Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps.
Personne ne lit cette feuille, sauf que tout le monde est au courant.
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ÉCONOMIE ET COMMERCE
MISE À JOUR DU 21.05.2021 Voir les deux dossiers en onglets à gauche
Sans le tee-shirt bleu cela aurait été mieux. Non les gauchiasses, pas frapper.
MISE A JOUR DU 30.04.2021 : La ville recherche un x-ième Manager du Commerce, après en avoir viré deux, des dames, éconduites par des mufles. Le problème est que ce sont des "zélus" qui n'ont pas d'expérience ou si peu dans le commerce de centre ville qui prennent systématiquement des décisions "à la con", en particulier en matière de stationnement. Va faire comprendre à ces crétins le vieil adage "no parking, no business". Ils s'acharnent systématiquement sur les places de stationnement pour pouvoir se faire passer pour des écolos avec leur gueule enfarinée. La municipalité précédente était même allée jusqu'à subventionner à fonds perdus une association bidon (rappel la roue 30000€), qui n'a rien trouvé de mieux que d'accepter des grosses surfiasses pour se faire de la thune. Il est évident que ces requins tirent les couvertures à eux, et guignent sur les chèques cadeaux en cours de mise en place avec la CCI par CAP LISIEUX. Dont le président a été convoqué pour tenter de lui vendre une fusion. C'est niet, car c'est introduire les chacals de la grande distribution dans la bergerie. Dans ces conditions embaucher un "manager" c'est jeter le pognon du contribuable par la fenêtre. Il faut quand même rappeler que le roitelet avait interdit à son personnel de rendre visite aux commerçants. A dégager, avec son Multiplex. Rappelons que les travaux vont avoir lieu rue de la Résistance, le projet d'origine était déjà complètement naze, les parents d'élèves du Bon Pasteur étant priés de se garer sur la zone rouge de la Médiathèque, qui selon les bruits qui courent pourrait recevoir des aménagements, jeux de boules, circuits pour fauteuils roulants, skate-park avec boucan accessible aux déamlbulateurs etc... Des dingues je vous dit.
ENCORE 89999€ FOUTUS
PAR LA FENÊTRE
MAJ du 02.10.2019 : C'est la panique au château car ça va mal dans le petit commerce et notre Bouffi-Bouffon rêve toutes les nuits de Guillotine, la veuve à la lame affûtée pourrait se déclencher avant même de figurer sur la liste de l'empêché de se présenter pour cause de casier. Il n' a pas que ça, on se demande ce que fabrique la "manager du commerce" puisque finalement le cabinet va faire son boulot. Ca fait cher du placard. Pour couronner le tout, ils viennent d'embaucher un dénommé Pierre Delarue, pour s'occuper "d'animation commerciale". Bon, c'est un pro qui avait organisé le dernier salon de l'habitat, et n'avait peut être pas prévu d'être embauché aussi vite. Côté organisation, Cap Lisieux se pastille la Brocante de novembre et le jeu de Noël après s'être fait virer du marché de Noël, ça va comme ça. Cette embauche surprise entérine peut être le pataugeage magistral de l'association à la botte de la mairie, qu'il faut à tout prix sauver du naufrage après le désastre de la roue à 30000€ (3000 passagers à tout casser, subvention 10€ par glandu) et 15000€ de subventions dilapidés dans animations bidonnées.
LA GALERIE N' ÉPATE PLUS
MAJ du 02.09.2019 : C'est la fin pour la Galerie des Mathurins, puisque la présidente de l'association aux ordres qui a touché 15000€ de subvention et coûté 30000€ pour le coup complètement raté de la fameuse roue de la guigne, et l'écureuil de la Caisse d'Epargne qui n'a plus de noisettes, dégagent. Il faut dire qu'elle nous avoue -30% de chiffre d'affaire. Direction les anciens locaux de Darty. Bon, maintenant le reste va suivre, à mon avis les jours du MONOPRIX sont comptés.
Pas un chat, c'est normal, faire payer dans cette ville pauvre, c'est le bide assuré. De l'art de jeter les subventions du contribuable par la fenêtre.
LES FOSSOYEURS
MAJ du 27.04.2019 : Le problème avec les gros mensonges étalés complaisamment dans les trois feuilles locales de la "Rédaction Unique" (Ouest, Eveil, Pays d'Auge), sur une page complète, c'est qu'il faut être précis pour les démonter. Reconnaissons toutefois que CAP LISIEUX a pu répondre avec le même volume. Que nous dit notre Bouffi-Bouffon : -- Que le recensement des pas de porte vides effectué par deux personnes de CAP LISIEUX au dessus de tous soupçons, qui se sont déplacés physiquement sur le terrain, est inexact. Peut être, mais la réalité est sûrement pire. Il y a bien 113 magasins vides. L'ECHO JOLI en détient une liste, et l'a transmise à qui de droit, le service municipal n'a plus qu'à aller vérifier. A moins qu'il soit interdit au personnel de le faire, voire de visiter les commerçants, comme ce fut le cas avec le précédent manager de centre ville, un comble. En plus, le service concerné doit tenir à jour ses fichiers, est ce le cas ? J'en doute. Pourtant c'est leur boulot, le contribuable raque pour cela. A sa disposition pour publier. Pas de bol, il existe des statistiques assez précises : http://www.journaldunet.com/management/ville/lisieux/ville-14366/entreprises Accablant et vérifiable, et encore les zones extérieures sont comprises. Notre bonimenteur nous dit que seuls 8% des commerces sont fermés. Donc (113 : 8) x 100 = 1412. Ca colle pas et de loin. Dans les services aux particuliers on peut considérer qu'il y en a la moitié qui n'ont pas de local commercial (auto-entrepreneurs), soit 220 + 210 commerces. Soit à la grosse 400 locaux commerciaux. Si 113 sont disponibles, le taux est de d'environ 20%, mais sans doute supérieur, car ça dézingue chez les grosses surfiasses, attaquées par la vente à distance (ex-VPC, mon métier depuis 37 ans, je connais la musique). L'état ci-dessous date de 2017. Les ravages du plan de racket des automobilistes, délestés d'1M€ sont passés par là, par la suite, et le cas s'est aggravé, avec la bénédiction de Darty qui a évacué la ville fantôme à temps. Tout ça à cause d'un abruti qui n'a jamais voulu créer deux places minutes pour que les clients de Darty puissent venir chercher les objets encombrants. Maintenant, dans la zone, il suffit de se garer en marche arrière pour que l'aimable personnel vous charge votre voiture. L'effet dominos joue à plein, le prochain désastre, c'est la galerie des Mathurins, condamnée à mort. La cheftaine des Vitrines de Lisieux aurait d'ailleurs courageusement et solidairement donné son congé pour aller dans une des cellules de l'ex-Darty. Sans soute pour lui donner un coup de main, cette association a reçu 30000€ pour une animation roue qui ne tournait pas, plus 15000€ de subvention 2019, soit 45000€ pour 23 participants à Pâques en Couleurs, soit une subvention directe interdite de 1956€ par commerce à la botte de la mairie. C'est le prix pour fermer sa gueule sur le stationnement jusqu'à en crever.
MAJ du 25.04.2019 : Posant fièrement dans une rue totalement déserte -- erreur de casting--, très content de lui, le petit soldat du roitelet essaye désespérément de colmater les brèches, et de faire croire que tout va bien dans le meilleur des mondes. Ce n'est pas sans arrière pensée, dans le sens où sa page facebook indique clairement qu'il se verrait bien calife à la place de l'autocrate, carrément tête de liste. Plus c'est gros plus ça passe. Vu l'échec patent, dire "J’ai fait tout ce qui est en mon pouvoir pour défendre le commerce à Lisieux", au passé, est un beau lapsus, il eût été plus intelligent de parler au futur. Alors qu'il reste encore huit mois de travaux pour l'avenue Victor Hugo, avec ventouses, vu que les horodateurs sont démontés, il n'a plus de cartouches. Ca va donc empirer. Car les 100 places qui manquent vont décaler les problèmes sur d'autres commerces, d'autant plus que ses copains d'une autre agence, Mer et Campagne, auraient tendance à stationner d'après certains témoignages (qui ont pris des clichés irréfutables), en zone rouge avec des abonnements en zone orange. Pas bien. Si ce que j'avance n'est pas vrai on le saura d'une manière ou d'une autre. Pas de bol pour notre menteur comme un agent immobilier, métier pire qu'arracheur de dents, il prétend que le décompte effectué des commerces Lexoviens fermés est faux, alors que votre journal préféré en détient la liste. Ce sont donc 110 pas de portes fermés en centre ville.
PLUS DE 100 PAS DE PORTES LIBRES !
MAJ du 14.03.2019 : Les conséquences de la politique de stationnement débile sont maintenant clairement visibles, les commerces les plus fragiles ferment ou ne trouvent pas de repreneurs. CAP LISIEUX a fait le tour (il y a probablement des oublis), on en trouve 104. Le cas s'est donc considérablement aggravé par rapport au décompte effectué jadis par Johnny Be Bad. Réunion MARDI 26 à 20h30 à la Mosaïc. Merci au Pays d'Auge d'avoir passé cet article.
DOSSIER CDAC AC166 : AU TAS !
MAJ du 26.09.2018 : La Flèche (le renégat Philippe Vacher), dans son numéro de brosse à reluire, doublé de léchage de bottes chaussant des pieds d'argiles, a cité des dossiers qui sont passés malgré des oppositions légitimes, tout en oubliant des échecs cuisants : l'Ellipse et le Crématorium entre autres, ce que je lui ai rappelé à haute et intelligible voix. Le dossier pourri AC166 va suivre au classement vertical. Voici en effet ce que nous dit Serge Tougard :
"Un triple mot sur la CDAC :
LE COUP TORDU DU DOSSIER CDAC AC166
MAJ du 17.09.2018 : Il y a les lettres de pleurnicheries au député Leclerc, où on verse des larmes de crocodile sur les champignons qui poussent partout dans les zones commerciales extérieures, et la réalité. Du temps de l'obligation de passer en CDAC au dessus de 300m2, une bonne astuce consistait à ouvrir un magasin de luminaires, en sachant pertinemment que ce n'était pas viable, s'ensuivait un dépôt de bilan, crapuleux puisque prévu d'avance. Le stock partait ailleurs pour recommencer le cycle. Le magasin pouvait alors être racheté, ni vu ni connu, sans aucun contrôle. Il y a un exemple célèbre à Lisieux, un magasin de fringues chinoises. Même pas besoin de repeindre : les couleurs du magasin de luminaires étaient par miracle la bonne ! Pour le coup tordu AC 166, c'est plus subtil. La boîte en tôle fait 1750m2, mais au départ était prévue pour trois magasins (LEVY, BARBOT, LAINE), dossier AC158, ça passe mieux. Cette dent creuse entre Leclerc et Distri Center devait recevoir des équipements de la personne, c'est vague, et de toutes façons en concurrence avec les nombreux magasins de marques en ville. Voici les votes des grands défenseurs du commerce en ville (précision, le "Petit Père Gallet" représentait le roitelet, c'est bien lui et pas les autres) :
L'astuce est donc de présenter un projet de copains comme coquins "raisonnable" pouvant être accepté, c'est le cas, et ensuite de prétexter que les conditions ont changé, et que finalement, ce sera un seul magasin de 1750 m2, pour une enseigne... venant du centre ville. Avec l'avantage d'avoir été accepté au préalable. L'entourloupe est remarquable. Donc le dossier devient AC166 et doit repasser en commission le 28 septembre. Avec les même élus qui vont se coucher une deuxième fois. En plus, on ne sait même de quelle enseigne il s'agit. Arrêtez de mentir les gars, ça va finir par se voir.
COMMERCE, LES M2 PLEUVENT
MAJ du 20.08.2018 : Ah la lettre au député ou comment botter en touche et basculer la responsabilité sur l’autre ! Tout d’abord, une observation : L’Ellipse a été refusée mais réapparaît en ordre dispersé si l'on croit les dernières décisions 2017 / 2018 , 12 commerces ont été autorisés pour 10 165 m² d’espaces de vente. Immorente très grosse SCPI obtient 3 110 m² pour le parc de lisieux, 5 cellules ( darty coiff and co, gifi , générale optique plus un autre à venir ) 3 investisseurs locaux dont Monsieur Barbot ( les vans ) et Monsieur Lainé ( entreprise de revêtement Lainé à Courtonne les deux Eglises ) 1750 m² en 3 cellules de vente : 250m² 700m² 800m². Un investisseur de rouen Monsieur Philippe Couture 4450 m² 3 cellules 2500m² 1000m² 950 m² ( action, confo- dépôt plus un autre à venir ) Leclerc Monsieur Loysel 855 m² 1 cellule ( centre auto ) S’y ajoute l’ agrandissement de Jardiland de 1395 m². La lettre au député ne retient pas les surfaces au-delà de 1000 m² et se concentre sur les surfaces inférieures à 300 m² mais ignore les surfaces comprises entre 300 et 1000 m². Or, on s’ aperçoit que les autorisations sont données pour des surfaces globales supérieures à 1000m² et une fois divisées on trouve 855 m² 250 m² 700m² 800m², 950 m² en attendant les surfaces définitives d’ immorente où coiff and co et générale optique seront entre 300 et 1000m². Les effets ne se sentent pas encore mais une fois les ouvertures faites çela fera mal, avec le départ de la grosse locomotive du centre ville qu’est Darty. C’est faire trop d’honneur aux respectables boulangers pour dire que tous les maux viennent des 3 boulangeries ouvertes là haut. Cette lettre anticipe les dégâts à venir, sert de couverture pour dire par la suite : « c’ est pas moi je l’ avais dit, j’ ai alerté le député » Un peu faux cul quand même, foutage de gueule et compagnie. Notons qu’Immorente, le parc de lisieux communique sur 188 places de parkings gratuit … ! JC
TOTALEMENT GROTESQUE, QUOIQUE
MAJ du 13.08.2018 : La bafouille aussi pourrie que dégoulinante qu'a soit disant adressé le roitelet au bellâtre cachait bien quelque chose. Bon déjà, tout le monde se tient par les roustons, au moins ceux qui en ont. Le coup de l’Outlet de Honfleur qui finance un critérium qui vide le centre ville et oblige quasiment une bonne partie des commerçants à fermer n'était pas le fruit du hasard. Si on regarde bien on retrouve le département, la SHEMA (les Hauts de Glos) et la ville de Lisieux, bras dessus, bras dessous. Le département en restriction budgétaire, noyé par les mineurs isolés majeurs à 80% à 50000€ le bout par an, a demandé à l’Outlet de donner un coup de main. Il faut dire qu'il a investi 6M€ par le truchement de la SHEMA dans ce faux vrai magasin d'usine, un véritable massacre pour tous les commerçants du Pays d'Auge. Le député Leclerc administrateur de la SHEMA est aussi conseiller départemental. Et puis la SHEMA a une dette morale avec la ville de lisieux qui lui a sauvé la mise avec la vente des 25 hectares au pôle logistique de la SCA Normande, où a travaillé la suppléante du député, Nathalie Porte, également conseillère régionale. Elle même chérie du patron du centre Leclerc, amateur de grosses bagnoles, entre autres, qui vient d'obtenir un agrandissement de ses 14000m2 pour faire un centre auto et mieux couler les petits garagistes du centre ville. Tout se tient dans ce panier , les cocus, c’est les commerçants. Pas de bol, nous sommes encore un peu dans une démocratie, avant que les agents Marocains ne prennent le pouvoir à l'Elysée. On remarquera que la préfecture a soigneusement évité de citer le nom du projet, ce qui à mon avis devrait un peu chatouiller la déontologie du président du tribunal administratif, voire celle du procureur de la République Islamique de Francarabia. L'ECHO JOLI, insolent comme à son habitude, a posé la question. Si ils sont aussi rapides à répondre que Mr Le Procureur de Lisieux pour transmettre les pièces de l'affaire OCHAPITO, il passera au moins une canicule. Vu le flou artistique, est-ce une résurrection de l'Ellipse, un coup tordu dans le dossier faisandé de feu le Multiplex sur pilotis, ou une grosse magouille sur les 25 hectares de la SCA Normande aux Hauts de Glos ? A suivre, c'est bien parti.
MAJ du 11.08.2018 : La mesure phare "qui porte ses fruits" a sans doute été le plan de stationnement pourri pour bien couler un peu plus le centre ville. Certes, ils ont fait machine arrière avec un plan de stationnement qui sera mis en place, sauf coup tordu pour bien faire ch... le monde à la rentrée, à partir du 1er septembre. S'y sont ajoutés le sponsoring du critérium par un gros concurrent du commerce Lexovien : l'outlet de Honfleur, et l'accord donné à l'extension du centre Leclerc du grand copain Frédo cinq zéros pour un centre auto de 855m2. Quant au bellâtre de Livarot, il n'a pas voté avec son groupe LR la motion de censure, sans doute avec une arrière pensée de récupérer les voix LREM.
BOUFFI BOUFFON TIRE DANS
LES BÉQUILLES DU GROS BLAIREAU
MAJ du 18.11.2017 : Bouffi-Bouffon, avec ces travaux décidés par le Gros Blaireau qui en a rien à cirer de la populace, normal quand on a fait toute sa carrière comme garde-chiourme dans une usine de yaourts, a senti le bon coup pour se faire mousser. Comme les commerçants de la rue Henry Chéron protestaient à juste raison, sur facebook, qui est un avatar moderne du téléphone Arabe, sur la décision débile de réparer des trottoirs en plein mois de décembre pendant les achats de Noël, il est allé faire son rondouillard obséquieux, façon agent immobilier enjôleur pour ne pas dire bouffé aux asticots, auprès des victimes du meilleur grippe-sous aux doigts crochus du Pays d'Auge de l'équipe de Pieds Nickelés de la mairie, qui sont tous aux abris (pas moyen de chopper la Brosse et sa cour d'alcooliques au mastroquet des picratomanes branchouilles des Grands Chemins (ex-Rallye). Car il y en a quand même un qui était dans la mouise, c'est Prosper, le chéri de ces dames, proxo du secteur. Ses escaladeuses de braguettes se voyaient mal faire la retape pour des pipes à 20 boules au milieu des marteaux piqueurs et des dameuses, quoique les vibrations de ces engins diaboliques peuvent abréger la prestation, c'est bon pour l'abatage. Et puis, parmi les ch'ti nouvriers, il y a du clandos pas vraiment débarrassé de sa chtouille exotique par l'AME, sans compter qu'il reste quelques Frenchies "blancos" délocalisés de leurs pénates où les attend une maman éplorée. C'est des coups à se tordre la cheville vu les talons aiguilles et choper des pastilles Valda dans le tiroir. L'ignominieux roitelet, qui va se morfler une manif et une inspection des ronds de cuir de la DGCCRF, plus un savon du préfet, a donc désavoué son fidèle toutou aux travaux (responsable aussi du stationnement, un malheur n'arrive jamais seul), et a annoncé que le merdier s'arrêterait le 1er décembre. Mais Prosper se méfie, il suffit qu'il tombe un centimètre de neige pour que la belle mécanique prenne du retard. Un conseil mon pote, tu expédies à tes frais la Ludmilia (grande, blonde, aux yeux bleus, accent Russes ravissant) à la mairie. Si elle est un peu dégourdie, elle va se faire inviter au Dauphin au Breuil, aux frais du contribuable à ce qu'il se dit, c'est quand même normal qu'on raque pour les réunions de travail d'un porteur de Légion d'honneur dont les mérites ont consisté à perdre 5000 habitants depuis qu'il est maire. Après le dernier verre, c'est dans le canapé municipal. Pour garer la guinde, le trottoir de la mairie ou les zébras de la rue de Paradis font merveille. Ludmilia aura peut être la chance avant la première dame d'inaugurer le nouveau char municipal, une PIGEOT 3008 tout confort, Wi-fi, GPS pour pas se perdre dans les petits chemins de Rocques ou d'Hermival, voire d'Ouilly du Houley et son auberge accueillante. Il y en a quand même pour 24671.34€ HT, soit 29610.00€ TTC. Pour ce prix là, il y a un bar et un distributeur de préservatifs, j'espère. De toutes façons, plus personne ne peut se blairer dans ce Titanic en perdition, qui va couler dans la merde du sous sol de la place de la République.
LE GANG DES FOSSOYEURS
DU COMMERCE LEXOVIEN
EN REMET TROIS COUCHES
En plein moment où les commerces font 30% de leur chiffre d'affaire pour certains.
MAJ du 17.11.2017 : Décidément, ils s'acharnent : reconduction de l'aire de jeux sauvage qui paralyse le marché, rend la circulation et l'accès difficile à la place de la République, travaux devant les magasins de la rue Henry Chéron en plein pendant la période des achats de Noël, le Gros Blaireau vicelard qui "fait chier le monde" a encore frappé***, et cerise sur le gâteau, un stationnement gratuit annoncé (et retiré) sur la page facebook du l'insalubre du 18 décembre au 1er janvier. Ne manque plus que la fête foraine au tableau (les crétin.e.s de la com l'ont oubliée sur la plaquette Noël), il suffit de déplacer quelques manèges pour entraver un peu plus pour achever le sale boulot. C'est une catastrophe, car dès le matin les ventouses vont se précipiter et stationner toute la journée. Et dire qu'il y en a dans l'opposition inexistante qui trouvent ça bien, accompagnée par des journalistes complètement écervelé.e.s. Fous, c'est sûr, un peu #attentiondiffamation, c'est certain. ***Il semble que le vil ait mis des bémols, ce qui lui a valu des posts de #pétassessananard en pâmoison, voire plus.
LE GANG DES FOSSOYEURS
DU COMMERCE LEXOVIEN
EN REMET UNE COUCHE
MAJ du 13.11.2017 : Ils sont venus, Ils sont tous là, Dès qu'ils ont entendu ce cri, Elle va mourir, la mamma. En l'occurrence c'est le centre ville qui va crever.
AUBRIL, ARRÊTE DE
"FOUTRE LE BORDEL" 6
MAJ du 09.11.2017 : Finalement l'équipe de larbins de Macron BFM TV, qui est venue sans présenter ses lettres de créances ni lécher les pieds d'argile du roitelet, c'est écœurant, a fait un marché trottoir car Lisieux a voté comme au niveau national, et c'est exact. On est au moins sûr que la bande d'abrutis de retraités qui vont se morfler une CSG de 9.2 au lieu de 7.5% vont se mettre à chialer à partir du premier janvier. Vous faites chier les vieilles et les vieux, et les débiles fascinés par le beau gosse de la Brigitte, je suis dans le même navire à la dérive que vous. C'est présenté par les pourris du gouvernement, dont le Castaner, comme 1.7 POINTS en plus, mais en pourcentage c'est 23% de plus. Bon lors de la réunion de mardi, il semble que j'ai fini par convaincre que TOUT est manipulé pour chasser les véhicules de la place de la République et prouver ainsi qu'un Multiplex est possible.
MAJ du 06.11.2017 : Toujours dans l'optique de manipuler la population pour lui faire avaler des couleuvres, tous les prétextes sont bons pour faire croire que l'emplacement du Multiplex ne sert à rien, puisqu'il n'y a pratiquement plus de voitures. Utilisant le prétexte des travaux des SHADOCKS de FoudOuest, alors qu'il y avait largement la place pour ne pas déplacer le marché, ils ont obligé les forains et agriculteurs à se déplacer le long des arcades côté médiathèque, en bouchant la rue, au lieu de les regrouper au milieu et laisser le passage libre comme d'habitude. Résultat : 50 places vides au milieu du marché (même pas les véhicules des marchands), et un seul accès véritable, la rue des Mathurins, un véritable parcours d'obstacles, et pour stationner, c'est racket en zone zouge. Une équipe de BFM Télé (le surnom du clébard à Macron qui pisse sur les cheminées à l'Elysée) était présente. Le reportage pouvant m'échapper, merci de me le signaler. La question qui se pose est de savoir si cette équipe est venue de sa propre initiative, ou si elle a été convoquée pour être instrumentalisée ou pire participer à la manipulation par un reportage bidonné. Genre, faire semblant d'interroger plusieurs personnes et ne retenir que les propos du complice "pote à Nanard". Rigolez pas on connaît une pharmacienne qui n'en rate pas une dans le genre. Pour couronner le tout, le centre ville passe à 30Km/h, pour cause de déplacement doux. Comme d'hab, un mensonge : la vitesse moyenne en ville serait de 18.9Km/h. Ce chiffre est sans doute valable dans une ville encombrée. C'est faux à Lisieux, où on se déplace très facilement, les bouchons étant rares et limités au joyeux capharnaüm qui règne devant Gambier à certaines heures. Les petites rues du centre, à la rigueur, mais les boulevards de ceinture, franchement c'est pour "faire chier le monde". Les poulets vont se régaler, car en cas de contrôle on se fera tous gauler à 135€ moins un point. Vous avez dit racket ?
COUP DE POIGNARD DANS LE DOS
DU COMMERCE LEXOVIEN, LES
TRAÎTRES INAUGURENT L'OUTLET
MAJ du 10.11.2017 : Le monstrueux "magasin de marques" de Honfleur est ouvert. Chez les bobos de bas de gamme on dit Outlet. En fait, vu la liste des marques, je n'en connaissais pas une seule à part les bonbons chimiques de Haribo et autre marchands d'obésités. Tout est bidonné : fausses marques, soit disant des produits de l'an dernier et mon cul c'est du poulet, on force sur l'étiquette pour faire croire à un rabais de 30%. La Direction de la Concurrence ? décimée par Sarkozy. Les embobineurs s'en donnent à coeur joie pour délester le gogo de ses allocs payées par la classe moyenne, vu que le président des riches fait des cadeaux fiscaux aux copains de sa race, qui fourgonnent avec lui chez Bilderberg et compagnie. Il est évident que cette machine à plumer le péquin crédule va impacter en premier le commerce de centre ville Lexovien (40000 visiteurs ce week-end). L'agence de pub Apostrophe ne s'y est pas trompée : jaquette spéciale pour LE PAYS D'AUGE, articles de lèche cul dans la "PQ" régionale, affiches 4x3 sur des panneaux publicitaires auparavant désespérément vides, de quoi foutre le bourdon aux corbeaux qui volent sur le dos pour pas voir la misère. Quand les commerciaux de ces canards vendus au "gros capital" viendront solliciter des pubs, virez les. Et le logo d'Apostrophe c'est quoi : un éléphant qui trompe énormément, lapsus significatif ou foutage de gueule cynique ? Adresse à Lisieux : 11 ave du 6 juin. On rendra une visite d'amitié. Evidemment, pour l'inauguration, on invite les huiles à venir se pavaner. Le député du coin brillait par son absence et le roitelet à la légion de déshonneur n'a pas été invité. Il faut dire que depuis sa destitution par Jean Léonce (l'ami des frelons asiatiques), il compte pour de la pénurie de beurre. Mais tenez vous bien, et c'est le scandale, que dis je la forfaiture, l'imposture, trois des fossoyeurs du commerce Lexovien étaient présent : le bellâtre Sébastien Leclerc (dont ce n'est pas la circonscription, traître), Bouffi Bouffon (Emmanuel Thillaye, adjoint au commerce, fourbe, hypocrite et sournois) et Pin-pon (Serge Marie), qui a manifestement co-organisé le festival OCHAPITO, dont on connaît les ravages (c'est avec lui qu'avait rendez-vous l'organisateur pour faire le point du trou dans la caisse et imaginer les tours de passe-passe pour faire éponger l'ardoise par le contribuable). Pour ceux qui ne seraient pas convaincus qu'on a affaire à une véritable cabale border limite mafia : Sébastien Leclerc a pour suppléante Nathalie Porte, conseillère régionale désignée par le roitelet et l'ami des 150 fichés S de Hérouville, laquelle est épouse de Frédo cinq zéros, directeur du Leclerc, principal sponsor du festival au Chapito. Lequel Frédo, qu'un citoyen non averti peut confondre avec un élu, est super pote avec Bouffi-Bouffon et Pin-pon. Bouffi-Bouffon est également suppléant du roitelet pour le conseil départemental, et n'attend que la deuxième rupture du tronc pour prendre la place. Etc... Etc... Par pitié, foutez moi dehors ces faux culs s'ils viennent dans vos magasins. Et vous, les clients, un peu de solidarité, rien ne vous empêche de vous abstenir.
DARTY EST PARTI : ACCABLANT !
MAJ du 07.01 : Le bruit courait depuis longtemps chez les commerçants de la rue des Mathurins. Voir l'article de OUEST FRANCE lien ci-dessous :
Il est clair qu'un magasin atypique pour ce groupe, locomotive du centre ville, comporte des contraintes (surface, difficultés de livraison, difficultés de stationnement dans une rue qui autrefois comportait deux rangées de stationnement, réduites à une par une rangée de "roustons à Gilbert"°. Le dirigeant, au courant du délire LISIEUX 2025 et de l'amputation quasi totale du stationnement place de la République si le MULTIPLEX se fait (avec deux ans de fouilles avant), a pris les devants. Il est très clair : "le magasin a besoin de parkings pour l'enlèvement des marchandises pour sa clientèle". On ne peut être plus limpide. Pendant ce temps là, aux voeux, le petit chef du groupe majoritaire (je les mets tous dans le même sac), nous parle de "promenade", "tourisme" etc... Un malheur n'arrivant jamais seul, DARTY déménage aux Hauts de Glos dans un ensemble de cinq "cellules". C'est une sorte d'Ellipse au rabais. Ce projet est donc quasiment impossible à attaquer, car tous les garde-fous ont sauté, Ubérisation oblige. Ce n'est donc pas seulement DARTY qui s'en va, mais quatre autres magasins qui vont obligatoirement concurrencer les magasins du centre ville en profitant de la nombreuse clientèle de DARTY. Peut être même que ce sont d'autres enseignes du centre qui vont rejoindre leur petit camarade. La spirale de l'échec est enclenchée.
Cliquer sur l'image pour démarrer la vidéo. La bande des cinq a décidément du mal à faire respecter un minimum de propreté. Et dire qu'ils voulaient une police municipale.
15 ANS QU'ON RÉCLAME DES
EMPLACEMENTS POUR LES CARTONS
MAJ 07.06 : Petit problème de CE1, voir moins (d'une lectrice qui pose des questions qui fâchent au pleupleu qui préside le SIDMA :
1°) - Si le SIDMA récupère depuis le 24 avril courant, 1,2 T de cartons cela fait combien par semaine ? Et combien de commerçants ? 2°) - Avant cette collecte, combien de tonnes étaient récupérées par semaine ? 3°) - Combien de commerçants ont les clés de ce container ? Par ailleurs très mal situé. 4°) - A quand des containers similaires aux 4 coins de notre bonne ville ? 5°) - Les enclos poubelles de la "ville haute" sont encombrés par les artisans des environs qui y déposent leurs ordures. Que faire ?
En conclusion : Le SIDMA, qui a les "reins très solides" je parle en sous
via nos contributions compte faire quoi faire pour pallier à une collecte efficace du tri sélectif.
RG
MAJ 07.06 : Cela fait un bail que PRO 2000, puis PRO COM demandaient une organisation du stockage des cartons d'emballages correcte, de telle manière que le centre ville ne ressemble pas aux trottoirs de Manille ou aux bas fonds du Caire. Comme d'hab, c'est avec les sourires niais de circonstance que posent les zélus, autrefois bornés "je ne veux pas le savoir". Ils se prennent pour des écolos, faites attention, ça peut tourner la tête, surtout si tu fumes du cannabis bio comme le recommande la grande chef des Verts aux pastèques pourries jusqu'à la graine. En plus, le carton est une matière première et au fur et à mesure de la progression de la pénurie de bois et d'énergie, recycler va devenir de plus en plus rentable. Remarquez, en ce moment, ces .....*** font quelques progrès : moins de désherbants, début de lutte contre la renouée du Japon (on vous en recausera). *** pointillés anti-injures
HAUTS DE GLOS : POUSSE TOI DE
LA QUE JE M'Y METTE
MAJ : 20.01 : Renseignement pris, le coût pour la CCLPA de cette opération foirée, pour le moment, est de 1.7M€. Mais ce n'est pas une perte directe, quoique. En effet, le retour d'investissement se fait lorsque les entreprises une fois installées payent des impôts. Pour le moment, vu que la boue règne en maître, rien ne rentre. C'est la SHEMA qui boit le plus gros bouillon, d'où le sauve qui peut pour refiler le bébé à la CCI.
MAJ 16.01 : Encore une fois, votre journaleux amateur a senti le coup, et n'a été déçu du voyage. En effet, vu le contexte, jauger du moral des entrepreneurs est un élément important. La maison commune des fous furieux qui font tourner la machine, la CCI, était pleine à craquer, avec des gens qui semblaient avoir bon moral. Bon ceux qui sont mal ne viennent pas non plus le claironner. On s'organise vite dans le monde économique, et ça déblaye. Le contraste avec les tergiversations des politiques est flagrant, genre dossier LNPN, Centre Ville ou Hauts de Glos. L'échec de l'équipe à Firmin est consommé pour ce dernier dossier. A tel point que la CCI va signer une convention avec la SHEMA et le CCLPA. En clair, le message est : "bon les gars vous êtes nuls, plantés, l'économie réelle c'est pas votre truc, refilez nous le bébé on va s'occuper de ça." A commencer par construire un atelier relais. Vu le commentaire persifleur du président Fougeray sur l'Ellipse, celle-ci a cette fois un beau poignard planté dans le dos. La marquise Nicole et son Firmin ont eu droit à leurs compliments personnalisés au sujet du coup tordu de la sortie de l'autoroute à Pont l'Evêque. Répétons-le, le Conseil Général, dixit son président a tout juste le pognon pour boucher les nids de poule, la 2x2 voies Lisieux Pont l'Evêque est au tas pour un moment. Avec le gaspi à 1.60€ + les charges de chauffage qui s'envolent, la TVA sociale qui consiste à te taxer la tronche un peu plus, le trafic va inexorablement diminuer. L'équipement actuel est donc largement suffisant. Le problème avec l'écologie appliquée, c'est que c'est la contrainte qui prime.
LE GIL
Ou de l'art de se faire des copains pour l'éternité
Dans tes ô combien amusants articles, j'ai pu constater que tu parlais de temps à autre du GIL, Groupement des Industriels Lexoviens, fort bien ! Mais je pense que tu sais que le terme GIL en sa prononciation phonique peut avoir un homonyme, en l'occurrence celui de GILLE, en dehors, naturellement, du prénom fort bien connu. Voici donc pour ton information et pour l'amusement générale de la populace en liesse, un léger rappel qui je l'espère te sera utile. L'origine du GILLE remonte au 22 Août 1549. Marie de Hongrie qui habitait alors le château de BINCHE en Belgique eut l'idée saugrenue d'organiser une fête en l'honneur du Roi d'Espagne Charles Quint, accessoirement Empereur du Saint-Empire Romain Germanique, et des conquêtes qu'il avait alors récemment faites. Pour cela et dans un geste d'une rare magnificence, car elle était trop bonne, elle invitât des représentants des peuples conquis, nous imaginons facilement leurs enthousiasmes qui devaient ce jour là être d'un rare débordement. L'histoire ne nous dit pas d'ailleurs si ce fut la hallebarde au creux des reins que les bonnes gens de ces gentils peuples nouvellement conquis se présentèrent à cette fête. Mais passons... Hors, dans ces délégations étaient présent quelques survivants Incas, victimes de la trop grande bonté des Espagnols à leur égard, on insistera jamais trop là dessus. Ne soyons point ingrat. Les Incas, enfin ce qu'il en restait, leurs costumes, leurs couleurs, et leurs plumes à en rendre jalouse Zizi Jenmaire et toutes les danseuses des Ziegfeld Follies, firent alors auprès des autochtones de l'époque grande impression, et comme le dirait notre ami Christophe Colomb " un tabac ". Oui.. oui.. je sais... c'est d'un fumeux ! Voila donc nos futurs ex-espagnols et bientôt Belges tous ébahis, devant un tel spectacle qui devait quand même les changer de l'habituel train train de l'époque, guerres, civiles ou de religions, famines, pillages, et de temps à autre veillée au coin du feu exclusivement réservées aux survivants, en attendant la visite de l'inénarrable comique de l'époque, le Duc d'ALBE, mélange ô combien détonant d'Attila et de Torquemada, et se situant à la droite de Gengis-Khan. Nos bons Binchois décident à l'unisson de s'inspirer de ces Incas et de créer ainsi le Roi du Carnaval, le GILLE de Binche. Ceci dit passons maintenant et si vous le voulez bien, à l'habillement. Suivez le guide... et faites attention à la voûte ! Le chapeau du GILLE pèse 3 kilos, rien que ça, superbe, entièrement en plume d' autruche, que l'on peut si toutefois on le désire se mettre ailleurs que sur la tête.. si... si ! Ledit chapeau est composé de 8 à 12 grandes plumes réalisées avec 240 à 290 petites plumes le tout monté sur une BUSE, nous n'en manquons pas à Lisieux, en armature métallique couverte de tissu blanc (couleur de reddition). Le seul et unique problème avec les plumes d'autruche c'est que dès qu'il pleut, averse ou pas, nos GILLES doivent retirer leurs chapeaux et il va de soi que la douche est interdite, la bain .. oui... La douche... Non ! C'est clair ? La blouse et le pantalon sont faits de toile de jute où sont cousus des motifs de Lion et des bandes noires, rouges et jaunes. Les côtés de la blouse et du pantalons ont plusieurs mètres de ruban de couleur foncé, comme la collerette qui repose sur les épaules du GILLE.150 à 200 mètres de ruban sont nécessaires pour leur habillement et les GILLES rembourrent leur blouse de paille pour donner du volume à leur costume. Le tout, et vous l'avez naturellement deviné est léger... charmant... et d'un seyant à en faire pâlir les gardes Suisses de notre bien aimé Benoît XVI, qui en verdissent de jalousie. Et pourtant côté costume ils en connaissent une rayure.. pardon un rayon. Les sabots sont quant à eux creusés dans le Peuplier ou dans le Saule, tant que ce n'est pas dans du Sapin, nos GILLES portent des chaussettes et en profitent pour taper avec leurs sabots sur le sol pour rythmer l'air et la marche du GILLE ( bien connu de tous ). Mais ceci ne s'arrête pas à cela, car nos GILLES sont aussi équipés d'un ensemble que l'on nomme du nom " d'arpentaille " et surtout, et c'est là ou ceci devient intéressant, de grelots ! A Lisieux et pour certains, nous pourrions mais ce n'est qu'un exemple, naturellement, remplacer les grelots par.... des casseroles, voire des batteries entières ! (NDLR : les roustons à Gilbert, alias le "Gros Blaireau", peuvent convenir, ils doivent être stockés aux services techniques après avoir été retirés du rond point Jean Paul II). "L'arpentaille" et sa ceinture de grelots pèse 3 kilos, en laine rouge et jaune, large de 15 centimètres et porte 9 clochettes. Un grelot est placé aussi sur la poitrine du GILLE. A Lisieux nous pourrions le remplacer par une cloche ou bien une plaque à vache, genre Feldgendarmerie. Ca pourrait rappeler de bons souvenirs à certains. Il va de soi que ces grelots sont de taille et de poids différents selon le son que l'on souhaite obtenir. (NDLR : Le président du GIL aurait quand à lui douze clochettes, ce qui lui permet d'ouvrir les réunions du GIL par le célèbre hymne : "si tous les cocus avaient des clochettes, des clochettes au d'sus, au dessus d'la tête, on n's'entendrait plus"). En plus de ces quelques ornements nos GILLES emportent avec eux, un panier. Panier en osier tressé d' une forme caractéristique et qui lui permet l'emport d'oranges, qu'il balance à tout va sur la foule en délire, sauf quelques grincheux malintentionné qui ont eu le mauvais goût de recevoir ces quelques oranges en pleine... poire ! (NDLR : C'est du solide, car Madame la Marquise Du Chignon des Orangers de la Cour de la Marie s'en sert sous ses tailleurs pour faire plus aristo). A Lisieux, nous pourrions remplacer ces oranges, que nous pouvons trouver, ô miracle des saisons, dans la cour de la Mairie, par des pommes, voire pourquoi pas par des bouses de vache, selon l'humeur mutine du moment. Je vous laisse désormais tout votre saoul, imaginer certains de nos "zélus" ou entrepreneurs habillés en costume de GILLE, et vaquer à leurs occupations quotidiennes dans de telles tenues. Il faut avouer que nos conseils municipaux auraient une tout autre allure. (NDLR : les réunions à la Chambre de Commerce feraient le plein. A tel point qu'elle devraient se tenir au MIKO, afin que les chômeurs puisse se défouler un peu dans les tribunes). Nous vous remercions de votre visite et surtout n'oubliez pas le guide suprême, .....ET FAITES ATTENTION A LA VOÛTE ! D.A.
COMMERCE DE CENTRE VILLE :
MAJ 15.11 : Encore un joli lapsus de notre Firmin des Marquises, décidément, il va falloir que son service de communication lui pose un bâillon... Le commerce de centre ville qu'il est "difficile d'approcher avec des véhicules" est le cadet de ses soucis, du moment que lui a sa place "enfoiré" de libre à côté de la mairie. Lorsque les forains occupent la place principale un mois en villégiature à nos frais (électricité, eau), quand il multiplie les terrasses qui devraient être retirées l'hiver, c'est tout bon pour l'Ellipse et ses 900 places gratuites, toujours payées par le contribuable. Une petite rébellion les gars, quand même... Tiens, au fait, pas ré-entendu parler d'une réunion avec les commerçants. Les commerces de bouche qui ont des stocks périmés peuvent les garder au frais, ça peut servir.
REUNION COMMERCANTS DU 09.06.2010
CHAUD DEVANT ! (suite)
MAJ 14.06 : Une fidèle lectrice me fait remarquer que laisser debout des invités pendant deux bonnes heures est particulièrement mal élevé. Bon c'était pas prévu que ça dure autant. Mais pour la prochaine engueulade, pardon réunion, ce serait effectivement une bonne idée de mettre des sièges.
MAJ 12.06 : Poursuivons la description de cette réunion décidément très dense et longue. On notera que dans la presse, présente, on a fait dans l'allégé. A tel point qu'à un moment Firmin a regardé sa montre (tous les autres s'étaient barrés sauf notre phynancier et Mme Poynard) : zut ! déjà une heure un quart, bon on passe à la suite. Dans la salle : non, non, on a encore des questions à vous poser.
LA QUADRATURE DE L'ELLIPSE : Avec la manne céleste de la taxe professionnelle, la CCLPA a les moyens de faire l'idiote en matière économique. Les surfaces commerciales dans des cubes de tôle se chiffrent maintenant en hectares, et la CCLPA a décidé d'en rajouter une couche sur 96ha, entre le rond point "Peugeot/Décathlon" et le giratoire de Firfol. Il est légitime pour un commerçant de centre ville de savoir ce que les élus ont pondu dans leur coin et avec leur ignorance, parce que cette donnée est essentielle pour définir sa propre politique commerciale, et essayer de passer au travers des gouttes. Et le temps est à l'orage avec la crise. Comme il fallait s'en douter, la CCLPA et son président ont choisi la solution de facilité : au lieu de se consacrer à l'emploi industriel, on commence par la zone commerciale, et on sous-traite (un promoteur du nom de CFA), c'est moins fatiguant, et ça permet de dire si ça capote, c'est pas moi, c'est ma soeur. Le moins qu'on puisse dire est qu'ils n'y sont pas allés avec le dos de la cuillère avec un programme "ELLIPSE" de... 13 hectares, avec un parking de 600 places "qui ne va pas entrer en concurrence avec le centre ville". Tu parles Charles. Bien que jurant leurs grands dieux qu'il n'y aura pas de grosse surfiasse alimentaire, à partir du moment où tu sous-traites, cause toujours. On apprend au passage que des fous furieux (DTA) avaient prévu de réserver 800 à 1000 hectares pour des entrepôts logistiques !!!! Autre nouvelle qui réjouira tous ceux qui ont la fibre écolo : il fallait le faire maintenant, car avec le Grenelle, il y avait un risque que ce genre de projet dingo ne puisse se faire. C'est la faute des écolos si on peut plus consommer de manière boulimique et irresponsable des terres agricoles de bonne qualité. Preuve que CFA en a rien à cirer des états d'âme de Firmin, mon collègue Joueclub a déjà reçu un dossier. Il est donc bien question de faire de la retape dans le commerce de centre ville pour le vider un peu plus.
TAXE SUR LA PUBLICITE EXTERIEURE : Sarko ayant taillé dans la TP, il faut bien se rattraper. Ayant eu des échos par mon syndicat professionnel que dans certaines villes, le fait de mettre ses horaires sur la porte est taxé pour un mètre carré, votre serviteur a posé la question de la philosophie de la ville en la matière. Réponse de JPS : c'est pour les enseignes supérieures à 7m2 et cela ne concerne pas le centre ville. C'est du déclaratif pour le moment. On verra ça quand la ville sera dans la misère. Si vous recevez un jour un papier à ce sujet, méfiance.
On en était à près de deux heures d'échanges aigres doux, quand Firmin, visiblement très agacé, a sorti un joli lapsus : "On est pas en campagne électorale", évidemment à mon adresse. Si, si mon pote, les cantonales, c'est l'année prochaine.
Mine de rien bacouetter donne soif, on est donc passé au buffet.
En prenant congé, j'ai quand même glissé à Mme Poynard, l'adjointe chargé de la manipulation des commerçants, de ne pas oublier notre petite subvention annuelle de 6000€, dont on a bien besoin pour animer commercialement la ville (deux opérations réussies (les pépites de Pâques et la Fête des Mères) récemment). Réponse (agacée aussi) : c'est pas moi qui s'occupe de ça. Toujours le même refrain....
MAJ 11.06 : Bien que cet article fleure bon la "charité bien ordonnée commence par soi-même" et "prêcher pour sa paroisse", un peu Poujadiste, nous avons appris plein de choses lors de la réception des commerçants à la mairie. Votre journaliste préféré avait posé des questions idiotes, mais très pragmatiques au sujet du ramassage des cartons des commerçants, de la taxe locale sur la publicité extérieure. Pas le seul d'ailleurs, ce qui fait que Firmin a été obligé de rappeler à la rescousse au pied levé le président du SIDMA (qui gère les ordures "ménagères" de 50000 âmes, damnées d'ailleurs, avec un score très mauvais de 320kg/ha/an, alors qu'il va falloir passer à 200kg incessamment sous peu). Le pauvre Patrick Beaujean, conseiller général du canton d'Orbec, qui, à sa décharge (c'est le cas de le dire), a hérité de ce cadeau empoisonné et nauséabond il y a deux ans, s'est ramassé une volée de bois vert, dont le recyclage est obligatoire, mais qui ne peut pas être brûlé dans la centrale de HOTVIL, qui est une délicate et ne consomme que du bois en croquettes. Notre Firmin et une partie de son staff (dont une bonne partie s'éclipse en coulisses une fois la réunion commencée et les photos prises), qui pensaient passer un moment convivial en roulant des professionnels dans la farine, s'est retrouvé avec une jacquerie de Poujadistes, qui n'ont pas ressorti les fourches et les faux de l'arrière grand père mais ça va pas tarder. Pour comprendre, il faut constater que nos élus sont presque tous des fonctionnaires ou (ex) salariés, ce n'est pas en faisant la classe à des têtes blondes qu'on peut comprendre quoi que ce soit à l'économie réelle, celle que vivent les professionnels qu'ils ont en face d'eux. Lors de la laborieuse et scolaire présentation individuelle (qu'il faudra zapper), il est apparu que beaucoup étaient dans le bizness depuis une trentaine d'années. On nous la fait pas, et les questions tu te les prends en direct live.
CARTON JAUNE : Sans crier gare, les éboueurs se sont mis à ne plus ramasser les cartons. Patrick Beaujean, dans ses petits souliers, nous a confirmé que c'était maintenant comme ça, et de toutes façons déjà obligatoire. Pour le centre ville, où il faut bien reconnaître que mes collègues sont pour la plupart de jolis gougnafiers en larguant en vrac le vendredi soir leurs cartons, un ramassage est payé par la ville au SIDMA. C'est donc tout le monde qui paye pour ces fainéants. Pour ceux qui ne sont pas ramassés, il faut recycler et porter à la déchetterie. Le problème est que celle-ci est particulièrement encombrée et nous avons franchement autre chose à faire que de poireauter une heure au milieu de glandus qui viennent amener leurs tontes de gazon pour mettre en valeur les nains de jardin. Ce qui a été reproché au président du SIDMA, c'est le manque de communication (c'est pas nouveau, et j'ai un dossier sur le sujet). Voilà à quoi mène de feindre d'ignorer l'existence de PROCOM, car notre job c'est de faire le relais et de représenter nos petits camarades. On voit bien que la stratégie de la mairie, qui pour une raison que nous saurons bien un jour, nous snobe, nous critique et nous sucre notre subvention au moment où nous commençons à émerger après une période difficile, est dérisoire et préjudiciable à la ville.
PELERINAGE : Rien à faire, malgré les efforts de séduction, le pèlerin ne descend pas en ville et ne séjourne pas dans l'hôtellerie "normale". Il faut dire que les curés ont tout fait pour capter la "thune", d'une part avec le magasin du parvis de la basilique, d'autre par avec l'Hermitage, qui recevrait 450 personnes par jour. Vous savez que votre journaliste considère que la religion catholique est une secte, et il ne faut pas s'étonner que le "bénévolat" y sévisse en particulier pour le personnel qui gère l'Hermitage. L'ancienne présidente des hôteliers avait d'ailleurs déclenché un contrôle fiscal, ce qu'elle n'avait pas emporté en paradis. Quand tu touches à la mitre, tu te brûles les doigts. Firmin, poussé dans ses retranchements, a rappelé que le contrôle n'avait rien donné. Bref, les pèlerins, faut les ignorer, et s'occuper du touriste lambda.
BANQUE DE FRANCE, C'EST NIET : Jean Luc Davy, le président de PROCOM a alors suggéré que pour amener du touriste en ville, la Banque de France ferait un musée attractif. Alors là, Firmin s'est mis en rogne : c'est pas dans mon programme, ça coûte de 12 à 16M€, il y a des frais de fonctionnement (exact) etc... Plus curieux : il y aurait une contradiction entre l'achat de la BdF et la vente de la crèche (bâtiment voisin). Tiens, au fait, pourquoi pas faire le musée dans la crèche actuelle ? A un moment j'ai cru qu'il allait retirer une de ses pompes pour taper sur le pauvre Jean Luc comme Nikita Kroutchev. C'est dans ce genre de circonstances, quand il est énervé, qu'on voit la nature réelle du personnage, rien à voir avec l'image du brave type sympatoche qu'il cherche à se donner. Les amis du musée savent à quoi s'en tenir, et les commerçants aussi. Détail : si c'est niet pour le mandat, pourquoi pas le suivant. Notre Firmin est resté dans le flou, on aurait des doutes sur l'avenir ? ----------------------------------------------------------------------------------
LA QUADRATURE DE L'ELLIPSE
(suite) (voir le dossier)
MAJ 22.03 : Le recours auprès de la CNEC (commission nationale d'équipement commercial) est parti aujourd'hui. C'est évidemment CAP LISIEUX (ex PRO 2000, puis PROCOM), association qui existe depuis 15 ans (au moins) qui est évidemment le porteur principal. La commission départementale comportait Nanard et Zinzin, les autres ne font pas de misères, because retour d'ascenseur possible. Le délibéré de la commission départemental n'est pas triste, on apprend ainsi que contrairement aux affirmations (donc mensongères) d'AUBRIL, il y aura bien de l'alimentaire sur 512m2 (c'est précis), et plus de 1000m2 de restauration. Vu le nombre de restos Chinois ouverts ces derniers temps, les brasseries du centre ville n'ont qu'à bien se tenir. Ce permis quasi en blanc permet tous les tours de passe passe bien rôdés chez les grosses surfiasses : tu créés un petit alimentaire et à côté des magasins bidon, qu'il suffit de regrouper ensuite pour que ça se voit pas de trop. Un exemple typique : KIABI qui au départ était un faux nez vendant des luminaires. Comme par hasard les murs étaient déjà aux couleurs de KIABI... Dans le dossier CAP LISIEUX rappelle qu'il y a au moins 63 pas de portes disponibles en ville, des terrains (usine Dahl démolie, Castres...) et des surfaces commerciales (Monoprix 3000m2) dispos immédiatement. Le président de CAP LISIEUX, également conseiller Nanardiste est toujours entier. Pour combien de temps ?
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