Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps

 

        

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MEURTRE (?) de Mr VITEL

 

 

MISE À JOUR DU 22.04.2024

 

Cette page est classée dans l'ordre chronologique

 

Des modifications sont faites sur les textes d'origine en fonction des nouvelles informations. Il faut donc tout relire, désolé.

 

 

 

MISE A JOUR DU 12.08.2023 : Lisieux est encore à la une de l'actualité en matière d'insécurité avec cette nouvelle tuile pour cette municipalité de supposés outragés, en dessous de tout, vaincue par la racaille des émeutiers (pas un d'arrêté), par les squatters de tous poils et leurs "aidants", par les manouches (surnom affectueux).

Il est évident que mes commentaires vont être épluchés à la loupe pour y déceler la moindre suspicion d'incitation à la haine, racisme, antisémitisme pendant qu'on y est.

Tout d'abord toutes mes condoléances et celles des lecteurs à la famille, avec une pensée sincère pour les enfants et l'épouse qui viennent de vivre un drame épouvantable.

Nous sommes en guerre (Macronescu) et l'ennemi s'attaque naturellement à l'école, laïque, de la République une et indivisible, pour la détruire et remplacer les lois de la Gueuse par la charia. C'est clair pour tout le monde maintenant ?

Près de 250 établissements scolaires ont été attaqués, 60 sont hors d'usage pour la rentrée. Les enseignants sont eux même des cibles on l'a bien vu avec l'affaire Samuel Paty. Ces destructions posent le problème de loger sur place pour les enseignants (ce n'était pas le cas).

Cela illustre donc parfaitement mes propos au sujet des élus, et pas que les maires, les adjoints et conseillers municipaux aussi, qui sont des représentants de la République, qui seront tous des cibles potentielles lors des prochaines émeutes, voire en temps normal. Mon grand copain Johnny Be Bad va avoir l'air fin d'avoir déposé plainte pour pas grand chose, une boutade humoristique, alors que maintenant il a une belle cible dans le dos.

Le problème est que là, il y a un mort. Ca commence très fort avec des commentaires qui parlent de "décès".

Nous avons donc avoir droit aux pleurnicheries habituelles, aux fleurs, bougies et nounours, avec en prime les lamentations des élus, avec peut être une nouvelle visite de Mme Borne, jamais deux sans trois, voire du joli Gabriel Attal.

Les questions surgissent alors : pourquoi une intrusion juste le matin d'un départ en vacances, s'agit il "simplement" d'un rôdeur, de vandales, de voleurs ou quelque chose était recherché etc... ?

Comment se fait il qu'il n'a pas appelé la police ou s'il l'a fait que lui a t-on répondu ?

 

 

Pas de caméras apparemment ni de logo d'entreprise de sécurité, confirmé par un syndicaliste.

 

MISE A JOUR DU 16.08.2023 (des modifications ont été faites au texte d'origine, il faut donc tout relire) :

Comme je l'ai indiqué, il faut marcher sur des oeufs dans cette histoire, car le camp des biens pensants est aux aguets.

Comme pour l'affaire des squats de la Cité Jardin, il convient d'éplucher la presse officielle, les gribouilleux lâchant des informations intéressantes sans s'en apercevoir. Il faut aussi se rendre sur place pour humer l'air du temps.

Dimanche 13, visite des lieux. Il y avait sur place au moins trois équipes de journalistes, un photographe pour immortaliser les bouquets de fleurs.

Selon les articles et communiqués, donc compilés, l'alarme a été déclenchée par l'ouverture d'une "porte annexe" (laquelle ?) et il y avait de la lumière à une fenêtre (laquelle, celle de son bureau ?).

Il convenait donc de faire le tour du collège pour voir un peu les portes présentes en dehors de la porte principale. 

Et là, surprise, la partie à gauche du collège est occupée par un ramassis de services sociaux, dont une officine de soins aux drogués. Les photos sont parlantes.

Dans quelle partie se trouvaient les intrus, le collège lui même "très calme" d'après le chat noir qui nous sert de maire, où "rien n'a été dérangé" ou les locaux cités ci-dessus ?

Mr VITEL part en vacances dans la Drôme depuis son domicile (situé à 20km à l'ouest de Lisieux, nous n'avons pas à révéler le lieu), aux aurores, et reçoit une alarme intrusion sur son téléphone à 5h59. Ce n'est pas la première fois. Normalement, les alertes sont reçues par le principal, son adjoint et le concierge. Où étaient les deux autres ?

Sur les bâtiments, il n'y a pas de caméras, et encore moins de panonceau d'une entreprise de gardiennage comme AENEAS ou VERISUR (on sait pourquoi aujourd'hui voir l'article de OUEST FRANCE et les déclarations terrorisées des syndicats : Igor Garncarzyk est formel : pour lui, son confrère s'est fait agresser et le drame aurait dû être évité. "La question du protocole des liens entre les personnels de l'Éducation nationale et les services de police, qui doit être certainement affiné et optimisé pour que la fois où il y a effectivement danger, intrusion ou action malveillante, qu'il n'y ait aucune mise en danger des personnels, quel qu'il soit", ajoute-t-il au micro d'Europe 1).

En clair, c'est le foutoir habituel du mammouth. 

Manifestement, il n'y avait pas de concierge et plus aucun enseignant n'habite sur place dans les appartements de fonction comme c'est le cas de la famille VITEL (ou alors ils étaient en vacances).

Ni la police, ni une société de surveillance (il faut payer dans les deux cas) sont destinataires des alarmes, c'est quand même étrange qu'une seule personne qui est en train de partir à 600Km à... 15 jours de la rentrée, vient sur place ? Il y a déjà une faille curieuse sur ce point.

Tous mes honorables correspondants sont unanimes, il aurait dû immédiatement alerter la police dont c'est le métier. L'a t'il fait, de toutes façons les enquêteurs sont en possession de son téléphone (à moins que son ou ses assassins s'en soient emparés) ?

Il décide de se rendre sur place, erreur fatale. Le syndicaliste précise que la règle en dehors de la période scolaire est de ne pas intervenir seul.

Il arrive sur place vers 6h30/35 (et pas à 6h45 comme on a pu le lire), pas forcément devant la porte principale, car il y a un accès par le parking des véhicules des services sociaux. A élucider.

Cela fait donc 30 minutes, voire plus, que le ou les intrus sont sur place. Qu'ont ils fait pendant tout ce temps, puisque "rien n'a été dérangé", simplement roder, chahuter pour frimer sur les réseaux sociaux pour épater les greluches ou chercher quelque chose, un dossier compromettant par exemple ?

Mr VITEL constate qu'une porte (laquelle ?) est ouverte. Il a alors la certitude que quelqu'un s'est introduit dans les locaux (lesquels ?). Il retourne à son véhicule pour chercher... son portable, au lieu, toujours, de téléphoner à la police, il revient à l'intérieur.

Avait il une idée de ce qui se passait et que c'est pour cette raison qu'il est intervenu seul, les intrus étaient ils au courant qu'il partait en vacances ? L'heure du crime est quand même étrange, ce n'est pas habituel, une intrusion à 6h du matin. Cela va d'ailleurs faciliter le travail de la police car à cette heure, il y a peu de bornages de téléphones et peu de circulation sous le nez des caméras passablement inutiles de la ville.

La suite on la connaît, l'horreur.

Après avoir été frappé, les agresseurs, avant que sa fille ne le découvre, ont eu le temps de s'éclipser (c'est le petit jour), certaines parties de clôtures étant faciles à franchir par des d'jeuns. D'où le témoignage de Mme VITEL qui a entendu démarrer un véhicule en trombe. Y avait il un chauffeur à bord qui attendait ses complices ?

Entre 6h30/35 et l'heure où le corps a été découvert, il s'est bien déroulé 10 minutes. Les pompiers puis le SAMU sont arrivés à 6h50, rapides donc.

La police a été prévenue par les personnels sur place à 7h30 ! Incroyable, que fout le centre de régulation du SDIS ?

La patrouille de police (c'est celle de nuit jusqu'à 8h du matin, un seul véhicule), était elle disponible avant ?

On peut tuer quelqu'un en frappant son front avec un objet métallique (marteau, crosse de pistolet ?), mais il faut quand même s'en occuper. Connaissait il ses agresseurs (élèves ou anciens élèves) ce qui expliquerait qu'il ne s'est pas méfié ?

L'enquête a été confiée à la SRPJ de Caen, les types ont du boulot, en particulier pour éplucher les bornages de téléphone.

En 30/35 minutes le ou les assassins ont également dû laisser des traces, la police scientifique a fait son boulot, les types sont pratiquement cuits. Sauf qu'ils sont peut être en fuite à l'étranger, ce ne serait pas la première fois, la double nationalité, ça peut servir.

Commentaire d'une dame en micro trottoir : "on n'est plus en sécurité à Lisieux". Sainte Thérèse va vendre des cierges.

Transmis à N'a-qu'un-poste-de-police-mais-il-est-cramé-alors-maintenant-n'en-a-plus 

A suivre....

 

 

 

L'aile gauche abrite de nombreux services sociaux, avec leurs dossiers.

Manifestement ça ne suffit pas pour calmer les émeutiers, bonjour l'efficacité.

 

 

 

Qui dit dépistage, dit SIDA, dit drogues, dit SUBUTEX.

 

 

Un centre de santé sexuel (!), y aurait il un problème à ce niveau, de genre et de transition par exemple ou

de petites bêtes indésirables comme la vérole sur le bas clergé, ou de ce cher VIH ?

 

 

 Le parking des véhicules des assistantes sociales de l'armée du bien qui a tout raté. La clôture est facile à

franchir à cet endroit et la porte qui donne sur le collège (ci-dessous) également.

 

 

 

Toute cette bande de faux culs ont toutefois un gros souci : Mme Jeanne Mailhos-Vitel est sportive,

cultivée (peinture, musique), et ses propos prouvent qu'elle ne devrait pas se laisser enfumer.

Un petit comité de soutien peut être, comme pour Mme Borel ?

 

 

MISE A JOUR DU 16.08.2023 : L’autopsie réalisée sur le corps de Stéphane Vitel, lundi 14 août 2023, n’a « pu ni exclure l’intervention d’un tiers, ni établir avec certitude une cause naturelle du décès », précise le parquet de Lisieux (Calvados), dans un communiqué. « L’autopsie n’a pas été concluante donc les investigations se poursuivent. » Des analyses toxicologique et anatomopathologique (consistant à étudier des tissus ou cellules) complémentaires ont été requises. Les résultats sont attendus « dans quelques semaines ». Enterrement de première classe ?

Le médecin légiste n'aurait donc pas constaté de coup à la tête suffisamment important pour le tuer ?

C'est tout de même très étrange, car sa veuve n'a pas évoqué de problèmes de santé, comme une déficience cardiaque, qui, vu le stress des événements et une probable agression, aurait pu entraîner un arrêt cardiaque. S'il était malade du coeur, cela peut expliquer le fait que son épouse ait immédiatement pratiqué un massage cardiaque, avec, d'après son témoignage au Courrier Picard par téléphone, "utilisation du défibrillateur par sa fille, pendant que le fils téléphonait aux secours".

Dans cette interview elle indique effectivement une alarme à 5h59, mais n'être parti qu'à 6h15 de son domicile, VIA MICHELIN donne un temps de parcours de 15mn, ils sont donc arrivés à 6h30/35, ce qui colle avec une intervention des pompiers arrivés sur place à 6h50 (tout est enregistré sur les "inters").

La police n'a été prévenue qu'à 7h30 !

C'est le parquet de Lisieux qui a rédigé le laconique communiqué pour l'autopsie, et je ne peux que conseiller aux victimes de solliciter une contre expertise avec présence d'un avocat ou d'un huissier, et surtout de ne pas incinérer ni enterrer le corps.

Il est rapporté par exemple que Mr VITEL était un homme intègre, un authentique hussard noir de la république, attaché à lutter contre le harcèlement, pourquoi pas la pédophilie, les dérives LGBTQ+ ?

Vu les émeutes qui ont eu lieu dans ce quartier à 200m à vol d'oiseau (un poste de police, un centre de santé, une mairie annexe et un buraliste brûlé), manifestement ethniques, était il également confronté avec les problèmes que posent les nombreux élèves musulmans avec la laïcité, comme par exemple le voile ou l'abaya. Ce collège accueille t'il les fameux mineurs isolés (majeurs à 80%, coût 50000€ par an l'unité, la moitié du budget des routes) logés aux orphelins apprentis d'Auteuil ?

Il avait forcément connaissance de dossiers, sur les élèves, leurs parents, ses collègues et le personnel.

Qui était au courant, parmi le personnel ou les élèves du collège, qu'il partait en vacances ce jour là à cette heure là ?

En plus, les politicards jouent gros avec cette affaire qui fait désordre à 15 jours de la rentrée, en tête le maire de Lisieux, qui s'est pris une rafale d'avanies, et est conseiller départemental, donc propriétaire de ce collège, et partant en charge de sa sécurité. La responsabilité pénale du Conseil Départemental est engagée, et Mme VITEL, si elle se porte partie civile, peut demander des indemnités.

Et bien entendu Macronescu et son minet Gabriel Attal, qu'on a pas encore vu sur une couverte de Têtu, qui vont se retrouver avec 860000 enseignants, les vaches sacrées de la machine infernale à fabriquer des crétins, le camp du bien materné hors sol, majoritairement de gôôôche, qui vont psychoter et faire des convulsions d'angoisses métaphysique le jour de la rentrée. Avec arrêts de travail comme de vulgaires flics Marseillais.

Déjà, une armada de manipulateurs (les agents de propaganda des cellules psychologiques) vont débouler dans le coin dès jeudi 27, va falloir commander de l'EUPHORIZAN 250, du Prozac, voire carrément du Fantanyl. Après ce sera le tour des gosses, qui n'ont pas besoin de ça pour être complètement abrutis.

Toute cette bande de faux culs ont toutefois un gros souci : Mme Jeanne Mailhos-Vitel est sportive, cultivée (peinture, musique), et ses propos prouvent qu'elle ne devrait pas se laisser enfumer. Un petit comité de soutien peut être, comme pour Mme Borel ?

 

MISE A JOUR DU 17.08.2023 : Deux "jeunes" ont avoué avoir pénétré dans l'établissement, 17 et 19 ans, dont un est un ancien élève.

Voici le communiqué du parquet de Caen (qui a repris l'affaire puisqu'un des deux est mineur) (source actu-orange) :

"Du nouveau dans l’affaire de la mort de Stéphane Vitel, ce principal retrouvé mort dans son collège à Lisieux vendredi 11 août. Le procureur de la République a annoncé mercredi 16 août dans un communiqué que deux jeunes, âgés de 17 et 19 ans, ont avoué s’être introduits dans cet établissement du Calvados.

Toujours selon le procureur, les jeunes ont reconnu avoir fracturé une porte, mais assurent qu’ils sont partis avant l’arrivée du principal. Une information qui est "confirmée par l’exploitation du téléphone de l’un d’entre eux", a précisé Joël Garrigue.

Une intrusion qui pourrait expliquer l’alerte reçue par Stéphane Vitel vendredi alors qu’il se trouvait sur la route des vacances, mais qui ne permet toujours pas de résoudre sa mort inexpliquée. L’autopsie du corps qui a eu lieu lundi n’a également pas pu apporter plus de précisions. "Elle n’a pu ni exclure l’intervention d’un tiers, ni établir avec certitude une cause naturelle du décès", avait annoncé le parquet lundi 14 août.

Avec ces nouvelles informations, le parquet de Lisieux a confié l’enquête à celui de Caen, "le seul parquet du département à exercer l’action publique en ce qui concerne les mineurs", a indiqué le procureur."

Vu le flou artistique de l'autopsie, le transfert du dossier à Caen, ces deux idiots utiles qui passent aux aveux, on se dirige tout droit vers un enterrement du dossier de première classe, ce qui arrangerait bien tout le monde, N'a-qu'un-poste-de-police-mais-il-est-cramé-alors-maintenant-n'en-a-plus en tête.

Espérons que Madame Jeanne Mailhos-Vitel ait le courage de se battre pour que la vérité éclate.

 

 

 

MISE A JOUR DU 18.08.2023 : Ce post de la "petite méduse", la nièce de Mr VITEL, prouve si besoin était "qu'ils" n'ont qu'une trouille, que le meurtrier soit plutôt bronzé, genre Kevin ou Mattéo. Est ce le cas des loustics qui on avoué avoir pénétré dans le collège ? Pire, faisaient ils partie des émeutiers de HOTVIL ? Il y a un moyen de vérifier puisque leurs portables ont été épluchés par les policiers. On peut aussi cuisiner la mère qui a amené son rejeton mal élevé au commissariat.

 

 

MISE A JOUR DU 21.08.2023 : Il y a des curiosités dans la disculpation miraculeuse des deux visiteurs du matin. D'abord, le mineur n'a pas été arrêté, mais a été amené par sa mère au commissariat, ce qui a entraîné l'interpellation du majeur. Ils ont eu largement le temps de se concerter, entre eux et avec d'autres "connaissances", leurs aveux sont donc suspects, ils voudraient se disculper et couvrir un ou plusieurs autres larrons qu'ils ne s'y prendraient pas autrement.

Ils racontent avoir participé à une "soirée arrosée", bizarre que ça se termine à 6h du matin, où ? avec qui ? sont ils venus à pieds ou en véhicule ? 

En avaient ils l'habitude comme témoigne une riveraine ?

L'avocat du mineur parle d'un "concours de circonstances" et d'un "scénario invraisemblable". Selon lui, les deux compères "se sont retrouvés à proximité du collège", comme par hasard, et d'après le mineur ils ont "entendu des bruits" (avant 5h59 donc). Au lieu, eux aussi, de téléphoner à la police ce que tout citoyen "normal" aurait fait, ils décident d'entrer en fracturant une porte ! , laquelle ou lesquelles ?

Le mineur, ancien élève, connaissait les lieux. Savait il qu'il n'y avait personne dans le collège, où habitait Mr VITEL et qu'en cas de déclenchement d'alarme celui-ci allait mettre effectivement 15 à 20 minutes pour arriver ? Ce qui expliquerait le fait qu'ils aient traîné 20 minutes autour du collège et pris des photos et films, histoire de rigoler un peu plus en voyant arriver Mr VITEL. Ces images permettent de déterminer où ils étaient et éventuellement qui était présent. Bizarre quand même, même les gogols les plus ignares savent que les fins limiers de la maison poulaga adorent éplucher les téléphones, donc prendre des images sans intérêt était il un moyen pour eux d'avoir des alibis ?

Ils ont déclenché l'alarme en fracturant une porte, celle-ci s'est donc mise à sonner immédiatement (pour un temps déterminé ?) puisque c'est cela qui les a fait partir. Comme le mineur est parti dès 6h, ce n'est pas lui qui a allumé la lumière d'une des fenêtres ni agressé Mr VITEL. Toutefois, l'avocat indique qu'ils ont "entendu des bruits de pas à la suite de l'alarme", le son de la sirène est probablement strident et couvre des "bruits de pas', donc ils auraient attendu que l'alarme s'arrête et entendu des bruits de pas après. Où étaient ils et d'où venaient les bruits de pas ? Au fait, les voisins ont ils entendu l'alarme ?

De deux choses l'une, ou c'est le majeur qui est entré après avoir quitté le mineur, ou c'est un ou des tiers qui étaient déjà dans le collège. Ca fait quand même beaucoup de coïncidences et curiosités, deux équipes à 6h du matin, une pour le sale boulot, l'autre qui se pointe "par hasard" et se fait choper, tu écris un scénario comme ça pour NETFLIX tu te fais virer. Anecdote, en matière de service action, c'est le principe de la double équipe.

En effet, Mr le procureur, sauf son respect, nous a indiqué dans un premier temps que le téléphone du mineur prouvait que celui-ci serait ressorti rapidement ce qui ne veut pas dire que l'autre est parti en même temps, voire d'autres protagonistes, ce que n'exclue pas le parquet.

Curieusement le procureur utilise ensuite le pluriel "nous avons pu établir au travers des différents films qu'ils ont pu réaliser, trouvés sur LES téléphones (et non plus celui su seul mineur, combien de téléphones ?), qu'ils étaient présents aux abords du collège avant 6h et QUE PENDANT LES 20 MINUTES QUI ONT SUIVI ils étaient à distance du collège (où exactement ?). Là, désolé, je n'y crois pas, des bras cassés qui viennent de fracturer une porte qui se filment pendant 20 minutes "pour prouver qu'ils n'ont pas pu revenir", à 6h du matin, ça ne tient pas la route. De plus, le majeur a pu confier son téléphone au mineur qui est ressorti et a immortalisé ses 20 minutes de diversion avec les deux, tandis que lui pénétrait dans le collège (sans son téléphone).

A la fin de sa conférence le procureur précise quand même qu'il n'est pas impossible que d'autres personnes se soient introduites dans l'établissement avant 6h, donc sans déclencher l'alarme et sans effraction, soit en passant par dessus la clôture, soit en utilisant un badge, ou la clé pompiers qui permet d'ouvrir le portail du parking des services sociaux. 

Au fait les prénoms des loustics nous intéressent.

Une petite reconstitution peut être ?

A suivre, c'est triste mais passionnant...

 

 

MISE A JOUR DU 18.08.2023 : Là, le procureur de Caen a sorti du gros calibre, des grands chefs à plumes de la maison poulaga de Rennes et de Rouen. Cette étrange conférence confirme que la possibilité "qu'ils" aient décidé d'enterrer le dossier n'est pas à exclure.

Voir l'article du PAYS D'AUGE, et le témoignage de Mme VITEL au COURRIER PICARD. Elle dit vrai pour les horaires (alarme 5h59, départ domicile 6h15, arrivée 6h34 (neutralisation de l'alarme), appel pompiers 6h45 (environ), arrivée des pompiers 6h50 (et la police à... 7h30 !).

Donc le reste est vrai, une fenêtre éclairée (laquelle ?) et un véhicule qui part en trombe.

Il est vraiment urgent que Mme VITEL se porte partie civile pour avoir accès au dossier et en particulier aux vidéos des portables des deux "d'jeuns".

 

 

 

MISE A JOUR DU 24.08.2023 : C'est ce que j'avais prévu, le meurtre possible de Mr VITEL est bel et bien une affaire d'état. Pour le pouvoir, ça fait désordre, car après les maires durant les émeutes (qui de toutes façons vont s'étendre quoi qu'il arrive si rien n'est fait aux adjoints, puis aux conseillers municipaux), c'est au tour d'un principal de collège, après l'enseignant Samuel Paty.

L'éphèbe Gabriel, après la grosse copine de Clotilde Valter, la première ministre M'am Borne, était présent pour éteindre l'incendie. Soyons Républicains, bien que la Gueuse soit quelque peu décatie, mais pas encore LGBTQR+, X, Y Z comme zoophile, je considère normal que le ministre se déplace, que soient présents les huiles de service, préfet, recteur, maire, député. Histoire qu'ils aient bien honte face au peuple.

Seulement voilà, la mort de Mr VITEL est la conséquence dramatique d'une déliquescence de l'Etat, des maires et du mammouth qui n'arrivent plus à se faire respecter à force de lâchetés et complaisances. Car enfin, que des "djeuns" (dont on ne connaît pas l'identité bien qu'ils soient mis en examen mais en liberté) décident après une cuite, à 6h du matin, de passer par dessus les clôtures et fracturer une porte, signe une carence de "l'éducation nationale" (!), des parents, mais aussi des élus et de la justice. 860000 enseignants sont en situation d'échec complet au bout de 40 ans de gabegie, de wokisme, d'abrutissement marxiste, de pédagogisme.

Comme le dit Brighelli, la fabrique de crétins est une brillante réussite !

Va falloir me faire passer tout ça en version "instruction publique" à l'ancienne, celle des hussards noirs de la république, tout le monde en blouse grise en rangs par deux et l'abaya le qami et la djellaba c'est pour la mosquée.

L'éducation, c'est les parents et les familles au sens large, la société, quoi. J'ai même connu des éducateurs, très crasseux certes, mais qui sont arrivés à remettre dans l'axe de solides clients.

 

***NDLR : J'avais titré "assassinat" ce qui est pour le moment inexact, car cela suppose une préméditation, ce qui n'est pas encore une hypothèse possible.

 

 

 

MISE A JOUR DU 02.09.2023 : Un vieux réflexe de militaire, est d'aller sur le terrain -- si possible -- pour situer les choses visuellement, observer, mémoriser les lieux, les cheminements, les obstacles, les défilements et éventuellement prendre contact avec la population qui traîne dans le coin. C'est ce que j'ai fait dimanche 13 août et on peut dire que j'ai encore eu le nez creux côté investigations (je sens mes chevilles gonfler).

Autre technique redoutable, lire attentivement ce que racontent les uns et les autres, car le gribouilleux "pro" de base, complètement abruti par les profs gauchiasses des écoles de "journalisme",  balance des infos cruciales sans même s'en rendre compte.

C'est le cas dans l'interview donnée par l'avocat du mineur amené à coups de pompes au "derrière", au commissariat, par sa mère, qu'il faut féliciter.

Il faut décortiquer à la loupe l'enfumage du "baveux" du mineur et le comparer aux dires de Mr le Procureur, sauf son respect, c'est quand même des types dangereux pour le "blanco" de base, gadjo, kouffar et néanmoins goy.

L'article est paru dans le PAYS D'AUGE et il faut remercier le camarade Philippe JAUTÉE d'avoir transcrit j'espère fidèlement ce que les deux loustics ont raconté à leur "corbac" et à la maison poulaga. Il faut en effet décortiquer, il y a eu mort d'homme.

Ils disent avoir passé une soirée alcoolisée, sauf qu'il était quand même 6h du matin, ils avaient cuvé. Où, depuis quelle heure, sûrement pas qu'à deux, qui étaient les autres, un d'entre eux possédait il un véhicule, c'est important pour la suite, qu'en disent les parents du mineurs ? Ya t'il eu consommation de drogue ? Etant donné leur comportement asocial, faisaient ils partie des émeutiers (rappel, pas un d'arrêté) ?

Comme par miracle ils passent devant le collège Laplace et "entendent du bruit à l'intérieur" : ILS ÉTAIENT DONC A L'EXTÉRIEUR de la clôture, rue Roger Aini (et pas devant l'entrée principale Bd Winston Churchill). Ils indiquent que c'est cela qui les a incité à pénétrer dans le collège, au lieu de... prévenir la police ou s'éclipser pour ne pas avoir d'ennuis.

Ils sont donc passé par dessus la clôture puis par dessus la porte entre le parking et la cour du collège.

 

OR comme par hasard, le 13 août, j'ai pris en photo l'endroit où ils sont passés, la grille plus basse dans le coin, puis la porte. Les commentaires sous la photo sont ceux d'origine, non modifiés donc, ce sont bien les points faibles de la clôture : 

 

 

 Le parking des véhicules des assistantes sociales de l'armée du bien qui a tout raté. La clôture est facile à

franchir à cet endroit et la porte qui donne sur le collège également. Cliché pris le 13/08

 

 

IL Y A BIEN 50m ENTRE LA CLÔTURE EXTÉRIEURE ET L'ENDROIT "où il avait du bruit", sous le passage dans l'angle des deux bâtiments, qui mène à l'entrée principale de l'autre côté.

IL EST MATÉRIELLEMENT IMPOSSIBLE QU'ILS AIENT PU ENTENDRE DU BRUIT "A L'INTÉRIEUR" EN RAISON D'UNE PRÉSENCE A CET ENDROIT, car s'il y avait quelqu'un, donc en intrusion lui aussi, il ne jouait pas de la grosse caisse. Quelle était la nature du bruit ? 

Evidemment, si tu ne connais pas les lieux, tu peux te faire avoir par de telles élucubrations.

Ils passent donc par dessus les clôtures, facile, et ensuite FRACTURENT "LA" PORTE SECONDAIRE (ce qui suppose une principale du bâtiment). Rappel : le mineur était un élève du collège, il connaissait les lieux.

Pour fracturer une porte il faut un instrument, au minimum un gros tournevis. Or ils étaient à pied et se balader après une cuite avec un tournevis à 6h du matin, ça ne tient pas la route. Ils ne disent pas être retournés chez eux, c'est donc un tiers qui leur a fourni l'OUTIL QUI SE TROUVAIT FATALEMENT DANS UN VÉHICULE "ami".

En fracturant la porte, l'alarme se déclenche, donc à 6h59. Détail que nous ignorons, cette alarme a t'elle une sirène, et combien de temps celle-ci fonctionne, et surtout QUEL EST LE NIVEAU SONORE ? Car ils disent avoir entendu des pas dans les escaliers, donc en même temps que le bruit de la sirène, est ce possible ?

Ce point sera à vérifier lors de la reconstitution, qui aura de toutes façons lieu.

Le mineur, d'après son téléphone, s'enfuit et se filme pendant 20 minutes, manifestement pour se constituer un alibi, vous avez dit bizarre ?

Pour le majeur, comme je l'ai déjà dit, rien n'est moins sûr. S'il est resté sur place en donnant son téléphone au mineur, qui l'utilise pour filmer, cela lui fait un alibi. Le contenu des téléphones a été sauvegardé par les enquêteurs, il est possible de vérifier cette version.

Les "d'jeuns" possèdent pour la plupart des téléphones depuis une dizaine d'année et les utilisent abondamment. Ils finissent donc par en connaître toutes les ficelles, d'autant plus que beaucoup reçoivent un enseignement en matière informatique. Quand on connaît un peu le sujet, il existe des ruses pour trafiquer les paramètres de l'appareil, écraser des fichiers image compromettants, mais on ne va pas tout expliquer, d'où des incertitudes sur l'heure réelle des prises de vues qui ne sont pas forcément celles enregistrées avec les fichiers.

MAIS IL N'EST PAS CERTAIN QU'ILS N'ÉTAIENT QUE DEUX. Rappelons que Mme VITEL a vu qu'une fenêtre était éclairée, que Mr VITEL après être entré PAR LA PORTE PRINCIPALE Bd Winston Curchill est revenu à son véhicule pour chercher son portable (pour ré-enclencher l'alarme ?) et a dit à son épouse qu'une porte était ouverte.

Mr VITEL arrive à 6h34 et coupe l'alarme. Il part chercher son portable, revient vers le local où se trouve l'alarme. 

Il se fait agresser, et succombe soit par un coup à la tête ou d'un arrêt cardiaque soudain du fait du stress (ce qui est arrivé à moult sportifs vaccinés Covid).

Son agresseur éventuel repart instinctivement par le même chemin que celui des deux mis en examen (quand même), ce qui explique que Mme VITEL et ses enfants ne l'aient pas vu s'enfuir. 

S'inquiétant, Mme VITEL envoie sa fille aux nouvelles (vers 6h40), et entend un véhicule partir en trombe. Ce témoignage est crédible car tout ce qu'elle a dit sur la chronologie est exact.

La suite on la connaît.

En clair, pour moi ça ne tient pas la route. Si vous avez d'autres idées : echo.joli@wanadoo.fr 

 

 

 

MISE A JOUR DU 06.09.2023 : Le dossier est maintenant figé, les enquêteurs continueraient à chercher. Les déclarations des deux visiteurs du matin sont plus que suspectes, c'est mon opinion. Le temps des bouquets, peluches et bougies est passé, les cellules psychologiques (à ne pas confondre avec la propaganda des heures sombres) ont plié les gaules en attendant le prochain cadavre. 

Pour le moment, le pas de vagues arrange tout le monde car si la mauvaise rencontre est un "supporter Anglais", un retour en force des 40 émeutiers, qui courent toujours malgré trois caméras est possible.

Rappelons que cette affaire VITEL peut traîner un moment, celle du procureur BOREL date de 1995 voir : http://comitesoutienborrel.free.fr/ 

 

 

Mr VITEL PASSÉ PAR

 

 

 

PERTES ET PROFITS ?

 

 

MISE A JOUR DU 17.10.2023 : Je suis abonné à TVL et cette "contre enquête" m'a évidemment intrigué. Pourquoi ce média national s'est intéressé à cette affaire locale passée aux oubliettes vu l'actualité ? Le "reportage" est un assemblage de vidéos, et le seul à avoir planché est l'avocat des deux voyous. On note aussi les exploits de notre Onc'Donne Sous qui trouve "le quartier calme", transmis au buraliste qui a brûlé et aux poulets municipaux à l'odeur de cramé.

Les vidéos peuvent être commentées, et j'ai donc posté deux fois le lien sur la page de ce dossier. Deux fois censuré, très rapidement.

Big Brother veille.

DU COUP CELA DEVIENT TRÈS SUSPECT : est ce un reportage bidonné de complaisance pour un enterrement de première classe ? Qui a intérêt à étouffer cette affaire ? Pas de vagues si c'est de l'OQTF ? Au fait, les deux voyous (et d'éventuels complices) c'est comment les noms ? Oh hé, les journaleux professionnels, faut il faire votre boulot à votre place ? Où en sont les fins limiers de la Kommandantur ?

 

https://www.youtube.com/watch?v=ufeB3lQKNlo&t=152s 

 

MISE A JOUR DU 16.10.2023 : Cette malheureuse histoire a fait l'objet d'un reportage sur TVL, une très méchante chaîne TV indépendante bien à droite comme il faut. Rien de bien nouveau, sauf la confirmation de certains détails par l'avocat des deux voyous, dont on ne connaît toujours pas le blaze et le curriculum de délinquance. Mr VITEL est bien venu rechercher son téléphone en disant qu'une porte était grande ouverte, les suspects ont pris des films dans le collège, le fait que le ou les  téléphones "étaient loin" ne prouve pas que le ou les propriétaires les avaient sur eux (port par un tiers complice).

L'avocat de Mme VITEL n'a pas été interrogé. Rappelons que selon mon point de vue, ce qu'ont raconté les deux suspects ne tient pas la route : entendre du bruit à 50m est impossible et passer par dessus les clôtures "pour voir" n'est pas crédible. Ils ont avoué avoir fracturé la porte "grande ouverte", certes, mais avec quoi ?

 

 

LA FAMILLE VITEL SE REBIFFE !

 

 

MISE A JOUR DU 27.03.2024 : L'Echo Joli avait ouvert une page consacrée à cette affaire. Il y a eu mort d'homme, dont sont responsables directement les individus qui se sont introduits dans le collège à 6h du matin. Sans le déclenchement subséquent de l'alarme, Mr Vitel serait toujours vivant, il partait en vacances.

J'avais mené ma propre enquête et démontré les incohérences des déclarations des deux principaux suspects, dont on ne connaît pas les noms et dont on peut supputer sans trop de risques de se tromper qu'ils font partie des petits protégés du système. Ca évite les échauffourées et les incendies de postes de police.

Je n'avais pas contacté la veuve à l'époque pour lui faire part de mes constatations, tout simplement par humanité pour respecter son deuil. Vu l'audience de l'Echo Joli, quelqu'un a bien dû lui en parler. Maintenant que la famille sort du bois et dépose plainte, on peut ressortir ce dossier. 

Il est flagrant dans les déclarations successives du parquet qu'on était dans le registre pas de vagues, étouffons, silence dans les rangs, jusqu'à un magnifique enterrement de première classe par le procureur général du Calvados soi-même :