Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps

 

        

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LA PERCÉE DE SEDAN

 

 

MISE À JOUR DU 18.03.2024

 

 

Cette page est classée en ordre chronologique inverse

 

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 05.05.2023 : Cette image satellite prouve qu'il y avait bien quarante places (je les avais comptées) entre le bâtiment de la sécu (toit gris en haut à droite) et la sortie de la rue Degrenne en bas à gauche. C'était pas du tout anarchique. Les propos tenus par le maire en conseil municipal (et rapportés par OUEST FRANCE) sont bien mensongers : "les travaux permettent de réorganiser, mais on ne supprime pas de places". A cela, il faut ajouter les places supprimées autour de la passerelle quai des remparts et les voitures des riverains "mises à la rue" des garages "Jonquart" (entrée place Le Hennuyer), soit 43 remplacés par un immeuble de 17 appartements, qui devra avoir 17 garages sur son terrain. 

Il ne reste donc effectivement que 20 places (les travaux sont à peu près conformes aux plans).

Vu le désastre à 4M€, 44 riverains auraient pleuré la misère dans le gilet du bellâtre, qui leur a accordé très électoralement des abonnements gratuits au détriment de ceux qui payent. Comme le stationnement est gratuit du samedi 12h au lundi 14h, le week end les parkings de la rue Henry Chéron sont pleins, c'est pas bon pour le petit commerce.

En perspective une extension du stationnement payant dans tout le quartier y compris quai des remparts, tout ça pour vingt glandus par jour qui viennent faire pisser Mirza, et qui ne passent plus devant les commerces du bout de la rue Chéron. Quant aux travailleuses-travailleurs c'est marche à pieds depuis le Bd Pasteur (le parking du gaz est saturé), jusqu'au jour où les patrons vont évacuer ailleurs et les commerces fermés..

BFPTG :"Bien fait pour ta gueule".

 

Les places à gauche sont supprimées depuis la maison des syndicats, y compris devant le médecin qui soigne des handicapés

 

 

PLACE DE LA RÉPUBLIQUE + PERCÉE

 

150 places de parking supprimées

 

 

Cliquer sur l'image pour lire le dossier complet. Merci de vos remarques : echo.joli@wanadoo.fr 

 

MISE A JOUR DU 29.11.2022 : Il a fallu insister pour obtenir ce document, présenté lors de la réunion d'information en présence d'une centaine de personnes, alors que les habitants de l'agglo au grand complet (70000) sont concernés par ce désastre.

Pas un mot dans la presse aux ordres, forcément, il vaut mieux pas que commerçants, riverains et clients soient au parfum du carnage que va entraîner la suppression de 150 places (environ) dans le "carré d'or". Ils nous disent qu'il y a 10 à 15% de places libres, c'est un mensonge, ce matin j'ai tourné en rond autour de l'espace Victor Hugo et ai fini par me garer sur la place livraison et supplier les ASVP de ne pas me coller encore une fois une prune comme un matin cours Matignon, où ma brouette était quasiment seule. Raz le bol.

Contrairement à un entretien avant l'élection municipale, où il a été envisagé de modifier les projets "liaison" et "place de la République", suite à l'éjection du MULTIPLEX, le plan est quasiment le même que celui présenté il y a deux ou trois ans à la réunion ayant eu lieu à l'école Jean Macé avec le cabinet Lavergne et ses bobos, dont un certain Régis, manifestement classé #potasebastien.

On se demande même si le cas ne s'est pas aggravé comme pour la place du Gal de Gaulle où les premières esquisses montraient une vingtaine de place, alors qu'il n'y en a plus... qu'une, devant le boucher. Certes trois autres véhicules stationnent derrière le Crédit du Nord, mais sur le trottoir et sont donc en infraction permanente. Ils foutent quoi nos perdreaux à plumes bleues municipaux et les ASVP. Comment ça, c'est des charrettes de  #proufiassasebastien ?

Bonne lecture.

 

MISE A JOUR DU 03.10.2022 :  Comme toujours il faut se rendre sur le terrain. La place CHÉRON comporte actuellement 40 places, il n'en restera plus que 20, merci pour les riverains et les travailleurs travailleuses qui n'ont pas les moyens de se payer un abonnement. Sans compter que le risque n'est pas négligeable de voir le fou furieux grignoteur de places de parking les supprimer pour "bien faire chier le monde". Rigolez pas, place de Gaulle il ne reste plus que trois places, et encore, c'est sur le trottoir gare aux prunes. Quant à la rue de la Résistance, c'est 10mn d'arrêt pipi, les papillons bleus vont voleter de pare-brise en pare-brise.

Ce sont des salauds ? oui madame !

 

MISE A JOUR DU 14.09.2022 :  Rappelons que la bande de débiles précédente avait racheté à prix d'or le bâtiment LEHAIN, un blockhaus sinistre invendable, pour soit disant créer des parkings, pour faire semblant de compenser le doublement des places payantes avec des prix multipliés par deux. Pas de bol, cela avait déstabilisé les immeubles alentours, qu'il a fallu étayer. Bref un désastre financier des brillants gestionnaires des deniers publics. Un grand merci au roitelet et à sa fine équipe.

Comme la nouvelle bande était partie sur des délires écolos avec "cheminements doux" avant de se prendre dans la tronche l'inflation et la pénurie, ils ont continué sur leur lancée pour pas passer pour des cons, mais c'est tout comme.

Le résultat des élucubrations du Phare de la Touques et des lèche-culs qui l'ont excité était couru d'avance : du bizounours baba cool écolo-boboïde et une bonne vingtaine de places gratuites supprimées pour les riverains, et on connaît les difficultés à trouver une place dans cette zone. Vont d'ailleurs s'ajouter les véhicules des garages rasés derrière la place Le Hennuyer (anciens garages "Joncard"), pour qu'un copain construise une résidence pour friqués.

Mais le problème principal auquel ces crétins n'ont pas pensé, c'est le boucan avec les joyeuses soirées alcoolisées voire plus que va permettre l'accès facile à la zone, et surtout de multiples possibilités de fuite quand les poulets voudront contrôler les racailles. 

Comme "four" (point de vente de drogue) c'est l'idéal, vu que le dealer court plus vite que la maréchaussée engoncée dans son gilet pare-balle, et les multiples possibilités de planquer la chnouf dans les buissons.

La piste ainsi constituée va voir trottinettes et motos de cross en weeling slalomer entre les berceaux et les fauteuils roulants.

Et si le dilapideur du château est contraint de fermer la lumière et sa grande gueule par la même occasion, ça va être carrément un coupe-gorge, un chemin de croix féminicide où il ne fera pas bon de se baguenauder en crop-top et fringues raz la moule.

 

 Les terrasses des beuveries.

 

Il ne reste plus que 20 places (alors qu'il y en avait 40), ça va être très chaud pour les riverains et les travailleurs travailleuses.

 

Gros étais très moches.