUISSONNETS et CAMBREMER !

 

 

 

 

 

MISE À JOUR DU 07.11.2024

 

Cette page a été reclassée en classement chronologique inverse

 

 

 

 

 

 

 

LES VOILA ARRIVÉS A CAMBREMER !

 

 

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MISE A JOUR DU 31.10.2024 :

Le feuilleton continue puisqu'après l'envolée de moineaux avant l'arrivée des CRS qui se sont pointés la gueule enfarinée avec le sous-préfet à midi, les clandos dispersés dans les rues ont été récupérés par les délinquants pour les emmener dans l'ancien EPHAD de Cambremer. L'établissement a été cambriolé le 27 octobre (pas par les clandos) pour un premier lot de squatteurs, auxquels se sont ajouté ces 40 personnes dont les soit disant 21 enfants "scolarisés à Lisieux" (repas et fournitures scolaires aux frais du contribuable Lexovien cela va de soi). C'est probablement un gros mensonge pour faire pleurer Margot dans son gourbi, fermé du coup à double tour, rentrez vos poules. Sector Alarme est sur le coup, vous savez la pub où le cambrioleur est un petit vieux moustachu blanc alors que la victime potentielle est un grand black baraqué avec une famille disons bigarrée : un peu dégueulasse vous trouvez pas ?

Les commentaires sur la page du Pays d'Auge sont étonnants par rapport à il y a pas si longtemps, à tel point que ça fait dégueuler les gauchiasses de service, qui ne se rendent même pas compte que c'est tout bénef pour le Rassemblement National et Reconquête. Les gens en ont raz le bol de ce merdier et se lâchent.

Le problème est que ce vaste bâtiment comporte 40 chambres, plus des communs, on peut loger près de 150 personnes, à comparer avec la population autochtone de 1310 habitants qui vivait paisiblement entre blancs de souche. Si à Lisieux il y avait quelques distractions et des détournements de bouffe et autres dans les assocs gauchistes et cathos  possibles, Cambremer, pour un oisif en situation irrégulière, c'est l'enfer. On va voir la tronche des parents quand les soit disant 21 gosses vont débouler à l'école, vous savez, ceux qui laissent traîner leurs vélos par terre sous la flotte.

Sans compter que les délinquants font croire que les squats de la Cité Jardin sont vides, alors qu'il y a de la lumière et des poubelles dans certains logements (Note du 05.11 : les logements sont effectivement vides).

Il est vraiment temps que le préfet, qui a manifestement reçu des instructions du ministère de l'intérieur, se décide à déposer plainte et faire embastiller.

Et la prochaine fois mon petit gars, tu fermes ton clapet et tu boucles les lieux à 6h du mat sans prévenir personne.

On va voir notre justice à l'oeuvre, vu qu'il n'y a plus que des femmes, on a pas fini de rigoler.

 

 

 

 

 

SCOOP  LA POLICE VIRE LES

 

 

 

 

CLANDOS DES BUISSONNETS

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 30.10.2024  18h :

Ca n'a pas traîné, le préfet et probablement les cadors de la place Place Beauvau en avaient sans doute marre de se faire foutre de leur tronche par toute cette pègre. Cette opération de squat était en effet un précédent fâcheux, d'autant plus que la présidente de l'assoc bidon déclarait "qu'il arrivait des personnes tous les jours", forcément. On cite 40 personnes, mais la capacité du lieu est comme je l'ai déjà dit de 150 en tassant bien. Quand au coup des 21 enfants c'est un gros mensonge, des gosses, ça se voit, ça joue dehors. C'est comme pour les portes "restées ouvertes".

Il a dû se produire des fuites, car la page facebook de OUEST FRANCE indique que ce matin tout le mondé était dans la nature avant l'arrivée des CRS et de nos poulets municipaux vers mldi, en grandes pompes avec la charrette du Sous-Préfet. Effectivement  certaines personnes erraient du côté de la Cité Jardin. Là, je conviens que ce n'est pas vraiment un bon plan, mais il n'avaient qu'à rester, ils auraient été pris en charge, du moins faut il l'espérer.

L'histoire n'est donc pas finie car on ne sait pas où ils vont passer la nuit. Après tout, si vous les aimez, prenez les chez vous.

Evidemment OUEST FRANCE était sur le coup, c'est par ici.

Les commentaires de la page facebook du Pays d'Auge sont édifiants https://www.facebook.com/journal.paysdauge , plus une seule pleurnicherie, des avions et des bateaux, des by by, les temps changent. Les Français en ont manifestement raz le bol.

Il reste quand même à régler définitivement le cas de la cité jardin, INOLYA pourrait se remuer les fesses pour murer.

 

   

 

 

MISE A JOUR DU 29.10.2024 :

Il est quand même assez stupéfiant de voir un journal comme OUEST FRANCE prendre fait et cause pour des délinquants, les clandestins comme les membres du "collectif", avec de gros mensonges et les écarts de langage habituels de la presse aux ordres.

Ca commence à coincer, car pour essayer de bloquer l'arrêté d'expulsion (quand même) du préfet, il a fallu faire des référés devant le tribunal administratif et là il faut un avocat. Et là les gauchiasses doivent payer, puisque les clandestins n'ont théoriquement pas de ressources et vivent en parasites en particulier pour l'alimentation. Tant que c'est le contribuable qui se fait racketter, tout va bien, quand tu dois sortir les picaillons, les doigts crochus marxistes font de la résistance. Il m'étonnerait d'ailleurs qu'un avocat mandaté par des clandestins ne se fasse pas blackbouler par le tribunal.

A suivre...

 

 

  

 

 

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 21.10.2024 :

La proc, le préfet, le député et le maire  ont laissé se développer une situation complètement illégale par un collectif de gauchiasses, totalement irresponsables, qui évidemment ont multiplié les délits : cambriolage, aide au séjour irrégulier d'OQTF, vol de gaz et d'électricité, pillage des assocs humanitaires avec la complicité de leurs dirigeants pour l'alimentation, avec détournement de fonds publics puisque la ville et l'état les subventionnent, "récupération" à la ressourcerie des dons des généreux Français plutôt blancos et j'en passe.

Pour les six logements INOLYA (rappel Onc'Don'Sous est administrateur) le tribunal a pris son temps, un an pour signifier une expulsion.

L'épisode ENEDIS qui voulait légitimement couper le courant surtout pour des raisons de sécurité (raccordements sauvages) prouve une complicité généralisée dans les administrations. On ne sait pas encore quel est le niveau d'implication du CCAS dans ce désastre.

Le coup du raccordement électrique sauvage entre deux maisons a peut être été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase.

Du coup la bande de délinquants de gôôôche a cherché un autre lieu. Comme ce sont des "illettrés" au sens Macronien, ils se sont fait avoir comme des bleus. Ils pensaient que l'ex clinique des Buissonnets appartenait toujours au diocèse, pas de bol, un promoteur privé a acheté en décembre 2023. Ils misaient sur le fait que les curés allaient la boucler, et que leur pape wokisto-LGBT allait approuver.

Si les quatre rigolos cités ne sont pas des foudres de guerre, cet entrepreneur, lui, en a dans le petit bateau. Constat immédiat, remontage de bretelles des rigolos, et probablement mise en branle du relationnel avec des élus plus burnés, voire des officines occultes. Du coup, le tribunal a ordonné de faire dégager tout ce merdier sous huitaine, dernier carat vendredi. Notre squatté a le bras long.

Il va falloir que le préfet expédie une équipe de garde mobiles, car le risque d'une manif violente de gros bras, bas du front non national, n'est pas exclu.

Evidemment, on ne peut pas relâcher la volière dans la nature, il va falloir embarquer tout le monde en bus et éparpiller façon puzzle, voire directement dans l'avion, il y a un aéroport à Deauville. Bon, c'est pas la même clientèle.

Si les rigolos laissent encore pourrir la situation, il y a un gros risque pour les propriétaires de logements vides de se retrouver à la rue en rentrant de vacances, rigolez pas, c'est déjà arrivé. Y compris pour des locaux municipaux.

On remarque --sauf erreur-- que le Pays d'Auge est remarquablement discret, par contre OUEST FRANCE continue de relayer allègrement les mensonges de la bande, entre autre la présence de 21 gosses, y compris ceux qui laissent traîner leurs vélos pillés sous la flotte.

 

 

 

La croix Chrétienne fait un peu désordre. Il y a de quoi loger au moins 150 personnes en tassant un peu.

 

CLANDESTINS : LE CAS S'AGGRAVE 

 

 

 

MISE A JOUR DU 02.09.2024 : Après le coup de force ayant entraîné un repli stratégique des potes CGTistes d'Enedis, le tout sous la surveillance bienveillante de la maréchaussée, en attendant la suite, ils insistent pour que le courant soit rétabli, alors que les branchements sauvages et les raccordement entre maisons sont toujours là. L'effet sur la population qui paye son électricité avec bien du mal pour les petits retraités est garanti. Pareil pour les sacs jaunes du recyclage des emballages, nombreux et bien remplis (rappel tout cela vient gratos des restos du coeur ou similaires).

Autre mensonge : la présence dans ces six logements de 29 personnes dont 17 enfants. 17 gosses, ça joue et ça se voit, or on n'en voit pas, sont ils rivés devant des consoles généreusement offertes par la préfecture ? Il y en a quand même quelques uns, ça se voit aux vélos laissés par terre sous la flotte. Dans les codes occidentaux, on range ses affaires à l'abri.

En fait les boîtes aux lettres servent probablement de... boîtes au lettres pour des personnes qui n'habitent pas là, un bon moyen de truander les services sociaux et la préfecture sans doute, qui se laissent faire peut être un peu trop facilement.

D'ailleurs, à ma connaissance, il n'y a aucun contrôle d'identité des personnes présentes, car ça a l'air d'aller et venir, et rappelons le ce genre de squat est très prisé de délinquants multi-récidivistes en cavale.

 

Etant donné la gravité des faits, il est du devoir d'un citoyen de les dénoncer, d'où ce cliché qui prouve qu'un raccordement électrique d'une cinquantaine de mètres a été réalisé par "des électriciens professionnels" (pareil pour le gaz), entre le troisième squat coupé et un des deux autres. Pas certain que Enedis soit au courant du bricolage, ni le préfet.

 

 

 

MISE A JOUR DU 27.08.2024 : Cette affaire est délicate à traiter, car il ne faut pas fournir le moindre petit prétexte à la bande de gauchiasses et néanmoins délinquants de hurler aux heures sombres, à la bête immonde au ventre fécond, à l'ultra-droite, le tout, comme nous le verrons, avec la complicité de certains journalistes qui ont manifestement pris fait et cause en inversant les valeurs, et en enfumant les lecteurs en détournant la signification des mots. On parle de "migrants", de "réfugiés", de "précaires", "d'exilés" de "squaters", "personnes privées de droits" au lieu de clandestins sous OQTF qui devraient être expulsés depuis longtemps, de "personnes en situation de précarité énergétique" au lieu de voleur d'électricité (et de gaz) etc...

Comme les trois journaux de Lisieux sont je le rappelle une "rédaction unique", il est étonnant qu'un rédacteur en chef n'ai pas encore remis un peu d'ordre dans les esprits de certains gribouilleux, ça fait désordre pour la crédibilité du contenu de OUEST FRANCE par exemple.

Quand on en est à relayer servilement les dires des voyous (pas les OQTF) : "les portes étaient ouvertes", on ne fait plus du journalisme mais de la propaganda immigrationniste. Les juges encaissent cette fable à dormir debout.

 D'ailleurs, le directeur d'Enedis que la bande a mis en cause en le traitant carrément "d'inhumain" pourquoi pas affameur du peuple (pour l'énergie) a réagit en déclarant déposer plainte, manière de se couvrir juridiquement, car si un clandos s'électrocute à cause des branchements sauvages, il se trouvera bien un juge 50 nuances de rouge pour le coller en détention provisoire comme un vulgaire policier dézinguant un refus d'obtempérer, avec en prime sa tête mise à prix sur le mur des cons local.

 

Les citoyens honnêtes qui payent leur loyer et leur énergie sont en droit de s'étonner que la plaisanterie dure depuis un an maintenant. Comme le problème n'a pas été réglé rapidement, la situation s'embrouille et se complique progressivement.

Le maire de Lisieux, Onc'Don'Sous, qui est de surcroît administrateur et membre du bureau d'Inolya, porte une lourde responsabilité, mais les préfets aussi, pas certain d'ailleurs que le préfet de région soit au courant.

Sans aller jusqu'au bourre-pif, un maire placé dans une telle situation par un ramassis sous la coupe de militants LFI (La France Islamiste) ou NFP (Nouveau Front Palestinien) se doit de faire preuve d'une certaine fermeté sinon d'une hostilité républicaines.

Lors du concert de jazz à la Mosaïc, le camarade Canu, assis juste devant moi, s'est levé tout d'un coup et est allé saluer chaleureusement Sébastien Leclerc, encore un peu et c'était les patins façon URSS.

 

EN CLAIR, Sébastien LECLERC et Didier CANU s'entendent comme deux larrons en foire !!!

 

 

 

Cette affiche a été retirée, le directeur d'Enedis ayant déposé plainte.

 

Grève de la faim du camarade Morice, du pipo bien entendu, la preuve il grimpe aux poteaux.

 

 

 

Ca va Mougeon, toujours d'accord pour financer ces oisifs qui ne travailleront jamais ?

 

 

 

 

 

 

SQUATS CITÉ JARDIN  :

 

 

 

 

 

ENEDIS JOUE LA SÉCURITÉ

 

 

 

 

 

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Autre article OUEST FRANCE

 

 

MISE A JOUR DU 19.07.2024 :

On apprend au passage que le député élu à 58% est un mondialiste d'accord avec l'envahissement migratoire et pour l'entretien de ces oisifs aux frais de la princesse. Le boss d'Enedis fait de la résistance. Question : qu'aurait fait un député RN ? Céder au chantage des gauchiasses ou faire respecter la loi, dont le droit de propriété et l'exécution des OQTF ?

 

MISE A JOUR DU 18.07.2024 :

OUEST FRANCE nous gratifie une nouvelle fois sous la plume de Lucas Larcher, d'un tissu d'inexactitudes (si je dis mensonge je me retrouve au tribunal) indignes de ce respectable canard de la presse mainstream un peu aux ordres quand même. Le but est d'apitoyer Margaux dans sa chaumière pas encore squattée.

Morceaux choisis : les logements étaient effectivement vacants de la faute du très mauvais gestionnaire qu'est Onc'Don'Sous administrateur d'INOLYA (membre du bureau donc de l'exécutif), qui a en projet un coup foireux immobilier devenu impossible depuis que le pot aux roses de la modification du POS a été éventé. "Ont été réquisitionnés", cambriolés en fait (pas par les clandos), par un "collectif" dont un candidat LFI, "abandonnées" du tout, la preuve les autres maisons dans ce cas ont été murées (une bonne quinzaine), "a été ouverte" = portes fracturées, "prendre possession" = appropriation illicite etc...

L'article confirme qu'il n'y a pas eu de contrat avec un opérateur d'électricité, donc il s'agit de branchements sauvages sur des installations électriques totalement hors normes. Pareil pour le gaz où des branchement sauvages sans compteur ont été réalisés, rien de plus dangereux. Le seul moyen face à de tels bricolages (et vols) est effectivement de retirer la ligne d'alimentation.

Je me mets à la place du patron d'ENEDIS, avec les juges cinquante nuances de rouge c'est lui qui va se retrouver au gnouf si un môme qui n'a pas les codes --ça arrive-- se fait électrocuter, avec en prime sa photo sur le mur des cons.

Sans électricité, on passe en mode logement insalubre. Pas bien.

L'annexe du Pays d'Auge (rappel rédaction unique) n'est pas en reste avec deux articles du même jus :

https://actu.fr/normandie/lisieux_14366/lisieux-un-rassemblement-face-a-la-mairie-pour-denoncer-la-coupure-de-courant-dans-des-squats_61370184.htmlv

(la légende de la photo précise qu'il y a 20 clandos qui manifestent, c'est faux, c'est les répréhensibles...)

 https://actu.fr/normandie/lisieux_14366/il-entame-une-greve-de-la-faim-apres-une-coupure-delectricite-dans-deux-squats-a-lisieux_61366261.html

Le camarade Morice confirme au passage le coût journalier d'une chambre d'hôtel (comme l'hôtel de l'Europe), soit 40€ (à la charge de l'État, donc du Mougeon), renseignement essentiel pour comprendre comment sont engloutis les milliards de la dette, chiffre très difficile à obtenir, tout le monde jouant l'omerta.

La dame aux six gosses (qui laissent traîner leurs vélos par terre, pourquoi se gêner ça vient de la ressourcerie ou d'Emmaus avec son Abbé Pierre galopin) indique avoir bénéficié de la générosité des babtous (acronyme inversé de "tout blanc") pendant 4 ans, hypothèse 2 chambres 40x365x4x2 = 116800€, hypothèse 3 chambres 175000€ + bouffe gratos Restos du Coeur + téléphones portables gratos pour appeler la famille +++, un an de vacances dans le squat, avec évidemment scolarités gratuites (coût d'un mineur isolé 50000€/an une ruine pour le Conseil Départemental présidé par le président d'YNOLIA, qui pleure la misère et grille ses dernières cartouches financières avant mise sous tutelle du FMI, sans espoir un jour d'en revoir la couleur en cotisations au boulot. Détail, les six gosses ont un père (?), est ce monsieur avec qui elle se baladait l'autre jour ? Il bosse, lui, pour rembourser et assumer ses gosses ou est sous OQTF comme elle ?

A la grosse, rien que pour cette dame qui a certains aspects sympathiques, la facture en cinq ans est de 250000€.

Tout ce monde est sous OQTF, et s'il y a quelque chose d'économique, c'est l'avion. Avec pécule pour s'adapter au retour au pays, ça va de soi. Au passage, l'Albanie n'est pas en guerre.

Continuez comme ça les gars, dans un an le RN passe au premier tour et le fameux "barrage" va se retourner contre les gauchiasses.

De toutes façons, c'est pas un service à leur rendre, quand la corne d'abondance va se tarir, ils ne vont pas comprendre, et ça va être violent, car tout prouve "qu'ils " (pas tous) finissent par nous détester vu que les coups de couteau et les rafales de Kalach volent bas.

La balle est dans le camp des juges dans un premier temps, et du préfet à partir du 1er août. Pour lui, la situation était bien pratique bien qu'illégale : 20/25 de casés, sans être obligé de contrôler qui va et vient. Là, il lui faudra choisir entre l'exécution des OQTF et un relogement en centre d'accueil ou à l'hôtel.

Les parpaings pour murer sont en stock.

Citoyen, fais gaffe, si tu vois la bande traîner dans ton quartier, rentre tes poules.

Et si vous les aimez tant, au lieu de faire grève de la faim, prenez les chez vous.

 

 

 

 

SQUATS CITÉ JARDIN :

 

 

 

 

 

 

PARASITES ET NUISIBLES

 

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 03.07.2024 :

Le cirque des squats de la Cité Jardin continue de plus belle. On n'a pas eu le temps de vous en parler, mais une bonne quinzaines de logements ont été murés par INOLYA avec des parpaings pour éviter que la bande à Canu (LFI) et à Chapelle (Coco) continuent de fracturer des portes ouvertes, comme c'est marqué dans Ouest France, un comble de rédiger de tels mensonges dans ce vénérable journal.

Le cas est en train de s'aggraver car un agent de la société SAPIAN est intervenu dans le dernier squat en date. Soyons clairs : les clandestins arrivent de "sheet hole" (sic Donald Trump, en Français pays de merde), ou l'hygiène c'est pas trop ça, voyagent dans des conditions déplorables, mal nourris, pas soignés, logent dans des foyers ou hôtels borgnes avec la proximité qui va avec, souvent insalubres, avant de se faire expulser pour OQTF. Bien que l'AME coûte une blinde (2 milliards/an), sans compter le tonneau des Danaïdes des aides sociales du département du Calvados, en train de glisser vers la ruine, pour éviter les contaminations il y a quand même intérêt à requinquer ces braves gens, pour les restituer au pays d'origine en bon état et éviter des contaminations des populations locales.

Evidemment, les plus à même de se faire contaminer sont ceux qui les aident, dont la joyeuse bande de gauchiasses ci-dessous. Léon, revient, j'ai les mêmes punaises de lit à la maison. Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Parasitose beurk. A mon avis, la compassion des habitants du quartier va devenir moins enthousiaste.

On notera au passage que le député qui va faire sa sortie dimanche soir ne s'est jamais occupé de cette affaire à haut risque. Ca peut changer à partir de lundi.

Vu le site SAPIAN, ils font un peu de tout, les rats, les souris (pas touche aux petites souris de l'Echo Joli), punaises de lit, cancrelats, blattes, cafards, mites, cloportes, puces, poux, tiques, gale, bébêtes qui montent, morpions nord-africain (qui grattent), morpions sud-sahariens (qui démangent),  vérole sur le bas clergé, j'en passe et des meilleures.

Dernier détail : qui a payé ? INOLYA brillamment géré par son administrateur Onc'Don'Sous, le CCAS, le département, l'état ?

En fait comme d'hab, le Mougeon.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LES CLANDOS EXPULSÉS

 

 

 

LE...  31 JUILLET (s'ils le veulent bien)

 

 

Article OUEST FRANCE 23.01.2024

 

MISE A JOUR DU 23.01.2024 : On appelle cela un contre-feu pour minimiser les effets ravageurs de nos articles.

La justice donne raison à INOLYA, ce qui arrange bien Onc'Don' Sous son administrateur qui va pouvoir continuer ses petites affaires immobilières dans le quartier. Il est exact qu'il y a (au moins) 16 maisons "inoccupées", en fait non louées du fait des tractations sur le PLUi en cours.

Les juges cinquante nuances de rouge prennent leur temps, c'est dans 6 mois, en plein été, tout le temps pour les délinquants  pro-migrants avec notre fric de trouver d'autres squats. Pendant ce temps là l'ardoise pour le contribuable s'alourdit à la grosse de 6000€ à 8000€ par mois minimum.

Et les mensonges continuent sous la plume de la Manon qui ferait bien d'aller sur le terrain se rencarder comme les petites souris de l'Echo Joli.

Dans une première maison, la fameuse "Andrea" et ses six gosses qui sont restés en villégiature pendant quatre ans à l'hôtel (trois chambres) tous frais payés y compris le téléphone pour appeler le village( où sont les mecs qui l'ont sautée ?), et un couple de noirs avec un gosse. Dans l'autre, un "rasta" look Bob Marlay, une femme blanche et deux gosses "créolisés", et un repaire de 3 à 5 célibataires en OQTF, une véritable planque, jamais vu un cow-boy de la Kommandatur faire un contrôle. Le tout chauffé au gaz, cool, effet garanti sur nos SDF qui se gèlent dehors la nuit. Bravo les mensonges.

Le gaz, comme nous l'avons dit, est rétabli vu les émissions de vapeur d'eau et de gaz à effet de serre, Sandrine, merde, qu'est ce que tu fous. 

Au fait, qui paye l'avocat, pas les délinquants du collectif, mais encore toi, MOUGEON ?

 

 

 

Le havre de paix de la Cité Jardin, un grand merci aux restos du coeur, aux secours cath' et pop'.

 

 

 

 

 

 

 

 

LES CLANDOS AU CHAUD

 

 

 

 

 

LES BLANCOS AU FROID

 

Pour les épisodes précédents, c'est par ici

 

 

MISE A JOUR DU 22.01.2024 : Cette sale affaire est à traiter avec beaucoup de précautions, pour éviter les manipulations de la gauchiasserie toujours prêts à hurler au fascisme, aux heures sombres, aux chambres à gaz, puisque c'est le problème.

Qu'on soit bien d'accord, les membres du "collectif" sont tous co-responsables à titre individuel, puisqu'ils ne sont pas constitués en association, de leurs actes.

Dans un monde normal, le fait de fracturer les portes de quatre logements est un délit, on attend toujours de les voir passer au tribunal. 

Les gauchiasses ont quand même un gros soucis, tous les sondages prouvent que les Français commencent à trouver que la plaisanterie a assez duré. Plus ils vont faire leur battage et essayer de se justifier, plus c'est bon pour le RN et RECONQUÊTE !

La presse aux ordres, complice, n'arrête pas de passer des articles pour faire pleurer Margot dans les chaumières, avec les vedettes habituelles André Lucas, ASIL, la NUPES et j'en passe. S'il veulent accueillir des clandestins pourquoi pas, mais chez eux et à leurs frais. On va finir par donner les adresses des petits nids douillets et bien chauffés "Refugies Welcome". 

Pas de bol, du fait du froid de canard de ces derniers jours, nos SDF bien "blancos" se sont plaints à juste raison d'être obligés de coucher dehors, et on nous passe un article de propaganda sur les difficultés des retraités (qui ont donc travaillé er cotisé) à payer leur note de chauffage.

Détail qui a son importance, ces logements ne sont absolument pas "abandonnés" (mensonge de OF) mais non loués car une grosse magouille est en cours pour bidouiller discrètement le PLUi (agglo) pour permettre de "densifier", ce qui n'est pas possible actuellement, avec de juteuses opérations immobilières à la clé dont peut profiter une certaine agence rue du Gal Leclerc.

Du coup les compteurs à gaz avaient été retirés, c'est ce que j'ai pu constater sur un logement cet été car une porte du placard GDRF était restée ouverte.

Avec l'arrivée du froid, les radiateurs électriques (rappel, branchés sur des installations plus du tout aux normes) ne suffisaient plus.

A priori le gaz avait été rétabli par des branchements sauvages (sans compteur) par les délinquants du collectif. Y avait il des détendeurs et les chaudières ont elles été révisées, puisque la loi l'exige ?

Du coup GRDF, pris de panique, car sa responsabilité pénale était engagée, a coupé le gaz, ce qui a entraîné force pleurnicheries dans les feuilles de chou de la rédaction unique. En plus, puisqu'il n'y avait pas de compteurs, c'était tout simplement du vol.

Dans l'article ci-dessus (OUEST FRANCE), le chef des délinquants indique qu'il a pu récupérer des radiateurs, en fait probablement en provenance de la ressourcerie, ce qui est un détournement de la générosité publique. Après ils s'étonnent que les gens sont de plus en plus réticents à donner aux associations. La moitié des dons environ sont détournés vers des OQTF, il suffit de voir qui il y a dans la queue.

Vu le froid, des radiateurs électriques ça suffit pas, un coup à foutre le feu.

Les délinquants n'ont pas de chance : le gaz quand ça brûle ça fait de la vapeur d'eau, très visible lorsqu'il fait froid.

Donc, pour au moins deux logements, le gaz a bien été rétabli (je ne peux pas publier les clichés s'agissant de propriétés privées).

La Manon va t'elle prendre son calepin et aller interviewer pour savoir si ce sont à nouveau des branchements sauvages ou si GRDF, la queue entre les jambes, a reçu l'ordre -- en principe de la préfecture -- de remettre des compteurs et peut être pour INOLYA de réviser voire changer les chaudières ?

Pourquoi pas, rien n'est trop beau : résultat la Cour des Comptes nous dit que l'armée de fonctionnaires qui gèrent ce "merdier" coûte 1.8 milliards d'€ par an. Tu peux multiplier par deux.

La maire de LISIEUX, également administrateur d'INOLYA (et membre du bureau donc l'exécutif) a fermé son clapet sur cette histoire depuis le départ.

Pourrait-il nous dire si c'est le CCAS ou la préfecture qui paye les notes d'eau, d'électricité (établis en deux jours après l'effraction) et le gaz ?

La décision de justice d'expulsion devait être prise le 15 janvier, silence radio. Problème, il n'y a que deux solutions : expulsion ou logement dans des centres de rétention, c'est moins cool que dans un pavillon aux frais de la princesse, avec des voisins polis et sans odeurs (Chirac) et pas bruyants du tout.

Car évidemment dans notre belle ripoublique, quand même pas question de mettre tout ce monde là sur le trottoir.

Il ne reste plus à l'ECHO JOLI qu'à attendre le contre-feu de toute la bande, journalistes compris, histoire de se marrer un peu plus.

 

 

 

 

SQUATS DES MANIPULATEURS

 

 

 

 

 

DE CLANDOS : EXPULSIONS ?

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 07.12.2023 : Extraordinaire, ce sont les "migrants", en fait des clandestins déboutés et sous OQTF, qui encourent les foudres de Thémis et non pas les fauteurs de troubles en cols rouges qui ont cassé les serrures, se sont rendus coupables de faux et usage avec des factures maquillées d'une boulangerie, apposé des faux noms sur les boîtes aux lettres, ont rétabli on ne sait trop comment l'eau et l'électricité (qui paye, le CCAS, Inolya ?), se sont servis sans vergogne des meubles, appareils ménagers, radiateurs déposés par de généreux donateurs à la Ressourcerie, ont participé au dévoiement des dons alimentaires (50% d'après l'INSEE) faits aux associations qui pleurent la misère dans le journal, sans compter d'autres malversation possibles. Tout est permis, c'est la gôôôche, ça passe crème.

Sur le cliché on voit à gauche la fameuse "Andrea" mère de six gosses qui sont restés d'après le journal quatre ans à l'hôtel (en cours de chiffrement, mais on est dans la fourchette 200000€ à 300000€, plus les allocs). Où sont le ou les pères au fait ?

Vu les articles de votre canard iconoclaste préféré, INOLYA ne pouvait pas trop faire autrement que déposer plainte et demander l'expulsion, vu que le président est le camarade très centriste Jean Léonce Dupont, et que le maire de Lisieux, qui s'écrase mollement depuis le départ est administrateur.

Le cliché montre une vingtaine de gauchiasses, comme il y a en fait 7+3+3+3 = 16 victimes qui grelottent dans le gourbi, ils n'ont qu'à en prendre une chacun dans leur petit nid douillet et le tour est joué. 

Deux gros problèmes pour l'État, le risque gaz et électrique (incendie), mais aussi une maltraitance punie par la loi, puisque les squatters vivent dans des conditions pas très humaines, indignes de la Ripouxblique. Sans compter que comme personne ne contrôle les célibataires, ça va ça vient, et le risque de se retrouver avec des coups de couteaux intempestifs et des mamies violées à 90 piges n'est pas négligeable. D'ici qu'on voit se pointer une deuxième fois mamie Borne, la grosse copine du Bourreau de Béthune, venir chialer comme une madeleine, il n'y a pas des kilomètres.

Ceci est un conseil gratuit du collectif :

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 29.11.2023 : Depuis que l'ECHO JOLI est considéré par la Justice comme un organe de presse, on vous dira pourquoi, et qu'en conséquence votre gribouilleux d'investigation amateur préféré exerce désormais la noble profession de journaliste professionnel, il est possible de recourir aux dispositions de la loi de 1881 sur la presse, et donc de contrer les articles de notre glorieux collègue OUEST FRANCE, au nom de la liberté d'expression cela va de soi. Article qui répète complaisamment de gros mensonge (à suivre).

Notre enquête a débuté un ou deux jours après l'annonce en fanfare par le collectif de gauchiasses irresponsables, de la violation de domicile avec bris et remplacement des serrures (ce ne sont pas les migrants qui ont réalisé ces actes délictueux).

Ce qui nous a permis de prendre des clichés des fausses factures et des faux noms apposés sur les boîtes aux lettres. Nous ne les avons pas publiés, car ces faux culs s'en seraient servis comme prétexte pour nous accuser de racisme, xénophobie, ultra-droite voire nazis. 

La meilleure solution était en effet de laisser pourrir la situation, car ces clandestins sont tous en situation irrégulière, et devraient depuis longtemps être retournés au frais du contribuable, dans leur pays d'origine, avec le pécule réglementaire. 

Sans ressources mais quand même avec téléphones portables dernier cri lorsqu'on les croise dans la rue, il faut les nourrir et materner (pillage de la ressourcerie), et quelqu'un paye bien l'eau et l'électricité, remises en service dans la foulée, cool pour occuper son oisiveté sur le net ou avec la téloche. Pour la nourriture, vu les sacs d'emballages jaunes qui traînent dans les jardins, c'est plutôt bouffe industrielle que légumes à éplucher soi-même, le tout venant peut être des restos du coeur ou plutôt de la Croix Rouge (située à 50m), qui pleure la misère dans le journal pour des stocks qui fondent à vu d'oeil, qui passent sous le nez des nôtres.

Là, il y a un problème avec le gaz. Il se trouve qu'un jour une porte des boîtiers GRDF était ouverte et... il n'y avait plus de compteur. En clair, la fine équipe du collectif a réalisé des raccords sauvages, des "shunts", pour rétablir le gaz, sans compteur donc sans payer.

Il suffisait donc d'attendre que le général hiver déboule pour que la situation se noue et soit complètement bloquée. Familiers de l'inversion accusatoire, nos délinquants prétextent (photo) "une mise en danger d'autrui", alors que c'est eux qui en bricolant les installations de gaz ont mis en danger leurs petits protégés.

Le pire, comme le dit un des témoins, est qu'ils se chauffent avec des radiateurs électriques sur des installations obsolètes, plus aux normes, raison pour laquelle les maisons n'ont pas été relouées par INOLYA.

GRDF a logiquement sorti le parapluie en refusant de remettre des compteurs et de rétablir, car en cas d'incident c'est les pinces avec passage devant un juge plus ou moins rouge. Détail : ils veulent bien mais à condition que les gauchiasses signent un contrat et payent sur leur propres deniers. Le fric du contribuable c'est quand même plus confortable pour se donner bonne conscience humaniste.

Les loustics ont été reçus à la mairie, par Corinne Lejeune, le maire Sébastien LECLERC étant planqué aux abonnés absents, vu qu'il est administrateur d'INOLYA et même membre de l'exécutif, le bureau, qui aurait dû dès le départ entreprendre les démarches pour virer tout ça, soit en centre d'hébergement soit dans l'avion. On a jamais vu sa bobine dents blanches haleine fraîche prendre position sur ce dossier ni se rendre sur place.

Après il s'étonne de se faire cramer son poste de police. Un tel laxisme ne peut qu'encourager l'ensauvagement.

Il ne manquerait plus qu'un damné de la terre rejoigne la lointaine terre de ses ancêtres après asphyxie, électrocution ou incendie pour que nous assistions à l'incarcération comme de vulgaires patriotes d'ultra-droite de Romans sur Isère de Jean Léonce DUPONT (président d'INOLYA) et de Sébastien LECLERC.

Vous allez voir que ça va être de ma faute.

 

 

 

 

SQUATS DES MANIPULATEURS

 

 

 

DE CLANDOS CITÉ JARDIN (suite)

 

 

Auront ils un jour la honte d'avoir aidé un assassin d'enseignant ?

 

MISE A JOUR DU 16.10.2023 : L'assassinat de Dominique BERTRAND illustre parfaitement le danger qu'il y a à materner des clandestins sous OQTF (palmarès SVP) surtout quand ils peuvent se radicaliser (tous les musulmans ne sont pas des radicalisés, on évite la 17° chambre !).

Ce pourra d'ailleurs être le cas des enfants actuellement dans les squats de la Cité Jardin car le terroriste d'Arras est arrivé en France à l'âge de 8 ans.

Ces quatre logements peuvent d'ailleurs servir de planques pour des OQTF en cavale, puisque les noms posés complaisamment sur les boîtes aux lettres sont bien entendu bidon.

https://ripostelaique.com/ils-ont-tous-sur-les-mains-le-sang-de-lenseignant-dominique-bernard.html

https://reseau-libre.org/site/2023/10/14/les-complices-de-legorgeur/ 

 

MISE A JOUR DU 19.10.2023 : Les hussards rouge sang du mammouth croient que l'école de la République est capable d'éradiquer Mein Koran du crâne des muzs. Echec total. D'après une source, seraient intervenus pour empêcher les expulsions : MRAP, CIMADE, RESF35, le PC et des des élus de gauche. Petit rappel : le père faisait il partie des terroristes de Grosny que Vladimir voulait buter jusque dans les chiottes ? MISE A JOUR DU 19.10.2023 : Les hussards rouge sang du mammouth croient que l'école de la République est capable d'éradiquer Mein Koran du crâne des muzs. Echec total. D'après une source, seraient intervenus pour empêcher les expulsions : MRAP, CIMADE, RESF35, le PC et des des élus de gauche. Petit rappel : le père faisait il partie des terroristes de Grosny que Vladimir voulait buter jusque dans les chiottes ?

Le dit père est revenu en 2019 et travaillait ses assassins de fils au corps.

Quand à la mère, bénéficie elle d'une retraite sans avoir jamais cotisé ? Ses gentils loukoums vivaient à nos crochets avec les impôts des kouffars et babtous ?

 

Articles OUEST FRANCE

 

 

MISE A JOUR DU 29.09.2023 : On se souvient que OUEST FRANCE (la rédaction unique), au lieu de rester neutre sur ces affaires toujours scabreuses d'envahissement illégal, où tu as vite fait de te faire traiter de raciste par les hyènes de la NUPES, avait trouvé que la fracture des portes de quatre logements et leur occupation par des OQTF (avec peut être des palmarès judiciaires long comme le bras) c'était finalement sympa, et de complaisamment publier la photo des hors la loi, qui manifestement se sentent -- pour combien de temps ? -- en impunité.

Seulement voilà, après avoir fourni eau (gratos), électricité (gratos), portable (gratos) et nourriture (sous emballage vu la taille des sacs jaunes le mercredi), ça ne saurait tarder à coincer. 

Les Français blancs de souche qui payent tout ce cirque voient leurs revenus amputés par l'inflation, les grosses surfiasses serrent les boulons pour éviter de devoir perdre les invendus arrivés à la date limite de vente (même s'il y a des dispositions fiscales avantageuses), résultat, le système de solidarité qui a été mis en place du temps de Coluche, pour nourrir des... "blancos" pauvres, est en train d'exploser, il suffit d'aller voir la queue devant le resto du coeur pour constater le dévoiement. Restos du Coeur, Croix Rouge, Secours Pop et Secours Catholique etc... sont dans le rouge cramoisi et probablement la fameuse et ruineuse  épicerie solidaire (40000€ par la ville) itou : https://coupdpoucelisieux.jimdofree.com/ 

Bref le fameux "collectif AG contre toutes les expulsions" s'est fourré dans le caca tout seul, car s'ils n'arrivent pas à nourrir leur petits protégés, il va falloir qu'ils puisent sur leurs propres deniers ou trouver une combine pour soudoyer la mairie ou l'état, pas de bol ça passe en conseil municipal.

L'hiver arrive, il n'y a plus de compteurs à gaz, ENGIE est une boîte privée, ça va donc se terminer par des radiateurs électriques sur des installations obsolètes et plus aux normes, dans des maisons passoires thermiques.

Affamés et frigorifiés, il se trouvera bien une bonne âme pour pleurnicher à la maltraitance.

On a donc pas fini de rigoler avec cette histoire qui doit se produire à des milliers d'exemplaires dans notre ex-pays de cocagne de la doulce France.

N'est il pas mieux de les raccompagner en douceur en Afrique, c'est plus humain ?

 

 

MISE A JOUR DU 21.09.2023 : Le syndicat de la magistrature défraye la chronique actuellement, jusqu'à une participation à la fête de l'Humanité et à une manif samedi 23 septembre sur le thème la police tue. Autant dire qu'il faut se méfier de ces bêtes là et bien se border juridiquement parlant avant d'attaquer le dossier sulfureux de ces squats de quatre logements INOLYA. Comme les gendarmes, il conviendrait d'interdire aux magistrats de se syndiquer, ou au moins de permettre au justiciable de réfuter d'être jugé par ces gauchiasses politisées.

En attendant voici un document croustillant, le blaze des membres du conseil d'administration d'INOLYA, qui doivent veiller scrupuleusement aux intérêts de leur organisme et en particulier se justifier vis à vis des contribuables de la bonne gestion du parc, entre autres en virant manu militari les squateurs sous OQTF (avec ou sans palmarès judiciaire long comme le bras, veiller à leur désarmement), les mauvais payeurs (avec humanité et dans le respect des périodes légales et des nouvelles dispositions), et les incivils qui pourrissent la vie de leurs voisins, en particulier avec les saletés de clebs.

Le président est un certain Jean Léonce DUPONT, ci-devant président du conseil départemental. Un certain Sébastien LECLERC, maire de Lisieux est un administrateur influent et de surcroît membre du bureau, l'organe exécutif. On remarque qu'il s'est brillamment écrasé, alors qu'il aurait dû IMMÉDIATEMENT agir pour INOLYA et en tant qu'officier de police judiciaire habilité à constater les infractions commises par les "mobilisés", CANU (Nupes) et MOTTE, les leaders, en tête. On a pas vu sa bobine dents blanches haleine fraîche dans le journal en train d'aranguer le clandos.

Autre membre impliqué, Paul MERCIER, alias "La Brosse à Nanard", un catho bon teint, qui siège en tant que représentant de l'UDAF https://www.udaf14.fr/ une officine grassement subventionnée, rigolez pas c'est avec votre pognon.

Pas de chance, il y a aussi des représentants des locataires, pas vraiment ravis qu'il y ait une bonne vingtaine de logements inoccupés dans la Cité Jardin, en plus des quatre squattés.

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 26.08.2023 : L'évacuation du coke en stock (cf Tintin) viré par les bobos Parisiens pour le nettoyage façon exode avant les jeux olympiques commence sérieusement à se voir à Lisieux (je ne parle pas des nombreux touristes noirs et asiatiques qui fréquentent la basilique). 

Outre nos squatters de la Cité Jardin, dont des grands "blacks" pas vraiment mineurs et des barbus pas tibulaires mais presque (Coluche), croisé hier deux rastas style Bob Marley, dont un en vélo loupé de peu qui n'a pas tous les codes en en particulier celui de la route pour les stops, et deux autres barbus en chemise de nuit, pardon en tenue traditionnelle, sans Kalach toutefois, du côte de la mosquée, oui madame il y en a une à Lisieux (en face l'ALDI), salafiste d'ailleurs c'est eux qui le disent alors...

On peut s'autoriser à soupçonner que N'a-qu'un-poste-de-police-mais-il-est-cramé-alors-maintenant-n'en-a-plus s'écrase mollement quand le préfet lui en refile un lot, voire les sollicite dans l'espoir désespéré de repasser au dessus des 20000 habitants. Cela pourrait expliquer qu'il n'a rien entrepris pour virer les squatters (est ce qu'ils comptent dans les recensements ?), même pas rendre visite à Andréa, une nouvelle paroissienne avec ses six gosses, soit disant. La rentrée à l'école Marie Curie va valoir le détour.

Un immigrationniste gauchiste bon chic avec une belle pancarte LR dans le dos, c'est pas tous les jours.

 

 

https://www.vie-publique.fr/loi/287344-loi-anti-squat-occupation-illicite-des-logements-expulsion 

 La nouvelle loi : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000047897040

 

MISE A JOUR DU 15.08.2023 : Les amendes sont quand même salées, deux ans, 30000€, des "manoeuvres" --c'est le cas-- suffisent, la "publicité" --c'est aussi le cas-- c'est 3750€, et pourrait s'appliquer aux journaux un peu trop enthousiastes. Comme il s'agit d'un collectif "AG contre toutes les expulsions" non constitué en association, les dispositions s'appliquent à tous les individus du collectif qui figurent sur les clichés complaisants de la presse aux ordres.

Maintenant la loi c'est une chose, la faire appliquer en est une autre. Petit rappel : le procureur de la République, comme son nom l'indique agit au nom du peuple Français, il représente les citoyens qui ne sont pas d'accord à 64% avec ce souk. Un petit effort peut être, mais j'ai coutume de dire que je ne peux pas être plus royaliste que le procureur de la République !

L'article 38 de la loi de 2007 https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000000271094 précise que la mise en demeure doit être affichée en mairie et sur place.

Pour le moment le préfet, un peu occupé ailleurs il est vrai, ne semble pas avoir agit. Et INOLYA ne va pas chanter son inaction sur les toits. Comme la loi est quand même complexe, ça permet de finasser et de ne pas passer à l'action.

 

 

 

Des clichés sont paru dans la presse officielle et les adresses indiquées dans les articles, on peut donc publier ces photos.

 

 Cette maison ayant fait l'objet d'intrusion antérieures, elle a été barricadés par INYOLA, les portes étaient donc fermées 

et ont été fracturées. Les délinquants (pas les migrants) ont eu la sollicitude de tondre les pelouses.

 

 

 

Une belle brochette d'immigrationistes (coût 53M€ par an), rigolez pas, c'est avec votre pognon (Coluche)

Les "leaders" sont un certain Didier CANU (à gauche) et Jacques Antoine MOTTE deuxième à droite.

Ce dernier est un militant gauchiste bien connu (ferme de Mimarnel), qui a trempé dans l'embrouille de Moult.

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 15.08.2023 : Comme pour l'affaire VITEL, les textes sont modifiés et corrigés en fonction de la progression des investigations.

Décidément "qui s'oppose - qui s'abstient - adopté" n'a pas la baraka, après avoir déposé les armes aux pieds des barbaresques, le voilà avec des "clandos" "presque tous Africains", qui ont été "installés" par des marxistes, gauchiasses mondialistes et/ou des cathos bon teint, dans deux maisons du quartier de la Cité Jardin (soit quatre logements). On en serait à 22 "pensionnaires" (c'est faux), dont une dame déboutée du droit d'asile avec six gosses. 

Le problème est que "l'association qui n'existe pas" qui a mené cette opération illégale en fracturant les portes (personne ne croira que les portes étaient ouvertes vu l'état des serrures), annonce clairement que ce n'est qu'un début. Il faut donc s'attendre à voir débouler des OQTF, mineurs isolés majeurs à 80%, la "misère du monde" de Rocard, dans la vingtaine de logement vacants du quartier, sauf que la plupart sont mitoyens, les occupants "blancos" du logement voisin vont sans doute être ravis de la mise en pratique du bien vivre ensemble. 

Il y a une raison au fait que ces logements sont inoccupés alors que c'est vraiment sympa, avec des jardins, un quartier calme : le PLUi interdit actuellement de concentrer les constructions, or celui-ci est en révision à l'Agglo, et à tous les coups des "tractations" sont en cours pour lever cet obstacle juridique.

Les promoteurs véreux ou non ont l'éternité devant eux c'est bien connu. Il est évident que le maire et son adjoint chargé de ces embrouilles guignent ce quartier pour assouvir leur addiction au béton. On l'a vu dans deux coups tordus : la fameuse "résidence de luxe" avec vue sur la basilique à construire sur le terrain de pétanque à HOTVIL, pas de bol la parcelle, l'Arboretum, est d'un bloc et classée, et dans le très scélérat projet de virer les cinq maisons de l'ancienne cité des cheminots rue d'Orbec, un truc parfaitement dégueulasse (les gens louent depuis 40 ans). 

Ils ont jeté l'éponge pour HOTVIL et les spoliés de la route d'Orbec vont se défendre. Ce sera pareil pour la Cité Jardin, à l'enquête publique ils l'auront bien profond, comme pour le Crématorium au roitelet, coulé par mes soins attentifs.

Le château va t'il se coucher comme pour le reste ?

En tous cas, le nouveau Sous-préfet, à peine après avoir posé ses valises dans notre cité maudite, malgré les prières des miasmes de Sainte Thérèse, se retrouve avec une sale affaire sur les bras.

Ceci d'autant plus, funeste hasard, que la loi vient d'être modifiée et votée pour renforcer les droits des propriétaires, raccourcir les délais :

 

 

https://www.fdesouche.com/2023/07/28/conseil-constitutionnel-un-squatteur-peut-attaquer-le-proprietaire-si-le-bien-est-mal-entretenu/ 

 La loi droit au logement de 2007 précise que le demandeur doit être en situation régulière :

https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000000271094 

 

Comme il s'agit de vaches sacrées étrangères en situations illégales, autant dire qu'il faut marcher sur des oeufs, le moindre dérapage pouvant mener à la sellette devant une Thémis susceptible, puis au gnouf pour incitation à la haine, à la violence ou à la discrimination : c'est le fait de pousser par son attitude des tiers à maltraiter certaines personnes, en raison de leur origine, de leur religion, de leur sexe ou de leur orientation sexuelle. La dernière fois ça s'est terminé en eau de boudin pour outrage à sa majesté le "Phare de la Touques", mais bon.

C'est donc parti pour le feuilleton de l'été, une enquête d'investigation de terrain comme ce journal les aime, d'autant plus qu'une discussion très correcte a eu lieu avec les délinquants qui chaperonnent les individus plus ou moins clandestins.

La presse un peu aux ordres ou tout au moins dans la doxa a évidemment présenté la chose en minimisant, pas un mot plus haut que l'autre :

https://www.francebleu.fr/infos/societe/un-squat-ouvert-a-lisieux-pour-une-mere-de-famille-et-ses-six-enfants-1396275 

https://actu.fr/normandie/lisieux_14366/lisieux-quatre-maisons-squattees-avec-laide-de-lag-de-lutte-contre-toutes-les-expulsions_59905175.html 

 

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 09.08.2023 : OUEST FRANCE c'est le camp du bien mais de là à soutenir objectivement une action tout à fait illégale comme nous le démontrerons preuves à l'appui, mais sans animosité vis à vis des clandestins. Le droit de propriété est inscrit dans la Constitution, et est un des piliers de la République.

S'ils aiment les clandestins, qu'ils les prennent chez eux et financent leur entretien sur leurs deniers personnels. Rigolez pas c'est avec votre pognon (Coluche).

Qu'on soit bien d'accord : il vaut mieux faire en sorte de les accompagner chez eux, ces gens croient bien faire mais c'est pire : maintenant l'oisiveté va faire son oeuvre.

On remarque qu'il n'y a pas un seul "clandos" sur l'image, ont ils peur d'être reconnus par la police ?

Les hors la loi nous en annoncent 22, mais c'est un gros mensonge, selon les petites souris de l'Echo Joli du quartier.