Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps.
Personne ne lit cette feuille, sauf que tout le monde est au courant.
Messagerie : echo.joli@wanadoo.fr
|
TUILES IMMOBILIERES
MISE À JOUR DU 09.12.2017
TIENS DONC !
MAJ du 30.11.2017 : Voyant un véhicule de la ligue de football (qui devrait s'installer à Lisieux, au stade Bielmann) traîner dans le quartier nord, ça m'a intrigué. Nestor Burma a donc repris du service. Je me suis donc rendu derrière le stade, et là, une surprise, sur le vaste terrain où se trouvaient autrefois des immeubles HLM tout à fait corrects d'ailleurs, et qui auraient pu être réhabilités (quartier dit "Paul Doumer"). Au lieu de cela, ce fut la funeste opération immobilière, celle de l'ANRU (Doumer + Delaunay), dont la Brosse et le roitelet sont les responsables, qui a abouti à l'expulsion de centaines de personnes, qui se sont volatilisées : il faut être le roi des abrutis pour penser que virer des gens à la retraite de leur appartement qu'ils occupent depuis l'origine, vont rester à Lisieux, déracinés dans un quartier où le matamore de pacotille n'arrive pas à maîtriser les incendies de caves, de véhicules et de poubelles, et priés évidemment de payer plus cher. Ceci malgré ses arrêtés débiles sur les mineurs qui rôdent le soir et ses caméras pourries qui ne servent manifestement à rien. Sans compter la montée en charge des hébergements de migrants (gérés par quatre collabos d'une CADA dans des bureaux mis à leur disposition gratuitement ceIa va sans dire, par la nullissime SAGIM, dans la fameuse Tour Infernale, qui brûle à intervalles réguliers, forcément, si tu fais ton faignant à laisser des déchets dans les caves et les escaliers, il y a toujours des zombies chtarbés pour y mettre le feu). Les habitants se sont barrés, les gens votent avec leur pieds. Le résultat a été sans appel : baisse de la population impressionnante (nous sommes moins de 20000 et ce fait sera entériné par le prochain recensement partiel qui aura lieu début 2018, les agents de recensement sont en train d'être recrutés). Les pauvres chassés, une partie a été reconstruite en petits immeubles sympas mais hors budget pour le purotin moyen. Comme il y a 1500 logements de vides à Lisieux (+500 en un an), personne n'a voulu se risquer à construire du HLM de "haute pétée" comme dit un de mes beaufs, sur deux terrains, un à Delaunay (un hectare), et un autre derrière le stade (un hectare et demi). Et bien pour le stade, un discret panneau d'affichage d'un permis de construire a été implanté. Et qui a décroché la timbale ? La SA Logi Pays présidée par le bellâtre. Elle est pas belle la vie de cet ex agent immobilier ?
MAJ du 25.09.2017 : Pendant le mandat les affaires continuent. Au point 10 de l'ordre du jour sera évoqué le projet de construction de logements sur l'ancien site du tri postal. De mémoire, le bâtiment avait été racheté à LA POSTE par la nébuleuse BUTEL-LEHÉRICY (mais je peux me tromper), qui l'avait laissé se transformer en salle de shoot clandestine, squat et terrain de jeu pour zombies. Comme par miracle, le bébé a été refilé à la SA Logi Pays, un organisme HLM, dont le président est l'agent immobilier Sébastien Leclerc, député de son état. Bref, on travaille en famille, à la Fillon ou à la Ferrand.
CA SENT LE CRAMÉ
Cette image date de 2013...
Delaunay a "bénéficié" de la manne de l'ANRU, qui a servi également à construire le MIKO, le gymnase Victorine Magne qui vient de cramer. Un page de ce site est cruelle pour les crétins de la mairie, ces naïfs, idiots de niveau INTERCOM (de village est trop faible), c'est par ici, et c'était daté de 2013. Comme quoi j'avais vu juste à l'époque. Il y avait eu un avertissement avec l'incendie de la tribune du stade, ouvert à tous les vents par la décision absurde de le couper en deux (exploit de Riton), multipliant ainsi les accès faciles pour les petites frappes. Il était évident que ce gymnase rutilant, isolé dans un coin du quartier, sans caméra, car il ne faut pas stigmatiser, formait une cible idéale pour un ou des vandales, nazebroques, chtarbés, guérilleros urbain, voire une chance pour la France padamalgamée. Il y a bien une caméra, mais au carrefour Oresme-Leclerc, qui avait été détruite par un habitant de Delaunay, qui trouvait que ça le gênait. Un timide sans doute. A t'elle été réparée, mystère ? Il a bonne mine Aubril, à pleurnicher ses gérémiades : la ville est en deuil. Mais c'est pas lui c'est les autres. Alors que la boule de cristal de l'ECHO JOLI ne s'est pas trompée. Et maintenant faut réparer. Si ça traîne comme pour le Tribunal place Mitterrand. Notre KAA est en train d'arracher les poils de sa barbe fleurie. Sans compter que ça crame un peu partout en ville, alors est ce la même équipe, ou plus vraisemblablement des comportements initiés par les "événements", qui énervent les psychopathes et déclenchent les passages à l'acte. Les primaires sont telluriques : tous les flics savent que la lunaison a une influence sur la délinquance (et les accouchements...). C'est exactement ce que décrivait Laurent Obertone dans son livre "FRANCE ORANGE MECANIQUE". Le pire est à venir, ils veulent s'attaquer à HOTVIL. Mais, "pas de la même manière". Rassurez-vous, braves HAJC, vous allez vous planter.
L'urbanisme de chiotte de la mairie : une merde architecturale plantée sur la place comme un étron, un stationnement anarchique, pas de trottoir, un poteau en bois enfilé dans une buse pisseuse un abri bus sur un passage piéton, il devait y avoir des arbres, etc... (voir article dans les brèves)
LA BROSSE A L' ARTICLE 12
MAJ 29.11 : Un coup particulièrement tordu, mais juteux, ça se chiffre en millions d'€, est dans le tuyau. Comme à chaque fois que l'on change la réglementation en matière d'urbanisme et d'environnement, les gros magouilleurs et affairistes, avec ou sans moustaches, avec ou sans petite cuillère en argent de collection, avec ou sans brosse, saisissent l'opportunité pour obtenir des résultats sonnants et trébuchants qu'ils ne pouvaient espérer autrement, par les voies naturelles si j'ose dire.Chez ces filous aux doigts crochus, la reconnaissance du ventre n'est pas la règle, mais sait on jamais. Ce fut le cas lors du passage des POS en PLU, et dans les petites communes, du "flou artistique entre possédants terriens" transmuté en PLU. A tous les coups, comme pour les remembrements, des terres à betteraves ou des friches deviennent miraculeusement constructibles. On voit le résultat actuellement dans le midi, ou sur le littoral, genre la Tranche sur Mer, où les bicoques construites sur des terrains que les locaux savaient très bien submersibles, se font inonder de manière récurrente, réchauffement climatique aidant. Or les PLU communaux vont basculer vers un PLUi, intercommunal. C'est en cours. Et extraordinairement compliqué, le contraste entre les bleds paumés mais mités des nains de jardin à Nanard et la ville de Lisieux étant considérable. C'est ainsi que la brosse au Firmin des Marquises en plein émoi marécageux, Paul Mercier des Rochettes, est en train de tenter un tour de passe passe pour le stationnement dans la zoneUA (centre ville, voir carte). Selon le PLU Lexovien actuellement en vigueur, il faut a minima réaliser un emplacement de stationnement (en garage interne au bâtiment pas exemple) non seulement pour de l'habitation neuve, mais encore pour de la rénovation (des studios dans une vieille masure), voire même pour un équipement commercial qui nécessite une place pour 40m2. Le tour de magie du prestidigitateur et néanmoins premier adjoint est sublime : dans la plus grande discrétion, le texte du futur PLUi est modifié de manière subliminale, à savoir que l'obligation de faire des parkings ne concerne plus qu'une construction neuve ex nihilo (on démolit à la cloche de bois façon Gégé quai des Remparts, puis on fait venir du travailleur détaché pour bâtir du terrasse de la basilique bis, si ça merde Nanard s'arrange avec Calvados Habitat qui s'écrase et achète le cadavre aux frais du contribuable, on a un cas célèbre). Ce qui fait qu'une transformation ou une extension d'immeuble existant n'est pas concernée. Bingo, plein les fouilles par exemple pour l'ex maison de retraite de la rue Au Char, qui appartenait au groupe Korian, qui avait soit disant insisté pour installer sa pré-morgue, son mouroir Alzheimer place Bérat. Pour le proprio, c'est le jackpot, pour 29 appartements à 5000€ la place économisé. Nul doute que cette transformation en rade depuis quatre ou cinq ans va, si c'est entériné par le conseil communautaire (en mars), connaître une accélération subito como presto. Mais last but not the least, le pactole va tomber dans l'escarcelle de Fabrice Raynaud et de son Multiplex. En effet, si par malheur on ne lui casse pas les reins avant, non seulement il s'approprie 180 places de parking gratos (le reste restant payant, mais plus cher vu la pénurie), mais en plus, cerise sur le gâteau, il n'a pas à financer 60 places (60x5000 = 300000€) ! Youpi ya ya youpi yé ! Gégé est aux anges, Blachet itou, sans compter ceux qui vont se réveiller. Pour l'état actuel ? C'est là : http://www.ville-lisieux.fr/upload/Reglement-dispositionsgenerales.pdf Et le PADD : http://www.lintercom.fr/images/portfolio_images/lepaddplui.pdf On remarque que la zone UA inclue miraculeusement le quartier de la gare, Wonder et les Terrasses, et l'ex Régina, dont on vous causera plus tard. Yes...
THE WALL
MAJ 31.08.2011 : "Tata Nicole", Curcio de Palermo, pas encore virée, mais dans le collimateur des crochets acérés de la vipère à Chignon, fait sa mijorée dans le journal. Si ça se trouve au nez et à la barbe du service de propaganda de la mairie, dont la cheftaine paye de sa personne en des lieux interlopes Les articles sont en effet des présentations en "avant première". Mais qui aurait intérêt à balancer cette peau de banane ? Elle nous fait tout un Parmezan de l'ouverture de la Maison de la Petit Enfance (MPE), néologisme Ursulien (paix à ses cendres, recueillies par Papotiche), qui est devenu une banale "crêche", puisque c'en est une. On oublie au passage de dire que "nous avons construit" est un mensonge, puisqu'un organisme HLM, qui roule sur l'or comme la SAGIM, à défaut de baisser ses loyers, a raqué l'opération, en n'oubliant pas au passage de se servir grâce aux vertus du bail emphytéotique. Les seuls trucs dont la ville est propriétaire sont les... volets roulants, oubliés dans la bagarre initiale, mais bien utiles pour barricader la forteresse entourée de ses murs de béton, face aux sauvageons un peu K-sos qui habitent un peu plus haut à Hotvil. On apprend que le petit personnel dispose d'une gâchette pour ouvrir la porte, une fine de marque Cleant Eastwood sans doute (la gâchette, pas la porte). On imagine d'ici le capharnaüm dans cette rue étroite, défoncée, avec des conductrices hystériques excédées de devoir poireauter en attendant leur tour dans le 4x4 clim à donf, avec le dernier Dieu Vivant Intouchable en train de brailler parce qu'il a les crocs, et qu'il doit quitter les chauds nibards bourrés de pesticides de maman pour le biberon avec la tétine en catchou made in China, avec marquage CE, mais issue du recyclage des pneus du 4x4 précédent de son géniteur, qui s'est barré depuis. Le biberon est maintenant en verre, recyclé 100% bouteilles de Kro (plus les Westmalle de votre serviteur, du verre Belge costaud), puisque le bisphénol A n'est plus d'actualité. Il y a une salle de traite, pardon, d'allaitement, avis aux voyeurs et aux allaitophyles. C'est un crime de lèse majesté notoire, car la primeur aurait dû revenir à notre Firmin, qui se prépare à inaugurer un bâtiment qui ne nous appartiendra que dans vingt ans. Elle cherche un nom à ce symbole de l'architecture de feuillées*** Aubrilesque, avec son mur extérieur, digne de celui de l'Atlantique. Il est tout trouvé : THE WALL. Le blockhaus c'est déjà pris : la caserne des pompiers, qui commence à s'effriter de tous les côtés, au moins les ouvrages de l'organisation Todt tenaient le choc. On attend maintenant le carton de l'année, qui va assombrir les statistiques des morts sur la route du sous-préfet, aux deux carrefours passages obligés pour accéder à cette citadelle isolée. Tout va très bien, mesdames les marquises. La friche de la place Mitterrand augmente de 50m de long. Rassurez-vous, un moustachu est déjà sur le coup vu l'emplacement. *** pour ne pas dire de ch...
Vues prises pendant les travaux. Promis, j'y retourne.
AUBRIL : "le centre ville va être repensé de A à Z" (Par Monsieur -49 logements et la Marquise)
MAJ 14.12 : On notera que pour piloter la réflexion sur l'urbanisme en centre ville, c'est notre chère Mme de Faccio, et le très démolisseur Paul Mercier qui ont été désignés. Faites gaffe les gars, elle a gardé sa règle de quand elle était instit.
MAJ 12.12 : Cette démolition du très Stalinien pur jus de l'immeuble de la place du 8 mai annoncée sans crier gare est-elle une diversion, une embrouille, de la poudre aux yeux pour faire oublier le reste, et en particulier le sale coup de poignard dans le dos de l'affaire Wonder ? Quoique. Il semble que Partelios propriétaire majoritaire de l'immeuble à 60% voulait réhabiliter. La mairie refuse, pour des raisons obscures, dont il faudra s'expliquer en conseil municipal, et ce sera chaud comme pour le dernier. Si cela se fait, le centre ville sera à terme en ruines, car nous n'aura pas les moyens d'entretenir tout ces bâtiments vides et compenser les pertes de taxe d'habitation et professionnelle. AUBRIL aussi efficace qu'un bombardier Américain ? Certes, cet immeuble qui ressemble à ceux des cités radieuses des frères de l'Est (il ne déparerait pas en ex-RDA) n'est pas très bien placé, mais à ce moment, que dire du reste des immeubles "reconstruction" qui vont finir par faire l'originalité architecturale de Lisieux. Il y a pire, les cheminots surnomment la Basilique "le silo", c'est dire. L'architecte qui a refait le MONOPRIX a bien conservé les colonnes années 60 sur la façade rue des Mathurins. Quant à l'entrave à la circulation, qu'avancent les complices d'AUBRIL qui répondent aux sondages dans les journaux papier, rigolons, les bouchons sont quasi inexistants à cet endroit, au contraire, ça casse la vitesse des véhicules et c'est un élément de sécurité. Cette frénésie de démolition est quand même très suspecte et la récurrence des interférences entre le public, le semi-public (organismes type HLM), le privé (Wonder, mais pas que ça), et la mairie interpelle. Tous ces espaces hypothétiquement libérés en plein centre ville, dont certains avec vue sereine sur le jardin public, proches commerces et hôpital, dans une société qui va vieillir et être moins motorisée pénurie de pétrole oblige, ne peuvent qu'intéresser des promoteurs privés bien en cour et disposant de relais potentiellement corruptibles. Que KORIAN ait installé son mouroir alzheimer en pleine ville n'est pas un hasard. Que la MJC et son terrain qui vaut de l'or ait été éliminée, et son bâtiment laissé à l'abandon côté entretien, n'est peut être pas si innocent. Dans l'immobilier, on a de la patience, et puis un jour, en pleine nuit, comme par miracle, ça dégringole.
MAJ 11.12 : Après avoir nettoyé Delaunay, la Cité Jardin, et l'enclave de St Désir, voilà que nos zozos qui se prennent pour des urbanistes veulent démolir "en 2017" le bâtiment des impôts en plein centre ville (place du 8 mai) déjà ravagé par le coup bas de Wonder, l'incendie, la fermeture de la Banque de France et le déménagement de la crèche. C'est complètement insensé évidemment, et un gaspillage d'argent public indécent. C'est de toute évidence une manoeuvre de diversion pour faire oublier le désastre des décisions successives du mandat précédent qui ont mené à cette situation Ubuesque. Pendant que les gribouilleux glosent, ça fait oublier le reste. Construite il y a à peine 18 ans, la caserne des pompiers serait aussi sur la sellette pour passer à la casserole. Le bâtiment ne serait plus "fonctionnel", défense de rire. Sauf évidemment pour la Sainte Barbe, où la transformation en boîte de nuit branchée avec chippendales assuré par le personnel masculin en attendant une évocation de Pigalle par le féminin, ne pose absolument aucun problème, même pour installer des sonos monstrueuses (reconnaissons qu'ils ont été très raisonnables cette année, ce samedi, et que le 14 juillet était sympa). Les interventions sont en augmentation : on compte chaque poubelle incendiée par les nazebroques pour une ? Comment se prépare-t-on pour la nuit de la St Sylvestre, où tout le monde va baliser (cf la Tour Infernale) ? Bon les gars, moteur chaud pour les deux grandes échelles à partir de 22h. Non, non, on est bien chez les fous. Electoralement, c'est suicidaire : la population va tellement baisser que même en trichant un max sur les recensements qui se font maintenant par sondage par rotation, le verdict de cette politique de barge va être sanglant. On ne sait pas vraiment ce que deviennent les expulsés à coup de brosse par Paul Mercier, alias "Monsieur UN logement", l'adjoint au logement (titre qui est un comble pour un démolisseur hystérique), mais il y a de fortes chances que quitte à être déraciné de son quartier, autant se barrer à la campagne. Ceci d'autant plus que les oisifs qui habitaient ces immeubles peuvent déménager où ils veulent, puisqu'ils n'ont même pas le fil à la patte de la proximité du boulot. La CAF et la Sécu, ça suit partout.
NANARD EN PREND PLEIN SA MUSETTE
MAJ 26.07.09 PPRE ET ANRU : Ces deux machins inutiles ont aussi été évoqués. Le PPRE (programme personnalisé de réussite éducative) peut être considéré comme condamné. L'ANRU est aussi sur la sellette. Le château de cartes de la refonte des quartiers nord et de la "SCAROLE" (surnom donné à la "salle multi-activités" au toit végétalisé) est en train de vaciller.
MAJ 26.07.09 VOLET DE ROBIEN/SCELLIER : Le dispositif DE ROBIEN en zone C était intéressant pour les investisseurs (en général des baisés comptez vous qui empruntent en croyant au Père Noël), du fait d'un plafond de loyers élevé. Devant le nombre de logements vides (cf Caserne Leclerc), l'Etat n'a pas jugé utile de reconduire le classement pour la loi Scellier. Résultat : les promoteurs vont déserter la capitale du Pays d'Auge. Au passage on apprend qu'il y a "des vacances en logement social'. Traduction : de nombreux appartements sont vides dans le parc HLM (fuite vers la périphérie et évolutions sociologique avec de nombreuses familles explosées).
MAJ 25.07.09 VOLET OPAH/ANRU LOGEMENT : Si les volets WONDER et SECURITE ont été traités par la presse, pas d'article sur le sujet sensible des délires immobiliers de "monsieur un logement", largement dénoncés sur ce site. Cela concernerait à la fois le programme de rénovation urbaine (OPAH) et les folies douces des quartiers nord (ANRU) (salle mult-activités incluse). Les fonctionnaires de la préfecture ont du prendre conscience que les logements refaits dans l'ancien trouvaient difficilement preneur et que le désastre de la démolition à marche forcée des immeubles à Delaunay et Paul Doumer était noué. Je serais curieux de savoir combien de logement refaits par OPAH depuis trois ans sont actuellement loués, vu le nombre de pancartes "à louer" dans l'ancien en ville, ça doit pas être beau à voir. En fonction il faudra prendre la décision d'arrêter les frais, assez joué avec les impôts des contribuables et surtout la dette, car tout ça c'est à crédit. Pour l'ANRU, il faut aussi se poser la question de savoir si de nouveaux immeubles trouveront bien des locataires, avec la concurrence des lotissements des communes limitrophes (bon exemple récemment à Beuvilliers). Malgré la démolition de 150 logements, il y a de la place partout en HLM.
Le PASS FONCIER, c'est beau comme un compte de fées, qu'ils sont craquants les deux mannequins qui simulent le nirvana du bonheur en couple glamour, mais ça ressemble comme deux gouttes d'eau aux crédits subprime. Payée par le 1% logement, cette propagande pour accéder à la propriété (c'est le CAF qui payera tout en fait) est extrêmement dangereuse pour ceux qui seraient tentés de mettre les doigts dans l'engrenage du fait de la séparation du foncier et du bâti. Et si la famille se décompose, c'est le désastre financier et le malheur qui frappe un peu plus. Inciter les gens à s'engager dans ce tunnel, c'est une forfaiture. Transmis à Paul Mercier, un fan du truc.
MONSIEUR UN LOGEMENT
MAJ 06.07.09 : On me pose la question de savoir pourquoi Paul Mercier est baptisé "Monsieur Un Logement" sur ce site. La réponse est dans le bulletin paroissial (rédigé par DBL) de mars. 156 reconstruits moins 155 démolis = 1. CQFD. Quant aux 56 logements "hors site" ce sont ceux de la rue Gaudien (au sud de Lisieux), il y a encore de la place. Les apprentis sorciers urbanistes de la mairie ont oublié une donnée : les "gens", même s'ils disent le contraire, sont attachés à leur quartier. Les déplacer en plus en démolissant leur immeuble et leurs souvenirs est vécu comme une véritable déracinement (le mot déportation étant trop fort et trop chargé). Le quartier Delaunay est devenu résidentiel, avec un parc à faire rêver un riche. La démolition des derniers HLM (commune de St Désir) rue du Camp Franc, va achever le travail. Résultat : l'école Paul Doumer a toutes les chances de fermer. Un exploit. A faire dresser les cheveux sur la tête. C'est déjà fait ! Il aurait fallu tout bêtement enchaîner démolitions et reconstructions immédiates. C'est tellement évident qu'ils ne pouvaient pas y penser.
MAJ 25.06.09 : Monsieur UN LOGEMENT se lamente dans OUEST FRANCE du 23.06, la crise immobilière (due je le rappelle à une surproduction insensée de cages à lapins privées De Robien), fait que l'équipe AUBRIL va échouer dans son objectif de passer le cap des 25000 habitants en 2013 (date des élections). A l'allure où ça va, ils pourraient même réaliser la performance de voir la population diminuer. On voit fleurir partout sur les fenêtres des A LOUER ou A VENDRE, même des logement refaits récemment grâce à l'ANRU. Là aussi il faudrait arrêter les frais, on gaspille l'argent public.
LA RUE GAUDIEN (27.05) : "Monsieur Un Logement" ne manque pas une occasion de faire immortaliser sa "brosse à Nanard" à chaque fois qu'une bonne âme expulsée des quartiers nord se dévoue pour aller habiter rue Gaudien. Il y a encore un tas d'appartements de vide. Au bas mot cinq ans pour les remplir. LES CASERNES LECLERC (AKERYS) (27.05) : Ca va mal, on organise des portes ouvertes, du jamais vu. L'ardoise pour la banque et l'assurance qui a financé l'échec immobilier le plus cuisant d'Aubril et de son adjoint P. Mercier "Monsieur Un Logement" va être sévère. Si vous voulez remplir votre cage à lapin les gars, faut baisser les prix, c'est la règle du capitalisme et du marché. Tiens, les deux derniers qui font de résistance à la politique merveilleuse de la municipalité dans le ghetto Doumer ne résisteraient pas à un loyer aménagé à 200€ par mois.
Le 25.02 : le très en cour Thierry Blacher, qui a ses entrées à la mairie, patauge un peu, et attend la vente de logements de la rue Duhamel pour s'attaquer au REGINA. Le projet immobilier à l'ancien centre de tri est à l'eau, le bâtiment va bientôt passer au stade squat. Ca va se terminer par un coup de bull pour faire un parking comme rue Ste Marie. Ca rouscaille à la "Caserne LECLERC", on parle même de trahison. On apprend que les cages à lapins De Robien prennent l'eau, et qu'un agent commercial (le genre jeune gars qui n'a peur de rien, surtout des conséquences pénales) aurait promis la destruction des HLM en vis à vis, plus esthétiques d'ailleurs que la vision morbide de ces immeubles sinistres. Stupéfaction à l'OPAC. C'était prévisible : malfaçons, courants d'air, humidité, ce qui est étonnant est qu'il y ait eu des couillons pour se faire avoir. Les notes de chauffage électrique (à trois cent mètres à vol d'oiseau de la mirifique centrale au bois) sont gratinées. Je vous avais bien dit que ces comiques ne sont pas des écolos. Ce qui était le projet emblématique de la politique du logement UMPiste de Bernard Aubril et Paul Mercier, et leurs promoteurs préférés, est en train de couler, les garages sont déjà humides. Il y a de la "rotation" dans l'air. Il n'y a plus qu'une solution : refourguer à la SAGIM, qui pourra recaser les nasebroques des tours infernales.
Les documents concernant les casernes Leclerc démontrent si besoin était les propos aussi lénifiants que mensongers tenus par Bernard et sa fidèle brosse à reluire Paul Mercier au sujet du remplissage de ces blocks néo-Staliniens. On remarque qu'entre l'infographie truquée et la réalité des lieux il y a une marge qu'on appelle publicité mensongère. Il n'y avait plus que "quelques T3", en fait on a l'embarras du choix. On remarque que le loyer à baissé pour un T3, passant de 561€ à 520€, le chauffage électrique est en sus (rappel : à 100m à vol d'oiseau de la chaufferie bois, à 20m des tuyaux qui alimentent les immeubles HLM OPAC dont Paul Mercier est administrateur). Ceux qui on fait la connerie de louer peuvent donc légitimement réclamer la baisse de leur loyer. Autre euphémisme : on ne dit plus gardien ou concierge (qui s'appelle maintenant Edvige au lieu de Marthe), mais "employé d'immeuble". Question, que se passe-t-il si A...S dépose, vu la tronche du boss, genre bobo, sur son site internet, cela ne saurait tarder. On notera au passage qu'au prochain conseil le point 9 parlera "d'accession sociale à la propriété" (= refiler les cages à lapins invendables à de futurs surrendettés) et le point 10 "proposition de vente d'une partie du "patrimoine" (=invendus) de Partelios Habitat à ses locataires (= refiler les cages à lapins invendables à de futurs surrendettés). La brosse à reluire essaye de sauver ses copains de boisson. Qu'en pense le Vicomte ?
|
|