Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps.
Personne ne lit cette feuille, sauf que tout le monde est au courant.
Messagerie : echo.joli@wanadoo.fr
|
|
O'CHAPITO
MISE À JOUR DU 02.10.2021
MAJ du 25.10.2018 : L'article du Pays d'Auge paru cet été (signé PL, probablement mon grand copain Leterreux, qui faisait partie la la bande), était bien tout pourri, manipulateur à souhait. En effet, je me suis pointé comme d'hab juste au bon moment hier au tribunal de grande instance, pour demander où en était cette histoire. Il m'a été répondu qu'une liquidation judiciaire aurait été prononcée et parue au BODACC le 14/06/2018 (plutôt une ouverture de redressement judiciaire d'ailleurs, par contre l'ardoise de 80000€ serait vraisemblable). Ce qui fait que le gribouilleux de mauvaise foi a enfumé ses lecteurs. Mon grand copain Motté devrait se convertir à l'islam vu ses qualités en matière de taqiya (mensonge, dissimulation en arabe). "Nous n'avons pas souhaité le renouveler", manifestement les juges ne sont pas de cet avis. "Ochapito est dissoute", et non, elle est toujours bien vivante en attendant que le liquidateur B. Beuzeboc termine le sale boulot et se rince au passage. Cerise sur le gâteau, est parue une annonce légale, un jugement de liquidation judiciaire en date du 18/10/2018. Les créanciers ont deux mois pour déposer leurs créances, ce qui permet parfois de minimiser l'ardoise, les inattentifs et ceux qui jettent l'éponge en sont pour leur douloureuse, bien profond. Rappelons que dans cette affaire, la ville y a laissé 10000€, au moins 10000€ de prestations gratuites des employés municipaux, la perte de recette du stationnement payant (non compensée par un droit de place), l'armada de poulets a été chiffrée par mes soins à 100000€ (le préfet s'est écrasé mollement et ne m'a jamais répondu), les chiffres d'affaire des commerçants ont été lourdement impactés (sauf un bistrot). Messieurs les juges, devant l'ampleur du désastre, une petite extension sur les biens personnels serait bienvenue, ainsi qu'une interdiction de faire partie d'un conseil d'administration d'association, car manifestement, le petit voyou n'a pas encore compris qu'il était nul. Quant au proc, mon avocat attend toujours la copie du rappel à la loi. Le looser bénéficierait il de protections, et par quel détour ?
06.06.2018
Vu le comportement du petit blouson noir, le devenir de l'ardoise du festival OCHAPITO m'intéresse à titre personnel et en tant que cochon de payant. La feuille de PQ sur tableur qui sert manifestement de comptabilité à cette association bidon faisait état d'une ardoise de 110000€ (au minimum), et ce document m'avait été fourni par la mairie. Le 11 mai, votre journaliste d'investigation vicieux et pervers a demandé à la mairie où cela en était. Réponse du 30 mai : circulez il n'y a rien à voir : "rapprochez vous de la dite association". Avec ou sans Kalach ? Pas de bol, je suis tombé dans l'estaminet le plus branchouille de notre bigote cité, sur une des victimes non consentante de l'opération, pour, ma foi, une ardoise qui fait mal au cul, passez moi la vulgarité de l'expression. Bref, cestui qui a enfumé le préfet (pour 100000€ de poulets mobilisés dégarnis des fronts des ZUS) et les joyeux inconscients et innocents aux doigts palmés de la mairie, serait manifestement dans la débine. Comme le président du Tribunal de Grande Instance est censé expédier en redressement judiciaire les associations fussent elles fantômes qui claquent des trous dans la caisse, on va pouvoir poser la question. D'autant plus que notre petit filou a quand même tenté de se refaire la cerise sur le dos de l'agglo et de la région.
https://www.contrepoints.org/2017/08/02/295849-foodtrucks-indesirables-a-lisieux
MAJ du 31.03.2018 : Je me doutais bien que le rappelé à la loi était en train de magouiller pour faire renflouer son déficit de 100000€ avoué (bien plus en fait) par le contribuable. Une tentative a eu lieu en direction de l'Agglo, qui a refusé. Playmobil est suffisamment finaud pour ne pas mettre son doigt dans un tel engrenage. Motif : pas de dossier. Et oui les loulous, le fric du contribuable c'est pas à la tête du client, sauf chez les imprudents fumistes de la municipalité. Qui dit dossier dit statuts, assemblées générales, élections, cotisations, le tout à jour et remis à la préfecture, et surtout bilan comptable dressé par un comptable (et non pas une feuille de PQ bricolée sur un tableur), et vu les sommes en jeu, comptes certifiés conformes par un commissaire aux comptes. D'ailleurs, j'attend toujours ces documents de la préfecture. Conclusion : les créanciers savent maintenant qu'ils l'ont où je pense avec le manche et l'étiquette. Le dépôt de bilan est maintenant certain, et comme cette démarche est soit effectuée par les dirigeants (Président et Trésorier) (qui peuvent espérer en anticipant échapper à une condamnation pénale et une interdiction de gestion), soit découler d'une assignation en redressement judiciaire. Je rappelle que les membres d'un bureau d'assoc, président en tête, peuvent être poursuivis sur leurs biens personnels, entre autres un magasin par exemple et un "food truck" vu en ville et subventionné toujours par le cochon de payant à hauteur de 7000€ (en fait c'est une roulotte de baraque à frites). Il y en a un qui en est pour 23000€, ça chatouille quand même. Mais le contribuable n'est pas sorti d'affaire pour autant : il y a eu une faute lourde de gestion, car la municipalité et l'Etat se sont engagés avec des planeurs, disons, qui n'avaient pas plus de dossier (voir ci-dessus) l'an dernier. Transmis à Pin-pon, qui n'est pas vraiment clean sur ce coup en tant que responsable des animations, et a dû aussi tremper dans le désastre en cours de la roue. Au sujet des Food Trucks notre Bouffi-Bouffon, pourtant manifestement adepte de la bouffe de merde, a donné l'an dernier sa position, assez logique d'ailleurs : https://www.contrepoints.org/2017/08/02/295849-foodtrucks-indesirables-a-lisieux. Il n'y a que deux emplacements, occupés. Vous allez voir que le petit chéri va bénéficier d'un passe droit, juste récompense des efforts de la famille ?
MAJ du 21.03.2018 : Les casseroles s'accumulent aux fesses de la "personnalité augeronne 2017". Il a déjà écopé d'un rappel à la loi (en deux temps, ça a un peu cafouillé) et va se ramasser dans la foulée bonne tarte sonnante et trébuchante. Pas de nouvelles du trou dans la caisse, alors que selon des informations sûres un des mieux servis serait encore dans l'expectative pour récupérer ses pépètes. Le "Food Truck" est toujours aussi fantomatique. L'assoc bidon qui aurait financé, elle même alimentée généreusement par nos impôts (département, région et agglo), reste muette comme une carpe. Playmobil a été sollicité, on attend.
OCHAPITO : UN PETIT CHÈQUE
POUR LE FOOD TRUCK BIDON
MAJ du 11.01.2018 : Manque pas d'air le camarade qui travaille du chapiteau, sur la photo à droite à côté de sa tenancière de rade à pinard. Nous sommes le 11 décembre, quelques politicards un peu gogols posent après lui avoir accordé un prêt d'honneur de 7000€, sans intérêt, sans trop se poser de questions sur le devenir du trou dans la caisse du festival du boucan "dont la présence n'est pas certaine en 2018". Aux dernières nouvelles, l'individu serait parti en... Colombie, sans doute pour rendre visite à des fournisseurs. De fringues à la mode ça va de soi, je ne vois pas ce qu'on peut trouver d'intéressant dans ce pays perdu. S'il est normal que le roitelet et son Bouffi-Bouffon se fassent embobiner, par contre je suis un peu dubitatif sur le discernement de Playmobil et de notre ex-grand argentier à la barbe fleurie. Remarquez, d'autres ont tapé dans la caisse et il a bien fermé les yeux. Et ho ! proc ? Ca en est où ? On attend avec impatience une photo du véhicule Food Truck, en espérant qu'il ne soit pas entièrement dédié à la fabrication de tartes à la crème. Selon mon avocat, la plainte serait coincée dans le tuyau entre le commissariat et le parquet, qui passe malencontreusement sous la mairie. Pas de réponses non plus à mes littératures circonstanciées adressées à la mairie et à la préfecture. Un peu de nerf les gars, on est quand même le 11 janvier.
Pour les épisodes précédents, c'est par ici : AFFAIRE OCHAPITO
L'AGONIE ?
MAJ du 03.01.2018 : Manifestement, le trou dans la caisse n'a pas été comblé, un x-ième article de complaisance pour un appel aux dons étant paru dans le Pays d'Auge. Détail : dans la liste des rendez-vous de l'année, pour le festival du boucan jusque 3 heures du matin il est précisé "l'incertitude règne". Votre journal d'investigation préféré a pris d'ailleurs sa plus belle plume, pour poser des questions pertinentes et sensées à la mairie : "Vous m’avez fait parvenir une copie du PROJET de la “Convention de Partenariat” que vous avez signé avec OCHAPITO EVENEMENTS. Il conviendrait de m’adresser une copie de l’ORIGINAL daté, comportant la signature des deux parties, car il peut y avoir des différences. Je note que cette convention engage la municipalité et par conséquent les contribuables, car à mon sens vous avez commis une “erreur lourde de gestion” en traitant avec un individu n’apportant jusqu’à preuve du contraire aucune garantie financière, dont la réputation est entachée par certaines frasques. J’ai d’ailleurs déposé plainte contre lui. Vous m’avez également fourni une feuille de calcul suspecte, mais où apparaissent des anomalies et dettes importantes, largement supérieures aux 80000€ claironnés dans la presse. Le dépôt de bilan, au cas où Mr MOTTE ne pourrait faire face aux dettes de l’association, est assuré. D’où quelques questions pratiques : -- Y a t’il un comptable professionnel ? -- Un commissaire aux comptes ? -- Les procédures de constitution de l’association, de son AG, du vote ayant désigné le CA puis le bureau ont elles été respectées ? -- Le dirigeant envisage t’il d’enclencher une procédure de sauvegarde ou de déposer le bilan ? Quelle est l’état des comptes (et dettes) actuels, mais cette fois sous forme de document comptable authentique (balance, compte d’exploitation provisoire, bilan provisoire) ?" Et au préfet : "J’avais attiré votre attention par courrier du 17 octobre sur la tenue du festival OCHAPITO, et en particulier sur le coût pour l’Etat de cette manifestation, donc en pratique pour le contribuable. Vous m’avez répondu le 22 novembre que toutes dispositions avaient été prises, j’en conviens. Manifestement le “festivalier”, pour rester poli “baba cool cradoque”, est une grande frileuse et on ne croisait guère ces zombies dans les rues désertes, mais abondamment noyées de décibels. Je m’étonne que vous ayez pu entériner de la techno “à donf” jusque 3 heures du matin quatre nuits de suite en période scolaire, alors que des bars se font verbaliser sévèrement à 23 heures. Selon les dires de personnes ayant participé à vos réunions, vous avez engagé, en sus de la sollicitation du commissariat, 16 policiers, dont deux maîtres-chiens que j’ai pu voir. Ce festival est très fortement déficitaire si on se réfère à une feuille de calcul fantaisiste qui n’a aucune valeur juridique (ci-jointe). Frédéric MOTTE, le président de OCHAPITO EVENEMENTS, claironne dans une presse qui lui est favorable, un déficit de 80000€. Je n’ai pas tous les éléments comptables mais nous sommes partis pour beaucoup plus. Il se trouve que la mairie de Lisieux s’est engagée par un contrat et a versé une subvention. Vous même avez engagé des moyens policiers sans lesquels la manifestation n’aurait pas été autorisée. Des créanciers vont fatalement assigner OCHAPITO EVENEMENTS si les dirigeants ne couvrent pas les dettes par leurs deniers personnels. Vu les éléments ci-dessus, ils pourront se retourner contre la mairie, au titre très clair de la “faute lourde de gestion”, donc une nouvelle fois solliciter le contribuable. Frédéric MOTTE, qui m’a agressé physiquement et contre lequel j’ai déposé plainte, que j’ai vu à l’oeuvre dans d’autres circonstances, prend parfois ses caprices pour des réalités. Soyons donc pragmatiques. Veuillez m’adresser : --Une copie des statuts de OCHAPITO EVENEMENTS, et tout autres documents en votre possession (composition du CA, du bureau, comptes rendus d’AG) et en particulier les mandats donnés au président pour ester en justice et/ou solliciter un plan de sauvegarde auprès du Tribunal de Grande Instance (ou au Tribunal de Commerce si cette association “border limite” est requalifié en entreprise commerciale), -- Une estimation tangible du coût des 16 policiers mis en oeuvre pendant cinq jours et
de nuit. Cet évaluation doit normalement figurer dans les comptes de l’association au même titre
que l’aide matérielle apportée par la mairie (c’est le cas du festival Beauregard à
Hérouville). Ce
n’est pas négligeable, car je l’ai estimée “à la louche” à 100000€.
MAJ du 19.12.2017 : L'ardoise du décidément très entreprenant enfumeur qui se prend pour un producteur de Johnny s'alourdit avec ce prêt d'honneur sans garantie. Fatale imprudence des zélus de l'agglo ?
OCHAPITO : ANALYSE D'UN DÉSASTRE
Cliquer sur les miniatures.
MAJ du 09.12.2017 : Continuons donc à examiner la feuille de calcul trafiquée transmise par la mairie, et à comparer avec les déclarations du futur déposé retranscrites servilement par la gribouille professionnelle. Rappelons qu'elle est arrêtée au 20 octobre, et que n'y figurent pas des comptes et dépenses qui ont été apparemment soldés, en particulier les recettes de billetterie et de restauration/bar. Plus flou tu meurs. Le total dépenses qui figure sur ce document est de 359362.26€ TTC. Compte tenu du fait que tout n'y est pas, et de loin, le budget total est plutôt aux alentours de 450000€ TTC, chiffre cité par des personnes qui ont participé à des réunions. Dans la presse, l'organisateur "présumé innocent" de la Bérézina indique 370000€. C'est donc faux. On verra ça quand on aura les comptes complet, une balance, un compte d'exploitation et un bilan, dressés par un comptable professionnel et contrôlés par un commissaire aux comptes, sauf si un mandataire est désigné par le tribunal d'instance ou le tribunal de commerce si l'association aux gentils bénévoles est requalifiée en société commerciale, auquel cas ils se transforment en travailleurs au schwatrz (on ne sait pas à l'heure actuel s'il y a un comptable dans le circuit, qui doit faire de l'huile). Car enfin, la municipalité, la région, la CCI (où à ma connaissance grenouillent des patrons censés gérer leur petites affaires dans les clous), et l'Etat (par le truchement du Préfet) se sont engagées avec les sous du contribuable dans une opération à haut risque, en signant bien imprudemment une "convention de partenariat" où la mairie déclare "s'associer", et dans laquelle on ne trouve pas trace de l'apport de garanties financières des membres du bureau financièrement responsables (des cautions personnelles par exemple). On remarquera d'ailleurs que la copie de la convention est un projet, va falloir encore embêter Athénaïs pour obtenir l'original signé des deux parties (s'il existe, dans ce foutoir tout est possible). J'y vois là une des conséquences de l'éjection de notre ex-Grand Argentier à la Barbe Fleurie, qui, en tant qu'ancien banquier, eût été plus prudent. Le juge (et le proc) peuvent très bien, comme le prouvent les documents suivant du courriers des maires, décider que tous ces braves gens dont un décoré d'une Légion d'Honneur usurpée, ont commis des "fautes lourdes de gestion", ce qui permettrait aux créanciers de se retourner contre la mairie et donc contre toi lecteur contribuable. http://www.courrierdesmaires.fr/14464/depot-de-bilan-dune-association-quels-risques-pour-les-elus/ On peut légitimement se poser la question de savoir si cette option n'était pas envisagée au départ, les pervers ça existe. On me souffle qu'ils sont trop bêtes pour en arriver là. Amusons nous du contraste entre les cachets d'EMIR KUSTURICA (qui va faire son deuil de 3000€) à 31650€ et ses copains MADO ET LES FRERES PINARD, des saltimbanques en délitement à 1200€ (pas payés ?) et le camarade Jahen Oarsman à 1250€ dans la même panade. Il y a ensuite un pavé en gris étrange avec d'autres artistes indicés (AESN), dont un seul a reçu 2000€ d'acompte. Cette AESN n'est autre que l'AGENCE DE L'EAU SEINE NORMANDIE, partenaire officiel de ce big bazard. On se demande bien pourquoi. Ou alors le Présumé Innocent a un pote dans cette usine à eau, financée elle aussi par le cochon de payant par l'intermédiaire de sa facture d'eau. Il y en a quand même pour 21000€. On apprend au passage qu'ils financent des taggueurs (avec des bombes "hardcore" ?), on sponsorise des crasseux qui dégueulassent les murs d'un côté et de l'autre on nettoie de l'eau. N'importe quoi. La PROTECTION CIVILE et MUTREL en sont pour leurs frais, de même que l'assurance SMACL (citée dans le contrat passé avec la ville), qui n'est autre que la SOCIETE MUTUELLE D'ASSURANCE DES COLLECTIVITÉS LOCALES. Encore un machin financé par le contribuable plus ou moins directement. Et si la SMACL se ramasse une ardoise, il se pourrait bien qu'elle renonce aux poursuites, voire qu'elle trouve un arrangement surtout si elle assure la ville de Lisieux. AENEAS SECURITE, vous savez les artistes encostardés qui se sont fait berner par le dangereux terroriste rédacteur de ces lignes qui les a roulés dans la farine à passer son fidèle Opinel sous leur... barbe #Attentionstimatisationislamophobe. Le célèbre couteau se marre encore. Oh Opinel, s'ils t'avaient choppé tu serais en train de rouiller entre une Kalach et un cimeterre. Adieu la coupe du persil parfumé, du cerfeuil capiteux, des trognons de salade bio. Pas sûr que le boss, qui a des arguments vu la carrure, apprécie de s'être fait enfler de 23000€. Pas grave il se rattrapera sur son bon client Frédo-cinq-zéros-parce-que-six-ça-fait-trop, le boss du LECLERC, sponsor principal du barnum, qui, rappelons le, est ravi à chaque fois qu'il a la possibilité de bloquer le centre ville avec l'aide sournoise et sirupeuse de son grand copain BOUFFI-BOUFFON. A suivre, car il y a encore plein de questions à se poser, sur de sordides histoires de TVA, d'URSSAF, et un personnage étrange JEREMY qui attend son salaire de 31000€. Les 200 "bénévoles", on a toujours le sourire ?
MAJ du 04.12.2017 : Epluchons donc, les relations incestueuses entre l'association bidon OCHAPITO EVENEMENTS, qui est une société tout ce qu'il y a de plus commerciale DE FAIT, et une mairie tout ce qu'il y a de plus complice et impliquée jusqu'au cou, juridiquement et financièrement. La loi de 1901 étant bien faire, il va sans dire qu'il convient de vérifier si les statuts sont conformes, l'élection du conseil d'administration en AG avec le quota requis de membres s'étant acquittés de cotisations au tarif indiqué dans les statuts ou un éventuel règlement intérieur, régulière, idem pour celle du bureau, s'il y a bien eu rapport moral et financier, le tout déposé à la préfecture qui doit se faire une joie de tout transmettre à n'importe quel contribuable à lettre lue. Vu les sommes engagées, y a t'il un comptable et un commissaire aux comptes ? Je vais endosser le costard de François-Hubert de Pasmurdecon, juge d'instruction de son état, qui a la chance de disposer des talents du fameux Nestor Burma, un "bon flic", rusé mais un peu dragueur, le charme ça fait vraiment tout, un p'tit clin d'oeil pour un rendez-vous. D'abord, il y a effectivement un contrat de "partenariat" et "d'association" (voir ci-dessus, cliquer sur les miniatures). Le document remis par la mairie est un projet, qui n'a aucune valeur de preuve, il va donc falloir demander une copie certifiée conforme de l'original, d'une part pour connaître la date de signature du forfait, d'autre part pour vérifier s'il y a eu des modifications, par exemple des annotations sur les deux originaux. La date est importante, car il faut comprendre que le coup de Jarnac qui a plombé les chiffres d'affaire de centaines de commerces, expédié les consommatrices dans les bras du sponsor principal le magasin LECLERC, ravi de semer sa merde en centre ville, et distribuer les décibels pendant quatre jours jusqu'à trois heures du matin a été concocté entre coquins en grand secret, puisque tout le monde a été mis devant le fait accompli une dizaine de jours avant. Outre la subvention minable pour un budget au moins 40 supérieur, la convention stipule que la place est mise à disposition (1,5 hectare) gratuitement (ceux qui payent des droits de place apprécieront), avec pose de barrières et divers travaux par le personnel municipal et "les supports de communication", affichage 4x3m et 120x176 (combien, coût fictif, qui a payé les affiches ?). A titre d'exemple, la mairie d'HEROUVILLE de mon grand copain Rodolphe Thomas, estime à 125000€ ses "prestations gratuites" pour le festival de Beauregard dont le volume est sensiblement équivalent. On aimerait donc connaître une évaluation de ces petits cadeaux entre amis. Je n'ai pas dit que c'était interdit, mais le contribuable est en droit de savoir. Oh, l'opposition, ma grande gueule de Johnny Be Bad, chiche que tu poses la question au prochain conseil municipal (12 Décembre) ! Avancer le chiffre de 50000€ est raisonnable, car ça cube vite. Et qu'on me prouve le contraire. Autre coût caché, de subvention indirecte : le déploiement policier. Comme les petites souris finissent par tout savoir, 16 policiers sont restés en mission au moins quatre jours (on fera grâce des coûts des "nombreuses réunions" que cite le sous-préfet), dont deux maîtres-chien (vu de mes yeux), ceci de 16h à 3h du matin (11 heures) (arrêté du 14 septembre). Votre garagiste vous facture 45€ de l'heure. On part sur cette base (même si la facturation éventuelle est inférieure). Allons y : 16x11x45x4 = 32000€ + 2000€ pour les deux clebs. Frais d'hôtellerie et de repas en plus, à la grosse 100€x16x5 = 8000€, plus les primes, les RTT, allez on va dire une petit 45000 à 50000€ pépère. Qu'on me prouve le contraire. Et puis il y a aussi les pompiers, et nos poulets locaux, forcément mobilisés un peu plus que d'habitude. Bref, le contribuable en est de sa poche pour la bagatelle de 100000€, sans compter les subventions 10000€ (ville) + 6000€ (région) + 2000€ (CCI) . Qu'on me prouve le contraire. Intéressons nous maintenant à la très suspecte feuille de calcul présentée pour pouvoir toucher les 3000€ versés après la manifestation selon l'article IV de la convention. Ce n'est ABSOLUMENT PAS UN DOCUMENT COMPTABLE VALIDE (voir ci-dessous). Un bout de PQ complètement trafiqué, mais qui est quand même très instructif. De plus, il est arrêté au pifomètre au 20 octobre, ce qui s'est passé avant mystère, en particulier sur les recettes de billetterie, de restauration, de vente de bombes de peinture à des crasseux, spéciales tags "hardcore" pour décorer les murs de hiéroglyphes de tarés, les recettes venant des "sponsors" dont le principal, mon Frédo Cinq Zéros, ravi de bloquer la ville et qui d'après les témoins fredonne en arrivant au burlingue "viens sur mon parking gratuit" rengaine bien connue de Berthe Sylva. Voici ce qu'en dit un honorable correspondant : "Dépenses ttc : 359 362.26 ttc tva : 27 031.90 dépenses ht : 332 330.36 ht. Taux de TVA, 20 % 5.5 % et des auto entrepreneurs hors tva. Acomptes versés : 117 123.68 solde à payer : 332 330.36 ht - 117 123.68 = 215 206.68 ht Question : A combien se montent les acomptes, billetterie, sponsors, capitaux ? Subventions sponsors et collectivités en attente : 104700€ inclus négociation SACEM 25000€ très aléatoire, et TVA à récupérer 20000€, çà semble beaucoup soit un aléa de 45000€. Pas de coût EDF, pas de frais de transport des artistes ( voitures taxis ), une masse salariales JEREMY, 31000€ charges incluses ? Soit environ 16000€ net de salaire pour une semaine , il y aura de l’ URSSAF. Pas de frais de séjour ( hôtels ). Une fois que les subventions et dons sponsors seront versés, il restera une ardoise de 109 187.21 après négociation SACEM et TVA. Il y aura donc un différentiel de TVA, l’ urssaf sur le salaire de jérémy, la négociation sacem et les dépenses non chiffrées ci-dessus qui peuvent alourdir l’ardoise. Question : qui sera planté : les artistes, les fournisseurs, le fisc, l’ urssaf, le salarié mystère JEREMY ? "
Ce sera tout pour ce soir. En tous cas, tout le monde comprendra que les articles de complaisance passés dans les trois feuilles de propaganda de la "Rédaction Unique" étaient bidonnés, de l'enfumage, de l'esbroufe, du pipo. Il faut dire que les journalistes sont souvent de solides crétins en matière de gestion. On peut pas tout faire à la fois, embobiner le citoyen et avoir les pieds sur terre.
Cliquer sur les miniatures. MAJ du 02.12.2017 : Puisque c'est comme ça le grand déballage va commencer. Le document ci-dessus, une feuille de calcul instructive, était nécessaire pour débloquer les reliquats de subventions (comme précisé dans le contrat d'association avec la mairie). Pas de bol, c'est public, c'est la loi mon petit arsouille de Frédéric MOTTÉ. C'est flou, incomplet, beaucoup de zones d'ombres et de curiosités. J'aurais préféré une balance, mais on finira par l'avoir. En effet, n'y figurent pas les recettes de billetterie, pas trace de frais d'hébergement alors qu'on sait que MANU DI BANGO a snobé les chambres mises à disposition par l'Hôtel de l'Espérance (le boss l'a saumâtre) pour aller crécher à Deauville. Précision pour les petits cons de trolls sur facebook : j'ai fait 8 ans de banque, un diplôme de compta, et je gère une boîte depuis 36 ans. Faut pas me la faire.
LE TORCHON TORCHÉ
MAJ du 02.12.2017 : La gribouille aux ordres, sous la plume du camarade Christophe LEMOINE (Pays d'Auge) se permet de se réjouir de la violence de Frédéric MOTTÉ, dont on connaîtra le passé judiciaire à l'occasion de son procès. Pas blanc blanc le loustic, mais bien sûr ce sont des ragots. Pas certain que ce plumitif valet de la "matrice" publie ce droit de réponse dans sa feuille de chou :
"Un droit de réponse étant proportionnel à l'article d'origine, je fais court, le reste est expliqué en détails sur l''ECHO JOLI : http://echo.joli.pagesperso-orange.fr/ (ou taper echo joli lisieux sur un moteur de recherche). Mon agresseur était Frédéric MOTTÉ, président de l'association OCHAPITO EVENEMENTS, qui n'a pas apprécié mes critiques justifiées concernant le désastre de cette manifestation, organisée conjointement avec la mairie. Il m'a attaqué par derrière, et m'a appuyé fortement sur l'oeil droit (ce n'était pas une farce mais un coup). J'ai déposé plainte. Je ne fais pas "fi des règles de vérification" : j'ai demandé à la mairie les documents qui ont permis de verser une subvention et les ai reçu hier : dont une feuille de calcul suspecte mais instructive. On peut dire que les trois journaux locaux ont rédigé des articles de complaisance en faveur de mon agresseur, alors que l'ECHO JOLI publiera la vérité. L'ECHO JOLI n'est pas confidentiel, et est complété maintenant par facebook, qui permet aux citoyens d'échapper à la presse aux ordres. Je me suis présenté plusieurs fois aux législatives pour le MEI (Antoine Waechter) et je faisais le score habituel des véritables écolos. Quant aux cantonales, j'ai tout de même réussi à expédier Bernard Aubril au deuxième tour, début du commencement de la fin, après il a tout perdu : vice-présidence du conseil général, SCOT, Agglo. Comme quoi. Au détriment de Lisieux malheureusement. Je revendique d'avoir fait perdre Yvette Roudy (qui l'a reconnue elle même), puis Ursula Oger, puis Eric Lehéricy (alors qu'on aurait gagné s'il avait gardé le MODEM), puis Florence LEHÉRICY (opportuniste LREM), grâce à des tracts et au lectorat de l'ECHO JOLI. Ce sera encore plus facile de nos jours avec les réseaux sociaux. Enfin, le MODEM n'a jamais engagé de procédure d'exclusion."
Pour tout savoir sur la REDACTION UNIQUE et savoir qui tient le porte-plume de Christophe LEMOINE voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_SIPA_-_Ouest-France (OUEST FRANCE, PAYS D'AUGE, EVEIL, COCKTAIL FM (et oui)). https://www.societe.com/societe/soc-participat-financement-communication-549200509.html
L' ASSASSIN A L'OPINEL
LANCE UN PAVÉ
MAJ du 24.10.2017 : Dans la mare et non pas dans la vitrine du ruiné de la rue de la Résistance. Vous pensez bien que la maison poulaga m'aurait depuis longtemps convoqué s'ils avaient un soupçon, vu que les cow-boys du ranch du Bd St Anne se font régulièrement mettre en boîte sur ce site. Une des petites souris de l'ECHO JOLI était présente par hasard à l'arrivée du président et de la trésorière de OCHAPITO DEFICIT à l'espace Victor Hugo. La trésorière c'est la maman du garnement, encore une histoire de famille. Ils venaient pour "faire le bilan", par contre pas su avec qui, Serge Marie probable (c'est lui qui a eu une délégation pour la commission de sécurité, et est un des responsables du "bordel" semé quatre jours en ville jusque trois heures du matin), Bouffi-bouffon possible (Emmanuel Thillaye). Je vais faire une tournée des grands ducs pour remonter les pendules dans les magasins. Ils sont sympas quand même, CAP LISIEUX va doubler ses effectifs. A rapprocher des 4700 signatures recueillies par Pascal LECLERC. Quant au bilan, rendez vous au prochain conseil municipal, y aura t'il une grande gueule dans la salle pour demander des comptes aux bras cassés de la majorité ? Oh ! Johnny, j'te cause !!!
LES QUESTIONS QUI FÂCHENT
MAJ du 20.10.2017 : Le trou dans la caisse serait de l'ordre de 110000€. Pour se refaire la cerise, l'assoc envisage de créer des événements, on a donc pas fini d'être "emmerdés" avec du boucan. On apprend dans la foulée que le "sponsor principal", était le LECLERC pour pas changer une équipe qui perd. Fais gaffe Frédo, avec ces petits jeunes inconscients tu vas finir par y perdre un zéro. Autres détails : la société de vigiles est la même que celle du LECLERC (les barbouzes ont été reconnus), sur quatre jours 25000€ vu la nuée et le travail de nuit, ça me paraît un peu en dessous. De plus le graillon venait aussi du "sponsor principal". On ne va tout de même s'envoyer des huissiers entre compères. Car dans ce genre de situation, il y en a qui sont payés et d'autres "les baisés comptez vous de la gauche vers la droite". Pas fini de prendre des pavés dans la vitrine, c'est pas sympa, mais vu le nombre de personnes impactées par le foutoir qu'a semé cette semaine de dingues en ville, chacun se débrouille comme il peut.
MAJ du 17.10.2017 : Les déclarations de l'organisateur sont assez oscillantes au sujet de la fréquentation (7 à 8000). Il tablait sur 3000 entrées/jours (ce qui est énorme), le jeudi ce fut 1300, et vendredi et samedi par déduction 2000+2000 = 5300. Soit un delta de 3000 selon l'organisateur et 0 selon la pôôôlice. Il nous prend pour des billes le Frédéric. A noter que le festival d'Hérouville, Beauregard, fait 65000 entrées et que la mairie finançait 120000€ d'aide matérielle et 115000€ de subvention, réduite à 65000€ l'année prochaine (ça fait "mal au cul"). Or le volume de matos et de personnel est quasiment le même. Cela ne pouvait pas passer. D'autant plus que la municipalité n'a versé qu'une obole de misère, de vrais radins , de 10000€. On espère que la tutelle (le Préfet) va surveiller de près les tours de passe-passe éventuels pour renflouer. Aux dernières nouvelles, car ça jase en ville, une nouvelle édition miraculeuse ne se ferait pas en ville. Quand même. Comme quoi ça sert de râler. Si le festival de Beauregard n'a pas de caractère commercial, le fait d'appeler une éventuelle nouvelle édition OCHAPITO pour faire en fait de la publicité au magasin du même nom l'est et ne devrait pas être financé par les sous du contribuable, qui en plus est prié de trouver marrant de ne pas dormir quatre nuits de suite.
MAJ du 16.10.2017 : BAFOUILLE A NANARD. Depuis plusieurs mois, vous avez préparé avec le responsable de OCHAPITO
EVENEMENTS un festival de musique sur la place de la République. Vous avez travaillé selon vos déclarations, “la main dans la main” avec ce
monsieur, et vous l’avez encore assuré récemment de votre soutien. Passons sur la nullité du service de sécurité. Je vous considère comme co-responsable. Comme vous avez pris, comme d’habitude, tout le monde par surprise, sans aucune concertation, il convient de cerner les responsabilités, aussi bien en matière de nuisances, que pour les conséquences financières de cet échec cuisant (ce qui ne remet pas en cause la qualité des concerts). Vous avez accordé une subvention de 10000€, votée. Ce qui implique l’existence d’un dossier, avec budget prévisionnel et garanties financières et d’assurances, que vous exigez de toutes les associations. Vous voudrez bien m’en faire parvenir copie. Vous avez forcément pris un ou plusieurs arrêtés municipaux, pour réglementer l’usage de la place et autoriser la manifestation, en précisant, je l’espère, les horaires. Vous voudrez bien m’en faire parvenir copie. A t’il été passé un contrat avec l’organisateur ? Outre la subvention, la ville a engagé des moyens importants, humains et matériels. Ces coûts ont ils été facturés à l’organisateur (barrières, tentes, scènes, frais de personnel etc...) ? A combien se montent ils ? Qui a payé l’électricité ? A t’il été facturé un droit de place pour l’occupation d’un espace public d’un hectare pendant huit jours ? Avez vous cautionné financièrement l’organisateur ? La ville a t’elle financé les frais d’installation du camping provisoire des “festivaliers”, presque désert ? Envisagez vous d’accorder une subvention afin d’éponger les pertes de l’organisateur ?
LE BILAN POSITIF
AVANT LE DÉPÔT NÉGATIF
MAJ du 09.10.2017 : Comme dans notre bonne ville tout fini par se savoir, il y a eu des dépôts de plaintes et des dizaines d'appels outrés au commissariat. Rassurez vous le parquet est bien ciré et ça va glisser au classement vertical. Il faut noter que certains bistrots qui charrient parfois un peu se ramassent des prunes sévères, ceci dès 23h, le samedi une fois par mois. L'estaminet des Soeurs Pinard en tête, les voisins étant passé du jour au lendemain de nuisances sonores naturelles en ville, à du boucan jusque plus d'heure plusieurs fois par semaine. Ca s'est mal passé. OCHAPITO ne pouvait ignorer cet aspect des choses de la musique, vu qu'il est cul et chemise avec les chéries de ce rade sympa. D'autres sont plus respectueux de la législation et de leurs compatriotes (Le Guest a des sas anti-bruit). Car ce que je reproche le plus à ce festival, monté "main dans la main" avec la mairie (sic l'Eveil), c'est l'arrogance, la morgue, le manque de civisme, l'irrespect, le mépris pour des centaines de Lexoviens inondés de décibels jusque trois heures du matin quatre nuits de suite. On peut même dire que le roitelet s'est complètement grillé électoralement sur ce coup, car les mamies bizoutées baveuse du centre ville, c'est son électorat. On en saura plus en fin de semaine pour l'impact sur le commerce, un collationnement des baisses d'activité va être fait par mes soins. Non mais.. Après que les "zélus" mouillés par ce "boxon" se soient défilés sentant que ça tournait au vinaigre pour se réfugier chez Johnny be Bad, il fallait s'attendre à une certaine complaisance de la presse, empressée de cacher la vérité comme d'hab. Le titre de OUEST FRANCE est prudent : on se calme. Les entrées, c'est 7000 selon les organisateurs et 2000 selon la police de la pensée. A 25€ la place à la grosse, on arrive maxi à 175000€ sur un budget qui selon les bouteillons serait de 450000€ (source à peu près sûre). L'objectif c'était 7000 par jour. Ouille. Le bouillon serait donc de l'ordre de 200000€, plus si affinités. Bref on est débarrassés de ce festival mégalo, car avec un CA pour deux magasins de 192000€ (2013) et 4000€ de bénef, va falloir un moment pour éponger. D'où un appel aux dons. Mais il rêve tout debout, c'est pas possible. A titre anecdotique, certains artistes, il est vrai souvent sur la route toute la Sainte journée, ont été logés à... Deauville, ma chère. Comme le contribuable a mis la main à la poche en subventionnant d'une part financièrement, et d'autre part matériellement, on aimerait bien consulter les comptes de l'association, comme c'est la règle pour les autres. Reste à connaître quelques détails pratiques : l'électricité qui a payé ? Y a t'il eu des droits de place perçus pour une occupation d'un hectare d'espace public en centre ville pendant huit jours ? Quel a été le coût du personnel de la mairie qui a mis en place les barrières et autres dispositifs de sécurité ? Les chiottes du chemin Wicart, plus nombreux que les campeurs, ont ils été loués par la mairie (on le saura) ? Etc... Restent d'autres conséquences. Les sponsors ont allongé la monnaie pour rien, quasiment invisibles sur le site, et tout juste sur un petit dépliant remis en même temps que le billet. Faire de la pub pour 7000 personnes dont plus de la moitié ne remettrons jamais les pieds à Lisieux, c'est de l'arnaque. Conséquence artistique : le mastodonte a écrasé les groupes locaux, écartés, ce qui n'était pas le cas les années précédentes, pompé les budgets des sponsors qui vont avoir la musique dans le collimateur, et dégoûté les bistrots, pourchassés par les cow-boys du commissariat. Bravo. Jouer de la musique en tant qu'amateur comme moi à Lisieux va devenir compliqué. Alors que je rappelle qu'avec 25000€ par an on peut financer un concert sympa par semaine en rotation dans les gargotes. Un truc qui prouve que OCHAPITO ne recule devant rien : ils vendent des bombes de peinture "hardcore" vendues à des débiles psychopathes qui décorent les propriétés des autres, et ça coûte des millions d'€ à la SNCF par exemple. Des petits canaillous je vous dis.
LE DÉSASTRE FINÂÂÂL
Bouffi-Bouffon, un vrai lèche cul, n'a fait qu'un "petit tour". Il est en effet LE gros responsables de la paralysie du centre ville et de l'impact sur les chiffres d'affaires des commerçants à qui cette verrue a été imposée sans concertation.
MAJ du 08.10.2017 : J'ai un peu de la peine pour l'organisateur et ses "bénévoles" achevés hier soir par une de ces pluies Normandes bien froide et bien mouillante. A la grosse 500 personnes et deux fois moins de parapluies. Mais cette Bérézina était plus que prévisible. Il se trouve que Lisieux compte quelques entreprises spécialisées dans la publicité et l'événementiel. Si Frédéric MOTTÉ avait pris conseil avant de s'engager dans une aventure qui va se terminer par un gouffre financier, il n'en serait pas là. Au risque de se répéter, organiser de but en blanc un festival sur quatre jours avec cinq heures de concert à rester debout dans la tourmente agrémentée de décibels, en plein mois d'octobre sur une place en bitume était une folie. S'ajoutaient les contraintes du plan Vigipirate qui consiste en gros à soumettre les victimes potentielles que nous sommes tous à d'humiliantes fouilles (c'est fini pour moi, je ne me ferai plus fouiller pour assister à une manifestation) alors que les agresseurs stigmatisés se baladent impunément dans la nature. Preuve que c'est débile, je suis rentré avec mon Opinel, une arme solide, redoutable, munie d'une lame d'acier au carbone soigneusement aiguisée. On voyait la scène depuis l'extérieur, pourquoi payer 50€ pour rester debout pendant 20 heures ? Bon, je me suis un peu trompé sur les risques d'émeutes en centre ville, mais il faut dire qu'il y avait finalement plus de flics que de zombies. Et puis Lisieux est une ville pauvre, c'est un trou perdu qui n'intéresse pas les pillards. Les gogols de la mairie sont nuls en matière de communication, on l'a vu avec les soldes d'été, puis le stationnement, et là avec ce festival où tout le monde a été pris par surprise et mis devant le fait accompli (pareil que pour le fermeture de l'Avenue Victor Hugo l'an dernier avec le bouillon du rassemblement de motards organisé par la boulangerie Doucet au détriment de ses voisins). Le roitelet en tant que maire, sa brosse en tant qu'adjoint à la culture, le Bouffi-Bouffon en tant qu'adjoint au commerce, mais j'en oublie sûrement dans mes prières, sont lourdement co-responsables de cette catastrophe. Ils auraient dû maîtriser les délires du camarade Frédéric, la grenouille qui voulait se faire plus gros que le boeuf. Mais sait il seulement qui était Jean de la Fontaine, avec les tarés de pédagogistes et la Najat ? La municipalité et ses conseillers municipaux très obéissants est mouillée jusqu'au cou dans cette déconfiture : 10000€ ont été votés et versés à l'organisateur. Ces faux culs savaient forcément dès avant le premier soir et son public miteux que c'était pas ça côté réservations. Alors que d'habitude les courtisans et les courtisanes ne tarissent pas d'éloges sur les réseaux sociaux avec photos à l'appui, on a préféré la boucler, fuir, se planquer c'est pas moi c'est les autres. Et de se réfugier pour montrer sa bobine, maquillée ou pas, au salon du mariage de Johnny be Bad qui soit dit en passant a connu son petit succès. On a rangé le slogan de "Ville qui bouge" comme un CGTiste qui enroule son drapeau rouge pour le coup d'après, le grand soir n'étant plus d'actualité. Plusieurs milliers de riverains et d'habitants de la ville (cela s'entendait jusque HOTVIL) ont subit le boucan pendant quatre jours d'affilée jusque deux heures du matin, alors que les zélus dormaient au loin tranquillement dans leur couettes (sauf quand maman ronfle). Toutes les activités du centre ville ont été perturbées, des centaines de femmes*** ont été obligées de cavaler pour amener les gosses aux deux écoles enclavées (Jean Macé et Caroline Duchemin), puis de galérer pour trouver une place au Diable Vauvert, puis de courir jusqu'au boulot. Quel mépris pour ceux qui travaillent ! L'exemple vient certes d'en haut avec les "fouteur de bordel". Maintenant place aux règlements de comptes au sens propre comme au sens figuré. Car financièrement, c'est forcément la banqueroute, l'organisateur tablait sur 7000 spectateurs par jour, c'est le dixième. Il y a de l'ardoise dans l'air. Et une ardoise plus c'est lourd et ça tombe de haut, plus ça fait mal. Il est évidemment hors de question que Nanard sauve la tronche à la famille MOTTÉ comme avec d'autres (cf les opérations Gascouin, Muideblé, Lehain etc...). A moins qu'il y ait une ruine à vendre pour faire un x-ième parking payant. A suivre... ***Les papas poule aussi, mais 80% des emplois en ville sont tenus par des femmes.
Un public clairsemé. Avec les vidéos, difficile de tricher
C'EST LE BOXON !
En se décalant vers l'école Jean Macé, le tiers de la place aurait suffit. A gauche le chapiteau bleu des tarés du Boum-Boum techno.
MAJ du 05.10.2017 : Telle est la réflexion d'une dame un peu agacée par les embouteillages rue des Artisans. Je me suis pointé vers 17h pour assister au bordel, comme dirait notre très vulgaire Macron, ennemi de classe des ouvriers. Il se dit que Bouffi-Bouffon a été expédié pour calmer le boss de Monoprix, un peu furax, on le comprend. Les petites souris sont évidemment sur le coup. Le budget serait de l'ordre de 400000€. Avec les faux frais 450000€. Il faut au minimum 18000 spectateurs payant pour amortir. A rapprocher des 7000/jours annoncés. Hier soir, il y avait tout juste 400 personnes et c'était gratos et autour des rues désertes. Vu les commentaires de personnes généralement bien informées, ça craint. Le déploiement de flicaille et de vigiles privés était impressionnant (ça se paye). La maison poulaga était de sortie et s'est fait abondamment bizoutée par notre chère ondulatrice du valseur. Anecdotes : pour rentrer, un premier filtrage pour les... sacs à main des filles. Vous savez, les victimes comme à Marseille des djihadistes qui eux, n'ont pas de sac, mais un couteau spécial Coran dans leur poche. Comme dans un sac de fille il y a plein de trucs inutiles et parfois croquignolets, les cerbères ont dû se rincer l'oeil. Ca peut toujours servir de connaître le parfum préférée de la pépée occidentale, voire constater la présence de préservatifs, signe évident qu'on a affaire à une chaudasse de base. Après, il y a deux queues. Une pour les filles et l'autre pour les garçons (supposé.e.s). Un farceur a lancé : "et les pédés, c'est où". Normal, il faut se mettre à la place d'une tafiote : se faire palper par une gonzesse, hors de question, et par un hétéro sévèrement burné de préférence, ça peut émoustiller. Arrive mon tour. Je fais du jardin bio, et comme tous les paysans "de la campagne", j'ai toujours un Opinel sur moi, qui peut éventuellement servir à autre chose qu'à couper du persil. Avant palpation du citoyen au dessus de tout soupçons, je vide mes poches et pose tranquillement le tout sur la table, Opinel y inclus. Je passe le portique, et bien qu'ayant une prothèse métallique à la couille gauche, le bazar ne sonne pas. Bref, je suis rentré dans l'enceinte avec une arme blanche, bien aiguisée. Et ma couille intacte. Petit tour du lieu. Les stands des copains, et plusieurs gérés par OCHAPITO. Comme je l'avais pressenti, c'est tout pour ma gueule et rien pour les autres. Une grande tente réservée aux VIP, les sponsors, la haute pétée comme dit un beauf. Le ticket d'entrée serait de 4000€, ça m'étonne un peu, et s'il y a des couillons pour raquer pourquoi pas. Dans le chapiteau de la techno, un débile dodelinait de la tête. Sur la petite scène, FAKE faisait ce qu'il pouvait, ils sont sympas, mais n'ont pas encore compris que personne ne comprenait leur yaourt assaisonné à la voix de fausset. Je me suis tiré, et est allé prendre un verre au bar du coin pour consoler le taulier. Bon courage aux riverains, quatre jours sans dormir avant trois heures du matin. Ce qui fait dire à des cyniques, qu'un plantage financier serait le bienvenu. Et puis, comme à la mairie, ils passent leur temps à piller les animations initiées par les autres (cf l'animation soldes du mois de juin de CAP LISIEUX), éliminer financièrement l'initiateur permet de récupérer le bébé sans bourse délier. Ils ont bien essayé avec la brocante. Machiavélique non ? Y aurait il des suppôts de Satan dans la boutique au roitelet ?
UNE "ZONE INTERDITE" UNE SEMAINE
MAJ du 01.10.2017 : J'ai posté le texte et le plan sur facebook, même les trolls les plus acharnés se sont écrasés. J'ai écouté un peu quelques artistes, pas vraiment convaincu. Manu Di Bango on connaît par coeur. A suivre. Autre souci : les festivaliers "off". Comme à Coutances ou ailleurs sans doute, ce genre de manifestation attire une "faune" bigarrée, qui occupe la périphérie du site, par atavisme grégaire, pour profiter de la musique, avec des munitions, dont les dangereuses canettes de bière en verre. C'est déjà le cas pour les concerts d'été, où nos ivrognes Lexoviens viennent en bandes pour finir par se battre, alors là on va avoir droit à toute la caillera de la région, qui va se répandre dans les rues habituellement si calmes la nuit. Elle aura sous la main tout ce qu'il faut pour casser les vitrines, qui ne résistent pas à des barrières Vauban utilisées comme bélier. Or, hier, il y en avait partout en ville. Pour en rajouter une couche, le dimanche 8 a lieu sur la place Mitterrand un rassemblement de voitures anciennes. L'apothéose aura lieu le samedi 7, où le marché sera déplacé autour de l'Espace Victor Hugo. C'est une fourberie de plus, que de se servir du prétexte du festival pour le déplacer, pour nous habituer ? Car en effet, le plan machiavélique du roitelet est bel et bien de transférer ce marché sans doute millénaire pour faire la place au multiplex. Vous avez dit comment ? Vous allez dire que je suis mauvaise langue : comme le précise l'organisateur ce festival est organisé en collaboration avec la mairie, et le montage du dossier a démarré au moins en mai dernier. La municipalité vient de voter la subvention. Le site de la mairie est muet, la rubrique "sortir" s'arrête à juin et est en panne. On sait depuis le dimanche des soldes que Bouffi Bouffon a complètement foiré, et la mise en place du plan de stationnement, que ce sont des brêles en matière de communication, mais alors là ça dépasse tout. Zut Françoise Athénaïs va sortir son martinet.
MAJ du 30.09.2017 : Bon, je suis musicien, j'aime bien aller voir et complimenter mes petits camarades (mot gender féminin masculin), sauf ceux qui cassent les oreilles (cf la Double Croche en déconfiture à cause de ça) et qui chantent faux (pas de noms pour pas fâcher). Le festival OCHAPITO, organisé par OCHAPITO EVENEMENTS (association référencée au greffe) président Frédéric MOTTÉ, était sympa, sur deux jours, gratos, et les artistes locaux un peu retaillés y venaient pour la gloire ou pas cher. Bonne ambiance, quelques épaves un peu allumées par le cannabis ou des mélanges improbables à base de codéine, la défonce à la mode, les vieux c'était à la bibine ou carrément au pinard, mais globalement c'était cool. La bande de nazes du roitelet, qui, soit dit en passant a foiré les concerts de cet été, a détecté la bonne poire. Pour la gloriole et sans doute un peu de mégalo (on connaît l'individu depuis son passage éclair à CAP LISIEUX), le camarade MOTTÉ s'est s'engagé dans une opération risquée financièrement (qui va payer l'ardoise finâââle ?). Les faux culs de la mairie ont donné le coup de pouce, qui a consisté à paralyser la totalité du centre ville pendant une semaine, tout en mégotant les doigts crochus sur les cordons de la bourse du contribuable, avec une subvention de misère de 10000€. Le problème avec de la fréquentation d'une manifestation, est qu'il faut y aller avec prudence, progressivement, tout en étant innovant et performant côté "marketing". Ce fut le cas de la brocante de novembre CAP LISIEUX, qui, sous la houlette de Thierry WELSCH, réunit maintenant 900 exposants, un monstre qui fait référence. Ce sont ajoutées pour les organisateurs des contraintes de sécurité débiles face à l'imprévoyance de l'Etat vis à vis de "cepaçalislam". Donc OCHAPITO passe de deux jours avec la rue de la Résistance et la place attenante fermées, raisonnable, à UNE SEMAINE (à partir de ce soir (samedi 30) jusque dimanche prochain) sur TOUTE la place de la République et pour bien faire chier le monde, la plupart des rues attenantes. Le plan est accablant. A noter que ces empapahoutés (la mairie et OCHAPITO EVENEMENTS), ont soigneusement évité de publier dans la presse et sur leurs sites internet le plan ci-dessus, et c'est un commerçant qui se gare rue des artisans qui l'a découvert sur la porte des immeubles ce matin (samedi 30). J'ai eu confirmation devant témoins qu'aucun des commerçants concernés n'a eu connaissance de ce plan par la mairie ou OCHAPITO. Ce n'est pas la première fois que Frédéric MOTTÉ joue le passage en force et la mise devant le fait accompli : les problèmes de ses grosses copines les SOEURS PINARD, où il traîne souvent (est il actionnaire ?), avec leurs voisins, pour cause de tapage nocturne musical sont là pour le prouver. C'est pas comme ça qu'on procède avec les autres, camarade non musicos. Au lieu de se contenter d'un espace fermé pour une première à 1/3 de la place de la la République, c'est la totalité qui va être utilisée. Pour les riverains, outre le fait qu'ils sont priés de dégager pour leur véhicule, le bordel va commencer à 18h pour se terminer à 3 heures du matin, voire plus, le Captagon et autres substances illicites, ça stimule. Et puis il faut bien emmener la viande saoule aux urgences. Ceci quatre jours de suite. Les travailleuses-travailleurs sans dents qui se lèvent tôt vont apprécier. Il vont même réussir à réveiller les poulets de permanence au commissariat. Je suis allé deux fois au festival "Jazz sous les Pommiers" à Coutances. On est loin de la "musique actuelle", métissée, plutôt pas "blanche", voire "croisée" si j'ose dire. Malgré la branchouillardise du Jâââzz, dans la foule, il y a deux ethnies. Les gens "normaux", et la faune, les zombies, les chtarbés, les crasseux, les camés, les alcoolos, les punks à chiens et autres nazebroques. Pour les voir, il faut aller autour de la cathédrale millénaire, on se croirait dans une ville du tiers monde, on se vautre dans le vomi et les déchets. Ce phénomène s'est produit à Lisieux cet été. Il est totalement débile de faire deux concerts de suite, car la coupure après le premier groupe, c'est une demi-heure. Donc le deuxième concert démarre à 23h. Là ça craint, témoignages de riverains à l'appui. Rixes garanties. Pas un mot dans les feuilles de choux de la rédaction unique ça va de soi. Le Frédéric MOTTÉ, dans son délire, avait prévu un "after" au Parc des Expositions, avec la viande saoule ou camée, histoire de ramener le calme en centre ville ? La Préfecture (?) aurait dit niet, car le camping prévu pour les "festivaliers" underground crados style no-border, est situé de l'autre côté de la RN13, sur des terrains occupés illégalement parfois par les manouches, grands spécialistes du démontage des installations électriques et un peu chapardeurs de briques à 1€ pièce. Il faut en effet traverser la RN13, et défoncé, c'est un peu comme se balader en trottinette sur "sniper avenue" à Sarajevo. Malheur au péquin propre sur lui, bon Français de souche casier judiciaire vierge, alcoolémie zéro, qui dégomme un taré qui s'écroule devant son véhicule. Résultat, les "fêtards" genre Ibiza ou Mykonos, vont terminer la nuit... place de la République, avec la sono à donf des petits boutonneux de pillards de la musique des autres qui se prennent pour David Guetta avec leurs platines BSR pouravs (ils appellent cela de la techno). Précision, à part pour ceux qui vont acheter le pass à 50€, c'est sortie définitive, et donc pas de retombées pour les commerçants hors enceinte. Je te dis pas le dispositif de police privée qu'il faut pour dissuader les resquilleurs à passer par dessus les barrières, les tagueurs de matériel SNCF y arrivent. Cela a un coût, on va dire minimum 15000€ par jour. Bref, alors que certains commerçants se plaignent déjà de baisses de 15 à 30% avec le plan de stationnement à la con, la semaine prochaine sera blanche pour tout le monde, pour faire fuir la ménagère de plus de 20 ans, rien de tel. Reste une grosse inconnue : le budget de ce foutoir. Ils sont manifestement partis pour un public de 7000 clampins par jour. Inatteignable en plein mois d'octobre, sans chapiteau, à rester debout de 19h à minuit, pour une première. Les jeunes ça va, mais les petits vieux à qui Macron n'a pas encore piqué 1000€ par an, c'est niet. Sur le site de la manifestation, c'est le flou artistique total, pas de plan, pas d'emplacement des stands et des scènes, c'est pas très commercial si vous voulez mon avis de professionnel depuis 36 ans. Ce qui est certain par contre, c'est que les commerçants vendeurs de graillon, de bibine et de rouquin présents (dont le camarade marchand de pinard pas Auvergnat Valéry TOUZÉ), vont faire du bizness sur le dos des autres commerces de la ville. Rendez-vous au tribunal d'Instance pour l'ardoise ? Merde, ils vont m'empêcher de rentrer comme le vaincu de la Double Croche.
Frédéric MOTTÉ, pour le reconnaître si vous avez des choses à lui dire. Tél 06.08.54.88.40
|
|