Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps

 

        

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Allée Jeanne D'ARC

 

(Affaire BUTEL/LECLERC)

 

 

MISE À JOUR DU 15.01.2024

 

Cette page est classée dans l'ordre chronologique

 

 

 

MISE A JOUR DU 24.09.2022 :  Il y a beaucoup de dossiers suspects à ce conseil du 26/09, en particulier dans le domaine immobilier. On connaît l'addiction atavique d'Onc donne sous à l'immobilier, d'abord ce fut son "métier", grâce auquel il aurait signé quelques exploits à Livarot, de mauvaises langues insinuant que ce fut trébuchant.

Le pataugeage est au maximum dans la catastrophique ANRU II à HOTVIL, la plupart des possibilités de petits arrangements pour faire bénéficier des potes du privé de la manne engendrée par des démolitions débiles se sont refermées. On remarque toutefois (délibération 2022-134) un achat bizarre d'une parcelle SNCF pour faire de la "voirie" ce qu'il y aura autour n'étant pas précisé, s'agit il de faire payer au contribuable la rue desservant un lotissement privé ? Quand c'est flou, c'est une combine.

Rappelons qu'à plusieurs reprises, le roitelet s'était porté acquéreur de parcelles de #potananard, à qui il a sauvé la mise à prix d'or, pour en faire des parkings (Gascouin, place Bérat, Lehain entre autres).

Et bien il semble que le festival continue, qui consiste à se faire refourguer des parcelles pourries, dont l'aménagement et l'entretien ont été "négligés" par les propriétaires privés (dont des promoteurs marrons), ce qui va obliger la ville et donc ses contribuables à payer des travaux de mise en état aux normes qui vont coûter plusieurs centaines de milliers d'€. Le plus faisandé est l'allée Jeanne d'Arc, les clichés pris ce matin sont accablants.

A la manoeuvre, un avocat et néanmoins élu adjoint, ça comporte des risques professionnels, le camarade Jean René DESMONTS.

Que vont faire les pitres de l'opposition ? S'écraser comme d'habitude !

 

 

 

MISE A JOUR DU 03.10.2022 : Par un article du Pays d'Auge en date du vendredi 30 septembre 2022, on apprend qu'un arrêté de péril a été émis le 4 décembre 2019, donc par Bernard AUBRIL, ancien maire. Lors de ma visite sur le terrain du dimanche 25/09/2022, il n'y en avait ni trace ni matérialisation.

Cet arrêté ne concernait en fait que le mur en briques longeant l'allée, étayé à la va vite par... la ville qui a payé la facture, une véritable fumisterie, mais en aucune manière le mur de soutènement du bas très dégradé récemment comme le montrent les clichés ci-dessous.

Il est clair que le riche BUTEL, propriétaire des lieux, a complètement failli à ses obligations, a mis la ville devant le fait accompli. Il aurait menacé la ville de carrément fermer le passage, ce qui juridiquement est impossible (droit de passage centenaire).

De plus, complice avec Mr le maire de Lisieux, Sébastien LECLERC, il se débarrasse pour 1€ de plusieurs milliers voire centaines de milliers d'€ de travaux qui normalement lui incombaient, avant éventuellement de revendre les parcelles à la ville.

Car il va falloir vu l'état des lieux démolir les deux murs et les reconstruire pour que l'allée et le parking, voire le restaurant GOUTU puissent être à nouveau accessibles au public.

Il faut d'ailleurs s'étonner du fait que le préfet n'ait pas pris immédiatement les mesures d'interdiction nécessaires, que cela plaise ou non à la ville.

GLB Entreprises est manifestement solvable, étant un des plus importants sinon le plus important propriétaire foncier de Lisieux. Pour ceux que ça intéresse, le relevé cadastral (public donc publiable) comporte 17 pages ...

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 30.09.2022 : Après consultation du cadastre, la parcelle BP 127 (Restaurant GOUTU) appartient bien à GLB Entreprises. La parcelle BP 117, toujours BUTEL copropriété 6 lots (non concerné). Les parcelles BP 118 et BP 161 appartiennent au diocèse, qui est aussi impliqué dans cette affaire, car la poussée du terrain qui a fait basculer le mur en brique longeant l'allée au sud provient d'un défaut d'entretien (mur en parpaings bricolé, puis absence de mur), de remblais anciens non maîtrisés.

Il faut comprendre que cette zone correspond aux anciens fossés de l'enceinte fortifiée ce qui explique la configuration des lieux. Du fait de la pénurie de pierre (d'où les carrières comme celle du Clos des Bosquets), et l'utilisation de mortier de chaux, pas étonnant qu'il y ait quelques désordres depuis l'an de grâce 1449, où le roi de France a viré les Anglois (rappel, le mur du Millenium, en face, s'était lui aussi effondré.

Précision : le préfet a été avisé par mail, toujours pas d'accusé réception. 

 

http://remparts-de-normandie.eklablog.com/remparts-de-lisieux-calvados-a126100064 

 

MISE A JOUR DU 28.09.2022 : L'allée Jeanne D'Arc, propriété GLB Entreprises pour les parcelles  BP152 et BP126, alias Gérard BUTEL, allias SHREK, cestui "qui aime être riche". Il va falloir empêcher ce grand spécialiste des effondrements d'immeubles au moment où il a un alibi, de récidiver. Petit rappel de deux exploits : la galerie Navarin en pleine nuit (Bd Carnot), du coup il a pu tout démolir et reconstituer (correctement) l'aspect du bâtiment d'origine, et c'est pas le même prix que de taper dans de l'historique, et le célèbre effondrement un samedi matin d'un immeuble de la rue Condorcet, ce qui a permis la création d'un parking pour ses copains notaires dans l'ex-Banque de France, dont il était chargé des travaux. Il sirotait son café calva au Français, rien vu, rien entendu. La vieille qui y habitait, sans eau et sans chauffage, avait quand même été exfiltrée par le CCAS. Un peu d'humanité que diantre.

Comme d'habitude votre gentil gribouilleux amateur est allé de surprises en surprises. En effet, entre la photo de Google Steet datant d'un an ou deux, et mes propres clichés du 25/09 on observe une profonde dégradation du "mur du bas" qui est tout bonnement prêt à s'écrouler. En clair, le maire Sébastien LECLERC aurait dû prendre un arrêté de péril depuis belle lurette, fermer l'allée Jeanne d'Arc "parcourue par de nombreux piétons" comme dit en conseil municipal (c'est faux, il y a un autre parcours possible), fermer le parking voire interdire l'accès au restaurant LE GOUTU BP127 (ex GRILL PATTES, une ancienne station service). 

Au lieu de cela, il retarde volontairement l'arrêté, ce qui obligerait le propriétaire actuel, Gérard BUTEL à faire les travaux, qui compte tenu des lieux, peuvent atteindre plusieurs centaines de milliers d'Euros. De plus, en cas de fermeture du restaurant, le locataire peut se retourner contre la mairie et BUTEL, ça peut être cuisant.

Les deux compères, de mèche, on donc convenu que BUTEL refile le bébé et l'eau du bain à la ville pour 1€ symbolique !!!

C'est parfaitement dégueulasse car c'est le contribuable Lexovien qui va payer la douloureuse à la place du plus riche propriétaire de Lisieux.

Sébastien LECLERC mérite bien ses surnoms de Onc' donne sous et "Pire Que", et vient de signer son arrêt de mort politique.

Pour ses conseillers municipaux, c'est un peu pareil, ils sont cuits, quant à l'opposition c'est kif-kif, lamentable, les deux nullités, Clotilde VALTER et Sylvie GRANDIN ont voté sans barguigner cette forfaiture.

 

 

Cliché Google Street. Les travaux d'étayage du mur en brique appartenant à GLB

ont été réalisés par RENOVATION PAYS D'AUGE (02.31.62.41.84) c'est la mairie qui a payé !

 

Comme le prouve le cliché de la Société Historique de Lisieux (voir plus bas) ce mur très mal construit date de la reconstruction.

Il va inéluctablement s'effriter et un jour s'effondrer.

 

La grande parcelle qui surplombe BP161 est le FOYER SAINTE THERESE n°19, inutilisé, propriétaire, le diocèse.

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 04.10.2022 : Cerise sur le gâteau à 1€, la voie ferrée Lisieux - Deauville passe juste en dessous du mur, avec les vibrations qui vont bien. Pour reconstruire le mur il va falloir faire des fondations, sans ébouler la voûte du tunnel. Faites gaffe les gars, c'est du 25000V. La facture vient d'être multipliée par deux. C'est bien du pénal pour LE MAIRE DES RICHES QUI RUINE LES LEXOVIENS.

 

 

 

MISE A JOUR DU 07.10.2022 : Ci-dessous le premier courrier au sous-préfet, qui fait semble t'il la sourde oreille, mauvaise pioche, car sa responsabilité est engagée puisqu'il est maintenant informé. 

 

Monsieur le Préfet,

Pardonnez moi cette présentation, mais il y a urgence.

L'ordre du jour du conseil municipal de Lisieux n'est porté à la connaissance du public que quelques jours avant la tenue du conseil.

https://www.ville-lisieux.fr/fr/5nR-Seances-du-Conseil-Municipal.html 

Je surveille particulièrement les points de l'ordre du jour concernant les opérations immobilières, Mr Sébastien LECLERC ayant signé quelques exploits dans ce domaine lorsqu'il était maire de Livarot. D'autant plus que le catastrophique dossier ANRU autorise quelques acrobaties en permettant de financer des opérations de promoteurs privés (dont beaucoup ont capoté).

Mon attention a été attirée par la délibération 2022-140, acquisition de parcelles sises Allée Jeanne d'Arc cadastrées BP 126 et 127 appartenant à GLB ENTREPRISES. Le prétexte "conserver l'usage public des lieux" est évidemment totalement fallacieux.

GLB, c'est Gérard BUTEL, un des plus gros propriétaires foncier de Lisieux, qui a donc parfaitement les moyens de faire face à des travaux pouvant se chiffrer en centaines de milliers d'Euros, vu l'état actuel des lieux. Il s'est distingué par le passé par deux effondrements d'immeubles bien pratiques et quelques démêlés avec l'architecte des bâtiments de France.

Il se trouve que ces deux parcelles sont l'objet de désordres, dont un mur en brique qui a basculé et est retenu par un bricolage réalisé par une entreprise artisanale RENOVATION PAYS D'AUGE (étayage en bois). Depuis, rien n'est entretenu.

Je me suis donc rendu sur place dimanche 25 septembre et ai pris une partie des clichés joints.

Un cliché extrait de Google Street, datant de un ou deux ans, montre que le mur de soutènement ne présentait pas d'éboulement, mais était largement fissuré.

Compte tenu de mes clichés, un arrêté de péril aurait dû être pris par Mr Sébastien LECLERC depuis l'effondrement du bas du mur, avec interdiction d'emprunter l'allée, fermeture du parking du restaurant, voire du restaurant lui même. Mais dans ce cas, c'était à GLB d'effectuer les travaux. Il y a à mon sens urgence absolue, et je pense que vous avez les moyens juridiques de vous substituer.

En restant passifs pour pouvoir monter leur opération de spoliation du contribuable, Mrs Gérard BUTEL et Sébastien LECLERC méritent largement d'être mis en examen pour mise en danger d'autrui. Ce courrier sera donc transmis à Madame le procureur de la République.

Il est clair que cette délibération concoctée par un élu avocat, Mr DESMONTS, dont le rôle sera à éclaircir, doit être annulée par vos soins puisqu'il s'agit d'un petit arrangement entre amis pour faire payer les travaux par le contribuable.

Je reste à votre disposition pour des démarches complémentaire.

J'ai porté à la connaissance du public ce scandale sur mon journal local, au ton satyrique : https://www.echo-joli.fr/  et sur mes pages facebook afin que nul n'ignore, y compris la presse locale.

 

 

 

MISE A JOUR DU 11.10.2022 : Ci-dessous le deuxième courrier au sous-préfet, qui continue à faire la sourde oreille, mauvaise pioche, car sa responsabilité est engagée puisqu'il est maintenant informé. Il s'est donc pris une lettre recommandée avec accusé réception.

Etant contribuable à Lisieux, il m'est possible de contester la délibération (deux mois de délai), en espérant que quelques courageux me suivront dans cette démarche. A cette effet, la création d'un COMITÉ DE DÉFENSE DU CONTRIBUABLE LEXOVIEN me paraît d'actualité, car manifestement, le maire recommence comme à Livarot, sans entrave, puisque tout le monde s'écrase au conseil municipal. Une honte d'ailleurs.

 

Monsieur le Préfet,

 

En l'absence d'accusé réception de votre part, je vous transmets à nouveau mon courriel précédent.

Depuis, par un article du Pays d'Auge en date du vendredi 30 septembre, j'apprends qu'un arrêté de péril a été émis le 4 décembre 2019, donc par Bernard AUBRIL, ancien maire. Lors de ma visite sur le terrain du dimanche 25/09/2022, il n'y en avait ni trace ni matérialisation.

Cet arrêté ne concernait en fait que le mur en briques longeant l'allée, étayé à la va vite par le sieur BUTEL, mais en aucune manière le mur de soutènement très dégradé récemment comme le montrent les clichés joints au premier courriel.

Il est clair que le sieur BUTEL, propriétaire des lieux, a complètement failli à ses obligations.

De plus, de mèche avec Mr le maire de Lisieux, Sébastien LECLERC, il se débarrasse pour 1€ de plusieurs milliers voire centaines de milliers d'€ de travaux qui normalement lui incombaient, avant éventuellement de revendre les parcelles à la ville. Car il va falloir vu l'état des lieux démolir les deux murs et les reconstruire pour que l'allée et le parking, voire le restaurant GOUTU puissent être à nouveau accessibles au public.

Je m'étonne d'ailleurs que nous n'ayez pas pris immédiatement les mesures d'interdiction nécessaires, que cela plaise ou non à la ville.

Pour votre gouverne, je vous joins le relevé des propriétés de GLB Entreprises, qui est manifestement solvable, étant un des plus importants sinon le plus important propriétaire foncier de Lisieux.

Comme je vous l'ai indiqué, je transmettrai les éléments de ce dossier à Mme le procureur de la République.

Et ne manquerai pas d'informer les contribuables Lexoviens de cette opération selon moi délictueuse par tous moyens.

 

 

MISE A JOUR DU 13.10.2022 : Ci-dessous le troisième courrier au sous-préfet :

 

Monsieur le Préfet,

 

Vous trouverez ci-joint deux éditions de courriels, non rejetés, dont vous n’avez pas accusé réception. Ils sont suffisamment explicites et documentés.

Mr Gérard BUTEL, gérant de GLB, propriétaire des lieux, n’a pas assumé ses obligations en matière de sécurité, puisqu’il apparaît clairement que le mur de soutènement de l’allée Jeanne d’Arc menace de s’effondrer sur le parking du restaurant GOUTU. Dans ce cas, le bricolage illégal du mur qui longe l’allée au dessus, suivra. La mise en danger d’autrui des “nombreux piétons” cités en conseil municipal par Mr Sébastien LECLERC, maire de Lisieux est évidente.

Qui plus est, ce mur surplombe un parking fréquenté, un restaurant, et est situé au dessus de la ligne de chemin de fer Lisieux - Deauville. Un effondrement risque donc d’engendrer un accident majeur, coupant le Bd Jeanne d’Arc et susceptible d’entraîner la fermeture du traffic ferroviaire.

Mr Sébastien LECLERC, maire de Lisieux, était manifestement parfaitement au courant de cette situation, et aurait dû lui même émettre un arrêté de péril. Au lieu de cela, il a choisi délibérément de temporiser afin de favoriser une transaction consistant à acquérir pour 1 euro les deux parcelles concernées, mettant à la charge de la ville et de ses contribuables des travaux qu’on peut estimer à plusieurs centaines de milliers d’euros, surtout si la sécurité du tunnel est compromise.

Mr Gérard BUTEL, professionnel, pourra aisément vous en confirmer le montant.

Mr Gérad BUTEL est parfaitement solvable, vu le relevé cadastral de GLB qui ne compte pas moins de 17 pages.

Comme je l’ai suggéré, il convient d’interdire immédiatement l’emprunt de l’allée Jeanne d’Arc et de fermer le parking du restaurant, voir de contraindre les piétons à emprunter le trottoir d’en face.

Ayant constaté sur place les désordres le 25 septembre je m’étonne qu’aucun arrêté de péril ait été pris.

Je vous remercie à l’avance de bien vouloir me confirmer si vous validez ou non la décision du conseil municipal, puisque je dispose ensuite de deux mois pour effectuer un recours devant le Tribunal Administratif en tant que contribuable.

D’autre part, je transmets ce courrier et les courriels à Mme le Procureur de la République.

J’estime en effet que dans cette affaire, il y a mise en danger d’autrui délibérée, et “petits arrangements entre amis”. 

 

 

MISE A JOUR DU 21.10.2022 : Le château, qui sent que ça chauffe pour son matricule, a été assez rapide à fournir les documents concernés. Ceci d'autant plus, que suite aux révélations de votre canard d'investigation préféré, la majorité connaît quelques remous, vu le montant des travaux et les manoeuvres dilatoires du sieur BUTEL et la complaisance suspecte du maire. Quant à l'opposition, les "deux grâces" passent pour des écervelées qui n'ont pas vu le coup de flibuste venir, et un certain MERCIER Paul (alias La Brosse) fait de l'huile, car il était adjoint du roitelet à l'époque et a trempé dans ce coup tordu.

Vous pouvez donc consulter les documents suivants :

Arrêté 2147  - Courrier expert - Rapport Expert (accablant) - Maître CHANCE (un grand copain de BUTEL) - Proposition cession - Accord Cession

Extraordinaire : en 2019, quand le mur du haut (celui en brique) a commencé à basculer, AUBRIL Bernard a émis un arrêté de péril et a sollicité un expert, qui a rendu un rapport saignant. MAIS, au lieu de contraindre le propriétaire très riche BUTEL à suivre les préconisations de l'expert, c'est à dire effectuer dans un premier temps un élagage et un étayage, puis de faire les travaux dans un délai de six mois, il n'a rien fait. Pas de vagues avant les élections. 

Le scandale énorme réside dans le fait que c'est la ville qui a payé les travaux provisoires, et les honoraires de l'expert.

Ensuite, rien n'a été fait, en plus, comme le roitelet a été viré, il s'en lave les mains. Le délai de six mois donné à BUTEL est très largement dépassé, c'est du pénal.

On remarque sur les photos de l'expert que le mur a basculé beaucoup plus, la pression sur le "mur du bas" a augmenté, d'où le début de son effondrement constaté par mes soins.

Ca va faire désordre devant le tribunal administratif, car la délibération votée est entachée de vices cachés.

Pas certain que Maître CHANCE dans ces conditions soit très enthousiaste pour rédiger l'acte de vente, car pour 1€ il participe joyeusement à plumer les Lexoviens de centaines de milliers d'€.

On aimerait quand même que Monsieur le Préfet et Madame le Procureur de la République sortent de leur torpeur pour remettre tout ces oiseaux dans le droit chemin du respect du contribuable.

Politiquement parlant, si notre bellâtre n'arrête pas les frais, n'interdit pas la circulation et ne force pas BUTEL à faire les travaux, il est mort.

 

 

 

MISE A JOUR DU 29.10.2022 : Les élus reçoivent avant le conseil municipal, pour chaque dossier à l'ordre du jour, une "note de synthèse" où normalement doivent figurer tous les éléments du dossier présenté afin d'éclairer leur jugement avant le vote (il y a des jurisprudences en Conseil d'État).

La note de l'allée Jeanne est particulièrement tronquée, il n'est pas fait mention du rapport de l'expert, de l'étude géotechnique exigée et des travaux de REPARATION DEFINITIFS à faire dans les 6 mois, à la charge du propriétaire GLB (alias Gérard BUTEL), non réalisés, ni du devis sollicité à la SEEL.

Les élus étaient dans l'ignorance du montant des travaux à effectuer et de l'état du mur du bas, dont la réparation sera à la charge de la ville si cette transaction miraculeuse arrive à son terme.

On notera que les travaux, honoraires et prestations des services techniques de 2019 ont été payés par le contribuable en lieu et place du très riche BUTEL. C'est un scandale qui va peser lourd dans la balance politiquement parlant.

Malgré le risque d'effondrement du mur du bas, silence radio de la préfecture et de Mme le Procureur. L'Etat Macroniste dans toute sa splendeur.

Il faut dire que si un arrêté de péril était pris, c'est le sieur BUTEL qui devra desserrer les cordons de sa bourse plantureuse de ses doigts crochus.

 

 

 

MISE A JOUR DU 02.11.2022 : Les petites souris ont fait une bonne récolte, mais pour qu'elles ne soient pas démasquées, il convient de réserver les révélations au tribunal administratif. 

Signalons que juridiquement parlant, la réparation du mur du bas, celui du parking du restaurant le Goutu, même s'il est mitoyen dans les actes notariés, est à la charge du propriétaire de l'allée en tant que "mur de soutènement" (c'est la jurisprudence), donc à celle de la ville si l'arnaque arrive à son terme.

Retour sur le terrain avec des photos plus précises de ce mur qui montrent des désordres très importants. Les matériaux sont les mêmes que ceux des remparts en face (le Millenium) qui s'étaient effondrés.

Cerise sur le gâteau, il y a un troisième mur plus haut, qu'on va appeler "mur du diocèse". Manifestement, pour gagner de la place, et faire plus joli, des remblais ont été réalisés derrière. Il se trouve que ce mur (en brique) s'interrompt  juste au dessus du "mur du haut" en briques, et est suivi d'un bricolage en parpaings qui penche du côté où il va tomber, puis plus rien au niveau du mur en brique et derrière les immeubles (Burger City).

Quand ils vont taper là dedans, tout va se casser la gueule et l'évêque va devoir lui aussi casser sa tirelire, et sa bourse est plate (si j'ose dire), le denier du culte n'est plus ce qu'il était.

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 18.11.2022 :  Cliché miraculeux de l'Allée Jeanne d'Arc, vu les habits de la dame et l'état des lieux qui correspondent à la photo période de la reconstruction ci-dessous, on est en 1945/48. Les bâtiments à gauche ont pris une bombe, il n'y a pas de mur de soutènement en bas et curieusement le "mur du diocèse" est découvert, le remblaiement en talus est postérieur. Les matériaux ont dû provenir de l'excavation du parking actuel du restaurant GOUTU (précédemment station service, puis Grill Pâtes. Une manière pratique d'évacuer ses déchets. Remercions la Société Historique de Lisieux de m'avoir transmis ces documents.

Ci-dessous, d'autres plans qui confirme l'existence très ancienne de l'allée et l'absence de constructions et murs de soutènement (du bas).

Conclusion : le droit de passage est très ancien (plus de 30 ans) et un propriétaire particulier ne peut en empêcher l'accès, en général ça se termine au tribunal.

L'argument selon lequel G. BUTEL aurait pu menacer de le fermer si on tentait de l'obliger à faire les travaux ne tient pas la route. Il aurait été condamné à coup sûr.

La municipalité, en n'agissant pas pour l'y contraindre a donc commis une faute de gestion lourde.

L'argument de la mairie selon lequel le passage par cet accès a une utilité publique majeure n'a pas non plus de réalité, en effet, l'allée est carrossable dans sa partie haute, il y a 10 maisons tout au plus et les élèves de l'établissement Saint Jean Baptiste de la Salle peuvent passer par l'escalier qui donne sur la rue des Rémoulins, 50m de détour tout au plus, par un cheminement en sécurité (en rouge).

 

Etat actuel.

 

 

 

 Période reconstruction, vue sur l'actuel Millenium. 

 

Les élèves du collège peuvent passer par la sente en rouge.

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 06.01.2022 : Par rapport aux clichés précédents, on voit que l'endroit a été nettoyé, et que les dégradations progressent. Les contreforts en briques sont cassés et ne servent plus à rien. Il se murmure en ville que le restaurateur est inquiet, si un de ses clients voit sa voiture dégradée ou carrément écrabouillée, ça va faire désordre. L'assureur est à mon avis dans ses petits souliers. Ce cliché pris le 1er janvier va être expédié à la préfecture et à la mairie.

Bon, Monsieur le Préfet, sauf votre respect, l'arrêté de péril c'est pour quand ?

 

 

RECOURS REJETÉ

 

MISE A JOUR DU 20.01.2022 : Reçu hier le rejet du recours gracieux (publication à suivre). Ce sera donc au juge administratif de trancher. Le délai pour le présenter étant de deux mois, ça décale d'autant. Des langues de vipère insinuent que le château a embauché une voyante extra lucide pour savoir quand l'allée va s'effondrer, vu son état qui se dégrade de jour en jour, la pluie et les gelées ne vont pas arranger les choses.

Le restaurant LE GOUTU croit en tous cas à sa bonne étoile puisqu'il inaugure ce soir sa transformation en estaminet à tapas.

 

 

 

MISE A JOUR DU 03.02.2022 : Difficile après cet article correct de dire qu'on ne savait pas, surtout à cause de la photo. Merci OUEST !

 

 

 

BUTEL : "JE M'EN TAMPONNE"

 

https://www.lepoulpe.info/ (ce journal est payant par abonnement)

 

MISE A JOUR DU 26.01.2022 : Ce dossier explosif était jusqu'à présent mis sous l'étouffoir par la "rédaction unique", pas de vagues, c'est une opération sulfureuse avec des protagonistes pas vraiment catholiques pouvant, disons, s'énerver, vu le montant des travaux à effectuer. Pas de bol, le dossier a intéressé le journal sur internet LE POULPE, une sorte de Canard Enchaîné Normand, avec des journalistes d'investigation qui connaissent leur métier. C'est le genre de media qui terrorise les politiques. Le scandale est tel que nos journaux locaux sont bien obligés de suivre, un recours au tribunal administratif à Lisieux, c'est pas tous les jours.

Ouest France a reçu l'ensemble du dossier, ça devrait suivre pour les autres.

Le dossier va être transmis aux "Deux Grâces" cheftaines de l'opposition de gôôôche, la Clotilde Valter (le bourreau de Béthune) et la Sylvie Grandin (la tornade). Oseront-elles ramener leur science féministe au prochain conseil ? Quand aux débris de la liste Aubril, leur intérêt est de s'écraser, car le boss est impliqué dans cette histoire, sans compter la casserole gigantesque des Bosquets dont on vous recausera bientôt. A noter que le roitelet aux pieds d'argile n'est jamais venu à un conseil municipal, et insulte ainsi les électeurs et la démocratie. Une honte.

L'Echo Joli ne diffusera pour le moment que quelques informations novatrices croustillantes recueillies par LE POULPE.

D'abord Gérard Butel (alias Shrek) "s'en tamponne", autrement dit il glisse une quenelle ou un doigt d'honneur, au choix, dans le fondement de contribuables éberlués. D'autant plus que Paul Mercier (alias La Brosse) signale que suite à l'arrêté de péril, le tamponneur n'avait pas bougé, bras d'honneur à l'appui, ce qui fait que la mairie a fait les travaux provisoires et payé l'expert (par contrainte ou de mèche ?). Gérard BUTEL a ensuite refusé de rembourser, alors que c'est (encore) son terrain. Ni Aubril, ni a fortiori Leclerc n'ont expédié le délinquant au tribunal, et sont donc un tantinet complices de ce qui peut être considéré comme une spoliation insolente de la ville.

Le même Paul Mercier (qui s'est abstenu, normal, il était au parfum en tant qu'ex-adjoint à l'urbanisme) souligne que la note de synthèse a été tronquée "à dessein".

Manuel Sanson, avant de prendre son envol, avait réalisé pour LE POINT le fameux dossier sur le "Roitelet aux pieds d'argile"voir ci-dessous.

A suivre...

 

Cliquer sur l'image pour lire l'article en pdf.

 

 

 

MISE A JOUR DU 03.02.2022 : Difficile après cet article correct de dire qu'on ne savait pas, surtout à cause de la photo. Merci OUEST !

 

 

BUTEL : "JE M'EN TAMPONNE"

 

 

POUR LES ÉPISODES PRÉCÉDENTS, C'EST PAR ICI

 

 

MISE A JOUR DU 07.02.2022 : Nous pouvons publier l'article du POULPE :

À Lisieux, le magnat de l'immobilier local dans les petits papiers de la mairie

 

Par Manuel Sanson - le 25/01/2023 à 08h40

La Ville de Lisieux s'apprête à acquérir des parcelles, propriété de la société GLB, pour un euro symbolique. Si l'opération semble intéressante pour la municipalité de prime abord, elle arrange fortement Gérard Butel, dirigeant de GLB et principal investisseur immobilier du territoire. Ou comment lever un coin de voile sur les forces politico-économiques de la cité lexovienne.

Black-out complet. Dans les ruelles de Lisieux, si l’affaire de l’allée Jeanne d’Arc anime quelques conversations entre initiés et fins observateurs de la politique locale, rien ne déborde publiquement. Et pourtant, ce dossier ne manque pas d’interpeller. À tel point que, selon nos informations, un recours gracieux a été déposé, préalable à une action contentieuse devant le tribunal administratif.

En parallèle, le sous-préfet de Lisieux et la procureure de la République ont également été informés de ce dossier trouble sur lequel pèse un soupçon de copinage entre deux personnalités en vue de la place lexovienne, en l’occurrence Sébastien Leclerc, maire LR de Lisieux, et Gérard Butel, l’un des principaux propriétaires immobiliers de la Ville via sa société GLB, à la confortable surface foncière et financière.

Contacté à plusieurs reprises, Sébastien leclerc, lui-même gérant ou associé au sein de plusieurs sociétés civiles immobilières selon sa déclaration d'intérêts déposée à la HATVP, n'a pas souhaité répondre à nos questions, signe d'une certaine gêne à s'exprimer sur le sujet.

L’affaire démarre le 26 septembre 2022 au conseil municipal de Lisieux, lors du vote d’une délibération d’apparence anodine. La municipalité propose aux élus d’acquérir à l’euro symbolique deux parcelles de 333 et 148 m2, sises allée Jeanne d’Arc. La délibération est approuvée à une très large majorité d’élus, en l’espèce 32 voix pour et 2 abstentions. « Afin de garantir l’usage public de l’escalier très utilisé, notamment par les élèves des établissements scolaires et par les habitants du plateau de Hauteville, il est proposé d’acquérir les parcelles cadastrées sections BP n°126 et n°152 afin de permettre de réaliser des travaux de confortement », précise la note de synthèse jointe à la délibération pour informer les élus.
"Cela se chiffre en dizaines de milliers d'euros"

Sur le terrain, un long mur, édifié après la guerre et bordant le passage emprunté par les élèves, menace de s’effondrer. Il faut donc intervenir rapidement. La Ville, devenant propriétaire des parcelles, sans possibilité de valorisation foncière ou immobilière, devra supporter le coût de ces travaux dont le montant n’est pas précisé dans la délibération mais qui, selon plusieurs sources proches du dossier, s’annonce conséquent. « Cela se chiffre en dizaines de milliers d’euros », avance Paul Mercier, conseiller municipal d’opposition, seul élu à s’être abstenu au moment du vote de la délibération.

La bonne affaire à venir pour la Ville n’en est peut-être pas une. En revanche, le propriétaire des parcelles, lui, se débarrasse à bon compte d’un dossier vermoulu. En cédant deux parcelles dénuées d’intérêt, il refile le bébé - d’importants travaux de confortement - à la collectivité. Alors même que, depuis 2019, la Ville, alors dirigée par Bernard Aubril, a pris un arrêté de péril pour prévenir "un effondrement grave et imminent" du mur en question.

« D’arguties juridiques en arguties juridiques, sur fond de situation pas claire, la société GLB a réussi à échapper à ses obligations », rapporte aujourd’hui Paul Mercier, ancien 1er adjoint de Bernard Aubril, faisant état « d’injonctions » auprès de GLB. « Faux, rétorque Gérard Butel. Si ça avait été le cas, j’aurais fermé le passage et il n’y avait plus de sujet. » Depuis des décennies, un passage piéton, traversant les fameuses parcelles, est accessible au public.

Dans un rapport remis à la Ville la même année, un expert relevait que le mur en question était « en équilibre instable » et pouvait « s’effondrer à tout moment ». Le document mentionnait également l’existence de « plusieurs fissurations importantes du mur avec désaffleurements ». À l'époque, l'expert préconisait la réalisation des travaux nécessaires dans un délai de six mois.

C’est finalement la Ville qui a engagé des travaux d’étaiement d’urgence à hauteur de plus de 3 000 euros à la fin de cette même année, sans régler le problème de structure. « De mon temps, nous avions demandé le remboursement à GLB Entreprise qui ne s’était pas exécutée », se souvient encore Paul Mercier.

Interrogé sur ce point, Gérard Butel dément l’existence de telles démarches engagées par la Ville. « En même temps, si elle m’avait demandé de payer, j’aurais refusé. Je ne demande pas à la Ville de payer des travaux dans mes immeubles », lance le chef d’entreprise.

Élu en 2020, Sébastien Leclerc n’a pas voulu, ou pas pu, faire mieux pour contraindre - enfin - le magnat de l’immobilier local à intervenir sur ses parcelles. « Le maire est plus que limite dans ce dossier », pique l’une de nos sources. Selon elle, Sébastien Leclerc aurait dû, en vertu de ses pouvoirs de police, mettre en demeure Gérard Butel d'effectuer les travaux avant éventuellement d’acquérir les parcelles. Si l’entrepreneur s’obstinait à refuser, la Ville pouvait se substituer à lui avant d’exiger un remboursement.

Mais elle n'en a rien fait. « C’’est la Ville qui est venue me chercher et qui m’a proposé ce rachat à 1 euro », relate Gérard Butel qui réfute l’existence de quelque servitude publique que ce soit sur les parcelles en question. Et le chef d’entreprise d’affirmer qu’il aurait pu revendre ces terrains « 20 000 euros ». « La Ville aurait payé », assure-t-il.
"Un formidable cadeau fait à la société GLB"

Les dénégations de Gérard Butel n’éteignent pas pour autant le soupçon de connivence entre notables locaux. Selon nos informations, la délibération en question aurait suscité, en amont de son vote, des tensions au sein de la majorité municipale de Sébastien Leclerc. Le conseiller municipal d'opposition Paul Mercier dénonce le « formidable cadeau fait à la société GLB » mais considère en même temps que le rachat par la Ville est « peut-être la moins mauvaise des solutions » permettant de démêler « une situation pas claire depuis de très longues années ».

Si le terrain est privé, il offre également un passage public, notamment aux élèves mentionnés dans la délibération. « Au fil des années, la Ville a fait passer des réseaux, a aménagé des marches, a électrifié sans avoir le droit formel de le faire », développe Paul Mercier.

Le propriétaire de ces parcelles n’est pas n’importe qui à Lisieux. Il s’agit de la SARL GLB, dirigée par Gérard Butel, implantée à Lisieux depuis des décennies et principale propriétaire immobilière de la capitale du pays d’Auge. Selon un relevé de propriété concernant GLB et Lisieux émanant des finances publiques, la société détient plusieurs dizaines de biens répartis un peu partout sur la commune. Gérard Butel, vivant principalement entre Deauville et Paris, avait tenté, sans succès, de se faire élire à la mairie de Lisieux en 2008.

Et forcément, le soupçon de petits arrangements entre amis ou d’échange de bons procédés entre barons locaux point à l’horizon. Selon une élue au conseil municipal préférant rester anonyme, Gérard Butel et Sébastien Leclerc, élu en 2020, sont « très copains ».

Paul Mercier fait état de « beaucoup d’amis communs, de connexions entre les deux hommes », notamment via Les Républicains. Gérard Butel est aussi associé, au sein de plusieurs sociétés, à Eric Lehéricy, ancienne tête d'affiche UMP dans le secteur et ex-directeur de la CCI du pays d'Auge.

Paul Mercier affirme que Gérard Butel « soutenait officieusement Sébastien Leclerc » lors de la dernière campagne municipale. L'une de nos sources confirme, expliquant que Gérard Butel souhaitait ardemment la défaite de Bernard Aubril et que Sébastien Leclerc apparaissait "le mieux placé" pour y parvenir.

Gérard Butel, "homme discret et aimant cultiver ses réseaux", d'après cette même source, réfute tout soutien à l'actuel maire. « La politique, ça n’est pas mon truc. Je veux juste le meilleur maire pour que Lisieux se développe et, a priori, c’est le cas. Il a chaussé les bottes et ça va dans le bon sens », ajoute-t-il plein de bienveillance pour Sébastien Leclerc. 

Un ancien élu de la Ville témoigne du fait que Gérard Butel s’arrange pour « être copain avec tout le monde, en particulier les élus ». Il décrit le patron de GLB comme un individu « au caractère bien trempé qui flirte parfois avec la ligne jaune ». Selon une décision de justice datée de juin 2019 que nous avons pu consulter, la société GLB a déjà été condamnée à indemniser le préjudice de jouissance d’un locataire « découlant de la mise à disposition d’un logement non conforme aux normes légales et réglementaires de décence ».

"L'affaire" de l'allée Jeanne d'Arc a incité Alain Angelini, personnage local controversé mais souvent bien informé, à sonner le tocsin, notamment en déposant un recours gracieux auprès du maire de Lisieux pour qu’il retire sa délibération faute de quoi il saisira le tribunal administratif.

Dans ce document que Le Poulpe a pu consulter, cet ancien responsable Modem, passé par le RN, et atterri aujourd’hui chez Reconquête, dénonce le fait que la note explicative à destination des élus « passe totalement sous silence le contexte dans lequel l'acquisition des deux parcelles appartenant à Monsieur Butel est envisagée, à savoir qu'il appartiendra à la commune de réaliser des travaux dont la valeur n'a pas été précisée aux membres du conseil municipal mais dont on peut déduire du rapport de l’expert, du 17 décembre 2019, qu’ils représenteront un coût très significatif ».
"Un détournement de procédure" 

« Il va de soi que des travaux importants restent à réaliser au vu de l'aggravation des désordres affectant notamment le mur de soutènement de l’allée Jeanne d’Arc, aggravation dont les conseillers municipaux n’ont pas été informés dans la note explicative de synthèse. À ce seul titre, la délibération litigieuse est entachée d'un vice substantiel imposant son retrait. », poursuit Alain Angelini. « Ce n’est pas un oubli, cela a été fait à dessein », affirme Paul Mercier.

Dans ce même recours, le requérant soulève « un détournement de procédure » et « un détournement de pouvoir ». « La délibération litigieuse est entachée d'un détournement de pouvoir parce qu’elle poursuit manifestement un but étranger à l'intérêt général, à savoir précisément éviter à Monsieur Butel d’avoir à assumer la charge financière desdits travaux alors que celle-ci lui incombe en sa qualité de propriétaire des deux parcelles concernées », assène le recours.

Dans une réponse écrite datée du 9 décembre, la Ville de Lisieux confirme la bonne réception du recours gracieux indiquant "qu'une réponse sera apportée dans un délai maximal de deux mois à compter du 25 novembre 2022".

Très récemment, la Ville, qui s'est adjoint les services d'un cabinet d'avocat spécialisé, a refusé de retirer sa délibération. "Le but poursuivi (par la délibération) correspond bien à l'intérêt général tiré de la sécurité publique au sein de la ville de Lisieux et il ne s'agit nullement de permettre à M.Butel de ne pas réaliser les travaux", soutient notamment Philippe Jourdan, conseil de la municipalité. 

Face au refus, Alain Angelini annonce désormais le dépôt imminent d'un recours contentieux devant le tribunal administratif de Caen. 

Malgré les aspects troubles de ce dossier, aucun élu, en particulier issu de l’opposition, n’est jusque-là monté au créneau pour questionner, voire critiquer, l’opération en cours. Idem en ce qui concerne la presse locale qui n’a pas non plus évoqué le sujet.

Seul Alain Angelini tente de faire du bruit, au travers de son blog en ligne l’Echo Joli. Dans son alerte au parquet de Lisieux, le même Alain Angelini considère que Gérard Butel et Sébastien Leclerc « ont délibérément mis en danger autrui afin que Mr Butel puisse pour 1 euro symbolique se débarrasser de ses terrains, les travaux très onéreux à prévoir revenant à la charge des contribuables Lexoviens ». « Se pose la question de déterminer si cette transaction suspecte n'a pas un caractère pénal », ajoute-t-il.

Interrogé sur sa crainte de voir la délibération du conseil municipal annulée en justice, Gérard Butel indique, dans un langage fleuri, qu’il s’en « contrefout » taclant au passage Alain Angelini, « un homme qui s’est trompé toute sa vie et qui a perdu les cinquante élections auxquelles il s’est présenté ».

Auteur
Manuel Sanson

 

MISE A JOUR DU 23.06.2023 : Le tunnel de la ligne de Deauville passe juste en dessous, j'ai donc prévenu l'EPSF (Etablissement Public de Sécurité Ferroviaire), c'est pas des rigolos, qui a transmis à RFF (Réseau Ferré de France). Pour le nouveau Sous-Préfet ça sent le siège éjectable en cas de pépin.

Du fait des pluies, le mur s'est creusé un peu plus, une chaîne en plastique court maintenant le long du trottoir pour empêcher le stationnement. Aurait on la trouille ?

 

MISE A JOUR DU 21.06.2023 : Le dossier suit son cours, rythme de la Justice, encore plus cool que le Mammouth. Reçu la littérature de l'avocat de la mairie, coût 4500€ pour le contribuable, qui est taillable et corvéable à merci (cf les décisions du maire). Vu les vacances judiciaires, c'est pour la rentrée, le cas entre deux va forcément s'aggraver. Rappelons quand même que l'enjeu est d'éviter 400000€ de travaux à la grosse pour le contribuable. J'ouvrirai une cagnotte pour les remerciements, s'il y en a.

Un petit rappel des faits sera expédié au nouveau Sous-Préfet, le précédent étant parti pantoufler à Chambord. Pas certain que le nouveau botte en touche comme le château, il y a deux précédent fâcheux, Annecy et St Brévin où le Sous-Préfet a été viré selon Ouest France.

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 23.04.2023 : Des mauvaises langues insinuent que l'ECHO JOLI aurait jeté l'éponge face à l'ogre du quai des remparts.

Que nenni : 

 

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MISE A JOUR DU 08.05.2023 : Ces clichés pris le dimanche 7 MAI 2023 démontrent que ça bouge dans le camp d'en face. La boursouflure du mur à droite de la pancarte s'est agrandie (c'est le mur au dessus qui pousse). Du coup soit le restaurateur, soit Schreck a mis en place une chaîne en plastique. Raison : si jamais un véhicule se fait écrabouiller, ça va être compliqué avec l'assurance du propriétaire du terrain, qui normalement du fait de la procédure en cours appartient toujours à GLB, surtout si le conducteur n'est pas en train de manger chez le GOUTU.

 

 

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 27.07.2023 : La chaîne censée empêcher les véhicules de stationner sur le terrain privé de Mr Butel n'est pas en place. Hier soir plusieurs véhicules de clients du restaurant y étaient garés et il y avait des convives à table en terrasse, sous la dégoulinante.

 

 

 

MISE A JOUR DU 27.07.2023 : Le cliché du dessus date du 27.07.2023, celui du dessous du 07.05.2023. La boursouflure s'est bien aggravée (c'est le mur au dessus qui pousse).

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 27.07.2023 : Ci-dessus cliché du 27.07.2023, par rapport à celui pris le 07.05.2023 ci-dessous, un gros morceau est tombé et la partie éventrée s'est nettement creusée sous l'effet des intempéries. La cassure du contrefort en briques s'est accentuée, il ne sert plus à rien. Le contrefort à gauche s'est dépouillé partiellement de son enduit et le mortier des briques est très érodé.

Si jamais un véhicule se fait écrabouiller, ça va être compliqué avec l'assurance du camarade Butel, qui normalement du fait de la procédure en cours appartient toujours à GLB.

Toujours pas d'arrêté de péril, la responsabilité pénale du propriétaire du terrain et de la mairie est engagée.

Que dit le nouveau sous-préfet de tout cela ? Commencer sa carrière à Lisieux avec un effondrement, ça va faire désordre.

 

 

 

 

 

 

ALLÉE JEANNE D'ARC :

 

 

 

LE TUNNEL EST IL CONCERNÉ ?

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 03.08.2023 : Le tunnel du Grand Jardin passe à l'aplomb des murs de soutènement pourris de l'Allée Jeanne d'Arc, a priori sous une faible épaisseur. Votre journaliste sérieux et perspicace a donc prévenu l'EPSF (Etablissement Public de Sécurité Ferrovaire), des loustics qui ne rigolent pas.

Pour conduire des trains touristiques sur le réseau en machine à vapeur, j'avais avalé le référentiel traction (750 pages à savoir par coeur), et obtenu la carte de conducteur après visite médicale serrée et stage, je connais un peu le métier de cheminot, je dis ça pour faire fermer leur clapet à des détracteurs jaloux.

L'EPSF m'a répondu qu'ils avaient pris bonne note et du coup des techniciens de RFF ont dû débouler pour vérifier.

Un ralentissement pour travaux à 60 a donc été posé des deux côtés (la voie extérieure côté Deauville est franchissable à 90km/h).

A cette vitesse, en cas d'éboulement, le conducteur peut s'en sortir vivant, pas à 90.

Mais il y a peut être une autre raison, mais ils ne vont pas non plus le chanter sur le ballast.

Si c'est au cause du risque de voir le tunnel endommagé si l'allée Jeanne d'Arc s'effondre, RFF et la "Grande Maison" subissent un préjudice non négligeable (retards, consommation d'énergie supérieure, travaux, surveillance, maintenance signalisation), ça peut chiffrer rapidement. Le propriétaire étant toujours mon grand copain Shrek, c'est lui qui va devoir allonger l'oseille.

Rappel, au départ il s'agissait d'un petit arrangement entre amis pour 1€ symbolique, maintenant on est dans le registre du battement d'aile de papillon qui engendre un cyclone.

 

 

 

 

L'EFFONDREMENT

 

 

 

MISE A JOUR DU 26.08.2023 : Le mur n'a pas résisté à l'orage, un véhicule garé là aurait été endommagé. Plus inquiétant en haut du trou il y a une bande humide et des vides entre les pierres, cela devrait donc s'accélérer. Idem pour l'autre bout, le mur gonfle, la pancarte est plus incurvée que sur les clichés précédents.

Le château va devoir prendre un arrêté interdisant l'accès à l'allée et au parking du GOUTU, ET contraindre Shreck, qui est toujours propriétaire puisque la transaction est bloquée par l'instance en cours. Il va lui être difficile de "s'en tamponner". Rappelons qu'il n'avait pas payé les précédents travaux grâce à la complaisance suspecte d'un certain AUBRIL Bernard.

La mise en danger d'autrui est flagrante, si rien n'est fait une plainte au pénal la semaine prochaine peut être envisagée. Qu'en pense notre nouveau Sous-Préfet qui va regretter d'avoir quitté les îles pour l'enfer de la deuxième ville de pèlerinage de France ? Lui peut se substituer à la carence laxiste de la mairie.

Vous allez voir qu'à tous les coups la bande de rigolos du château va m'outrager en disant que c'est parce que j'ai bloqué la délibération que la ville n'a pas pu faire 400000€ de travaux à la place de GLB (Gérard BUTEL).

Il est clair maintenant que le tribunal administratif ne peut que me donner raison. 

 

 

 

 

 

LE BRICOLAGE

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 30.08.2023 : Reprise des travaux, mais cette fois avec un seul bricoleur.

 

MISE A JOUR DU 29.08.2023 : Les deux bricoleurs avaient fini leur "mur" samedi, depuis ça ne bouge plus (resté en l'état aujourd'hui 29/08).

Vu la faible épaisseur, 20cm, et les matériaux employés, c'est pisser dans un violon. Reste à savoir pourquoi ils se sont arrêtés de continuer à cacher la misère et éventuellement berner les juges du tribunal administratif. Il ne faut pas oublier que l'adjoint que se coltine les entourloupes des exploits de l'addict au béton de la mairie est avocat. Il a plus qu'intérêt en tant qu'élu et professionnel à limiter les ardeurs du grand spécialiste de l'effondrement de Lisieux.

Du coup la partie au dessus du trou, dans le vide, ne demande qu'à se faire la malle. Et là ça va tomber de 2m d'un bloc. Gare à vos capots.

 

 

 

MISE A JOUR DU 27.08.2023 : Comme ça commençait à craindre, les téléphones ont grésillé entre le château et le quai des remparts. Ce samedi matin une équipe de bricoleurs du dimanche se prenant pour des maçons, comme moi je suis évêque, était à l'oeuvre en... réutilisant des pierres du mur effondré. On appelle cela un cautère sur une jambe de bois, un cache misère, un maquillage de maquignon, quand l'expert qui ne manquera pas d'être nommé dans cette affaire verra ces clichés, la messe sera dite d'avance.

Cette photo est instructive car le tas à droite c'est presque de la terre, il fut sans doute utilisé de la chaux, voire du torchis. Autant dire que tout le reste c'est pareil, ça ne peut que continuer à bouger, il faut tout refaire avec des fondations (attention au tunnel en dessous), du ferraillage, du béton ou de la maçonnerie sérieuse.

On ne sait pas encore si l'entreprise a été expédiée par Shrek ou la mairie, le numéro de la camionnette blanche a été relevé, et c'est suspect, elle a une galerie, ça sent un tout petit peu le manouche (restons amical) (à vérifier, mais ils ont le droit).

 

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 06.09.2023 : Un des bricoleurs a rempli tant bien que mal le reste du trou, toujours avec les pierres pourries de la photo ci-dessous. Vu le matériel utilisé et les sacs de sable achetés au brico du coin on a pas vraiment affaire à un professionnel.

Côté garantie décennale, faut pas trop y compter. L'expert qui était intervenu au tout début du temps du Roitelet, en voyant ça, va nous faire une crise d'apoplexie. 

D'ailleurs la camionnette blanche vue au début des opérations ne comportait aucun marquage. De plus on ne sait si c'est une fine équipe commandée et payée par GLB (Gérard BUTEL) qui est juridiquement encore propriétaire du terrain, ou si c'est le patron du GOUTU qui a commandé ce travail, ou s'il l'a réalisé lui même (avec des connaissances ?), pour sécuriser son commerce et lui donner un aspect plus engageant.

La recherche des factures et du mode de paiement par un juge si ça tourne au vinaigre va être compliquée. Ce n'est pas la seule fois où Shrek se comporte ainsi, un de ses immeubles ayant tendance à perdre des bouts de béton type reconstruction. C'est aussi une grand spécialiste des effondrements miraculeux (immeuble rue Condorcet et Galerie Navarin).

Comme l'écroulement constaté le 26 Août a été publié sur ce journal très lu au château, et vu la circulation, le maire et son adjoint aux travaux, mon grand copain BRIARD ne pouvait ignorer. Ils ont commis une lourde faute en jouant la montre. Vu le risque indéniable, un arrêté de péril aurait dû être pris imédiatement, suivi comme le coup d'avant d'une expertise, signé par l'adjoint aux travaux -- un certain BRIARD -- ou le maire. Leur responsabilité pénale est donc clairement engagée comme celle de GLB.

Vu l'état des contreforts, pliés et rompus, ça va continuer à pousser (ce qui a entraîné le gros désordre) et le mur cache misère ne va pas résister, sauf que tout va s'effondrer d'un bloc un jour ou l'autre.

Détail cocasse, j'ai pris ce cliché vers 11h30 lundi 4 Septembre, et... je me suis fait bousculer par... mon très grand copain BRIARD, qui est arrivé lâchement par derrière, un bon contact physique totalement inadmissible, sans gravité, mais tout de même cela prouve la violence et l'arrogance de l'individu qui a manifestement attrapé le melon. Bon il est parti en courant, en disant "on a bientôt rendez-vous". Peut être plus tôt que prévu. 

La présence de BRIARD ce jour là et à cette heure là n'est pas le fruit du hasard. Son échoppe est fermée le lundi, et il semble qu'il en profite -- comme votre serviteur le dimanche -- pour traîner en ville en faisant un peu de sport, inspecter le terrain, voire tomber sur le poil des entreprises (voir article du PAYS D'AUGE), façon commissaire politique (?).

BRIARD venait tout simplement vérifier si ce qui a été convenu entre BUTEL, le GOUTU et la mairie, à savoir cacher la misère pour berner les juges, avait bien été réalisé. Les téléphones ont dû presque fondre comme ceux du poste de police municipal.

Pas sûr que cet épisode soit apprécié par Onc'Donne Sous, car ça les met dans de sales draps pour le recours au tribunal administratif.

Mine de rien, comme il est adjoint aux travaux, si la mairie avait réussi son entourloupe, c'est lui qui aurait eu à gérer les travaux très lourds de réparation (des professionnels estiment le coût à 400000€), rappel, il y a un tunnel en dessous, et un de ces quatres la SNCF va se fâcher et demander des dommages et intérêts pour les retards et les dépenses d'énergie supplémentaires.

Il est donc mouillé jusqu'au pied du phare dans cette histoire à dormir debout.

Qu'en dit notre nouveau Sous-Préfet ?

 

 

 

 

 

MISE A JOUR DU 23.10.2023 : Restera à savoir si ces nouveaux travaux vont être payés par le contribuable...

Quant au bricolage du rebouchage du bas, ça tient pour le moment, mais il va beaucoup pleuvoir et là...

 

Avant