Journal satirique de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps.
Personne ne lit cette feuille, sauf que tout le monde est au courant.
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| LE ROITELET/LE CLAN DES NANARDIENS
MISE À JOUR DU 26.01.2023
ALTERCATIONS A LA MAIRIE
MAJ 11.12.2018 : Je n'étais pas présent, on m'a raconté. En effet, j'énerve le roitelet et pourtant je suis un garçon gentil, surtout avec les filles. La dernière fois il m'a sorti "vos élucubrations on s'en tamponne le coquillard". Petite recherche sur le net : "Depuis le Moyen-Âge, le sens de se moquer de quelque chose, n’en avoir rien à faire, a des connotations scatologiques, car coquillard, dérivé de coquille, a eu le sens de pénis puis de vulve et aussi d’arrière-train (Wikipedia). Quitte à tamponner quelque chose autant choisir la vulve, en tant que mâle blanc hétéro de plus de cinquante ans. Arrêtez de hurler les minettes, de vrais hystériques ces foufounettistes. Bon qui se dévoue ? Non, pas elle, les aristos c'est pas trop mon truc, ça fait des chichis, mais bon, pas frigide, c'est déjà ça. Toujours est il que rendez-vous a été pris à la mairie pour réagir à la vacherie que nous a fait Caen (Indigo). Une équipe de choc a déboulé, dont un patron de la Galoterie, un farceur qui fait des vans, notre Pizzaïolo, Schreck et des loustics de Cap Lisieux, dont un comptable qui connaît parfaitement la situation financière des entreprises Lexoviennes (les professionnels se causent entre eux). Le roitelet s'est pointé avec sa marquise Athénaïs de Montespan, c'est désormais la règle, même avec ces garnements d'adjoints. Tour à tour, les intervenants ont mis les points sur les i à un maire manifestement complètement paumé sans ses notes, concernant la situation de la Galoterie (où les marchands de bagnoles sont dans la panade), des finances chancelantes des commerçants du centre ville et de l'état du marché immobilier. Après des chipotages habituels, refus catégorique de faire simple, le ton est monté, et il était moins une qu'une pizza reine fasse un vol plané en direction d'un tronc vermoulu. La Montespan, outragée comme une demi-mondaine à qui on demande le tarif, s'est levée, a fermé la lumière, et le toutou qui nous sert de maire a suivi, la queue entre les jambes. Commentaires de certains participants : il n'y est plus, absent, ailleurs. Et c'est bien notre chère favorite qui dirige les opérations.
LA LÉGION D' HORREUR (suite)
Mme de Montespan, une connaisseuse.
MAJ du 19.09.2017 : Festival de lèche-cultage dans le Pays d'Auge. La marquise de la côôôte, émue : homme de passion (?), attaché à son terroir et à sa famille (sauf son frère, détail), quant à la Denise, on va pas tout vous raconter, paix à son âme. Gros coup de caresse du poil dans le bon sens pour la Clotilde, qui a intrigué dans les alcôves du ministère de l'intérieur pour convaincre Cazedevide de décerner la breloque. Nostalgie à propos de sa période instituteur, mais on passera sous silence l'usage fréquent de la fameuse Dorothée, une règle. Très occupé à brasser du vent, pas trop de temps pour les sales gosses, des petits vachards qui l'ont surnommé papy minute. Il faut dire que la mère...
A gauche, poitrine déployée, contrastant sévère avec les pectoraux atrophiés du médaillé, Pimprenelle, le binôme au conseil départemental, fifille putative quoique. A gauche, scène touchante de famille. C'est tout de même curieux ces ressemblances.
MAJ du 18.09.2017 : Les petites souris de l'ECHO JOLI avaient bien travaillé, en annonçant la pantalonnade de la remise de la Légion d'Horreur à Nanard. Et dire que c'est Napoléon qui a initié cette vénérable institution : http://www.legiondhonneur.fr/fr/page/vocation-de-la-legion-dhonneur/70 . Quand on connaît la médiocrité de l'individu, et l'acharnement qu'il a à couler la ville sans même se rendre compte qu'il fait fausse route (Yvette avait entamé la dégringolade), on se demande ce que les décideurs de cette mascarade ont dans le cigare. Le parcours d'attribution est assez cocasse : http://www.legiondhonneur.fr/fr/page/le-parcours-dattribution/81 . Disons le franchement : c'est une médaille en chocolat qui ne fait que flatter son ego démesuré, obtenue par des ronds de jambes obséquieux et opérations lèche-cul, cirage de pompes et compagnie. Napoléon ne s'y était pas trompé : "c'est avec des hochets qu'on mène les hommes". Pas de quoi franchement pavoiser. Bon, encore heureux qu'il doive s'acheter lui même sa breloque + 50 balles de cotis + rincer la tronche à ses invités sans taper dans la caisse de la mairie (à surveiller quand même, il y eu par le passé (et peut être encore maintenant) des notes de restaurant suspectes). Le ban et l'arrière ban de ce qui lui reste comme "potes à Nanard" était présent : La marquise de Deauville, des heures de vol, Clotilde Valter (aussi), Frédo cinq zéros (champagne tous les jours depuis le ravage du plan de stationnement), fifille Céline en pâmoison, le super lèche-cul Jiminy Cricket (Jérémy Gouret), et tout le banc et l'arrière banc de la nanardie finissante. Pas vu madame de Montespan sur les clichés. Faut pas non plus pousser mémère. Rassurez vous, elle aura le droit à sa lanterne dans la semaine sur son trottoir.
C'est t'y pas mignon. Bon, il paraît que la miss ne risque rien. Jiminy Criquet est en effet habitué des cérémonies patriotiques du Souvenir Français (alors qu'il n'a jamais chaussé une paire de rangers, on aimerait voir histoire de rigoler), et à chaque prise d'arme, il y a une fanfare. Alors...
MAJ du 28.08.2017 : C'est un scoop, le roitelet va être décoré de la Légion d'Honneur, en récompense d'avoir perdu 5000 habitants depuis le début de son mandat. C'est amplement mérité, ce type brillant et pas du tout débile mène Lisieux vers un avenir radieux. L'événement aura lieu le 16 septembre au restaurant LA PAGODE du Cerza. Vous connaissez l'ECHO JOLI, rien qu'à l'évocation du mot pagode, on enchaîne de suite sur les analogies marrantes. On le savait roitelet de triste lignée consanguine, le voilà qui se bombarde lui même Empereur du milieu, puisque sa couleur politique c'est bien connu, c'est le pâle. A côté un centriste MODEM est un révolutionnaire sanguinaire avec cimeterre entre les dents. Autant dire qu'on a pas fini de rigoler avec cette histoire registre Grand Guignol.
MAJ du 13.01.2016 : C'est au tour des sports de combat de céder aux charmes du gentil Frédo.
Frédo infatigable
MAJ du 02.01.2016 : Il est décidément partout, comme le furet du bois joli. LECLERC, en sponsorisant les deux clubs de foot (CAL + USL maintenant) le vélo (VCL), le marché de noël (mairie) le salon du mariage de Johnny Bee Bad etc …, va finir par tenir tout le monde à Lisieux par les @%§*&. Il arrose, méthode bien connue, mais faut pas exagérer, c'est pas ses sous. Il donne dans le genre caïd local, il instrumente les élus (photo prise de la cafétéria), qui sont assez @%§*& pour tomber dans le panneau. Le pire est sans doute le Bouffi-Bouffon, Emmanuel Thillaye, qui lui cire les pompes et aurait bien voulu essayer sa dernière chignole, mais malheureusement l'Hirondelle l'avait prise pour aller peut être claquer son indemnité d'élue (on me dit 2500€) en cosmétiques CHANEL (quand on passe de la Nivéa au haut de gamme, on sent quand même la différence).
A t'on changé de maire ?
MAJ du 18.12.2015 : Cette fois-ci, cela a le mérite d'être clair. On savait le roitelet adepte du népotisme, mais là cela tourne au clanisme, et l'analogie avec un film fameux est assez croustifondante. Il s'avère que Frédo Cinq-zéros-parceque-six-c'était-trop (alias Frédéric Porte, directeur du centre Leclerc, à gauche sur la photo ci-dessous), non content de narguer les commerçants du centre ville en placardant ses calicots sous leur nez au marché de Noël de la place Mitterrand, se comporte comme... un élu, en se pavanant sur l'estrade, et en étant au milieu des huiles lors de la Sainte Barbe chez mes grands copains les pompiers. C'est pas vraiment le protocole dans notre République (il serait normalement de bon ton que la responsable de la com et du protocole, notre chère Mme de Montespan, rappelle le Frédo à ses devoirs, mais évidemment, elle est prise, si j'ose dire, entre deux feux, vu que son employeur et néanmoins roitelet, plus si affinités, est aussi un super pote à Frédo). Elle sait pourtant y faire, vu les mascarades devant le monument au mort trafiqué et l'apothéose de la canonisation à la Basilique. Le Bouffi-bouffon, Emmanuel Thillaye (à droite), couche manifestement avec Leclerc et serait un des instigateurs du choix du Firmin de Leclerc, les marquises étant quelque peu décaties, pour désigner Nathalie Porte aux régionales, que son chéri lui dit qu'il l'aime sur les interceptions. La constitution du clan ne s'est pas faite en un jour. Et explique a posteriori le départ du fameux "manager de centre ville", qui avait pour mission officielle de promouvoir le commerce de centre ville, c'est à dire aussi aider les commerçants à lutter contre les grosses surfiasses de la périphérie. Il est certain que le torpillage de l'Ellipse auquel ce site a participé dans la joie et la bonne humeur, rendait possible un sauvetage. Ce fonctionnaire, comme tant d'autres récemment, comme par hasard, a dû comprendre un jour que le Bouffi-bouffon roulait en réalité pour Leclerc, et a préféré évacuer, carrière oblige, car les dés étaient pipés d'avance. L'objectif de celui qui partage la couche culotte "point repère" de Leclerc est de servir la voix de son maître, c'est à dire de détruire le tissu commercial du centre ville, pour expédier les pousseuses de caddies sur les parkings de la Galoterie. Pour cela, rien de tel que transformer Lisieux en "lieu de promenade pour touristes" (et non pas galerie commerciale agréable pour des clients qui vont dépenser leurs salaires), et surtout de supprimer le maximum de places de parking, sauf pour le Multiplex. Tout se tient. Notre Firmin de Leclerc, sentant sa fin prochaine, a quand même bien fait les choses en plaçant sur orbite, si j'ose dire, sa fille putative Pimprenelle, tellement qu'elle a distribué de tracts** dans Beuvilliers, que le FN y a fait 30% des voix. Dans le genre je suis élue Conseillère Territoriale et je me remue les fesses (primées) pour faire barrage au FN, on fait mieux. Rappelons qu'elle est bibliothécaire pistonnée, dans son bled. Où une certaine Sylvie Grandin est aussi première adjointe et vice-présidente de LINTERCOM, adhérente à l'UDI. Elle est restée logiquement chez elle quand elle a vu débarquer l'Hirondelle, qui n'avait, elle aussi, jamais distribué un tract pour l'UMP puis LR, parti auquel elle a adhéré par pur bidonnage. La nouvelle coqueluche tout vinyle*** du Firmin de Leclerc, roitelet à ses heures, l'Hirondelle Nathalie Porte, est quant à elle élue au conseil régional, sans avoir jamais rien ... en politique. Mais la suite n'est pas gagnée, car vu les deux sièges de majorité dont dispose MORIN, le moindre incident judiciaire sera fatal. Seulement, voilà, la constitution du CLAN DES NANARDIENS implique que ceux qui ne s'y corrompent pas sont sur la touche. Cette coterie exclue des adjoints, et non des moindres, le lecteur assidu de ce site identifiera rapidement les victimes. Les ennemis de mes ennemis sont mes amis (voir "L'art de la guerre" de SUN TSU), et deviennent parfois des petites souris proches, très proches. Elles ont l'avantage du coup d'être encore plus nombreuses, ce qui alimente le flux, nourri la paranoïa du roitelet, et brouille admirablement les sources. ***Voir l'inauguration du parking BLACHET, promoteur à Cabourg, propriétaire de l'immeuble de l'ex hôtel REGINA rue de la gare. C'est plus facile de se goberger quand le maire de Lisieux achète à prix d'or un terrain juste en face pour faire un parking, et cerise sur le gâteau fait voter par LINTERCOM dont il est président une modification du PLUi qui permet de transformer l'immeuble en appartements sans payer quoi que ce soit pour les places de stationnement jadis obligatoires. Ca se passe comment les remerciements éplorés, sous la table ? Car c'est +30% sur le prix du m2 minimum. On va peut être retrouver BLACHET (qui a un droit de réponse) dans le compte de campagne de MORIN ? Voir la photo ci-dessous. Dans la bagarre, c'est le budget de Lisieux qui trinque, car ce que ne payent pas les profiteurs copains du roitelet, c'est le sans-dents qui raque. **Pourtant le sac volumineux qu'elle exhibait le 11 novembre pouvait en contenir 5000. Il y avait quoi dedans, le rabe des cadeaux bonuS des marchands de cosmétiques de bas de gamme qui remplissent la case "une heure pour soi" dans la galerie LECLERC, et que lui a refilé la zélée employée de la SCA Normande ?
Les zélus à la caserne des pompons, avec les pompiers.
Les zélus, repas en famille avec le nouveau maire de lisieux, de dos à droite. Cliché l'Hirondelle de la SCA.
Les zélus, convoqué chez le CENTRE LECLERC, le centre de la vie politique Lexovienne, la mairie de fait.
Les zélus (tous du CLAN ?), lors de l'inauguration du parking BLACHET (rue de la Gare face au REGINA), qui va s'en foutre plein les fouilles au détriment des finances de la ville en général (abus de biens sociaux) et des nounous de la crèche en particulier. A droite, en noir tout vinyle, l'élue de LECLERC au conseil régional. Au gauche Cricri, raz la moule, la Fusée, le Gros Blaireau, le roitelet et une dame que je ne connais pas (NDLR Mme Lamidey).
Ce cliché est extrait de la page facebook du roitelet. Y figurent une belle brochette d'anciens combattants, des faux culs incapables de faire retirer l'inscription illégale de PICOT et LEFEVRE sur le monument aux morts de 14-18 (voir la page PROFANATION***). Remarquez, le problème des assocs d'anciens combattants, c'est que les vrais patriotes, les soldats courageux de la République, sont morts au "champ d'honneur", et qu'à la fin de la bagarre ne restent que beaucoup de planqués et quelques miraculés. Un intrus quand même, le jeune "Jérémy Cricket" (sous le point rouge de droite), l'âme damnée de Dédé la Défaite, qui "claque la bise" comme son cornac Firmin. Ce jeune freluquet n'a sans doute jamais tenu un flingue de sa vie et a une tête à se faire réformer lambda 04, voire pour pieds plats. Mais bon Dieu, mais c'est bien sûr !, s'écrierait Raymond Souplex dans un épisode des cinq dernières minutes ! Ne trouvez vous pas la ressemblance étrange ? Bon, vous allez voir qu'on va apprendre un jour que son géniteur officiel était membre du VCL en même temps que le copain de Nanard, Périni. C'est peut être pas pour rien que le maillot du VCL est jaune. *** En bon citoyen, et de surcroît officier de réserve, ce qui fait que les comiques de la photo me doivent un garde à vous, j'ai déposé une plainte auprès du procureur de la République pour que le loi soit appliquée. J'attend toujours, ça doit bien faire trois ans. Bon, c'est vrai, le proc, le roitelet lui procure du boulot, par exemple les affres du WONDERGATE, et les effondrements soudains d'immeubles, avec permis de démolir le 15, publié le 16, effondrement le 17, alors que Gégé sirotait au Subway (ou au Français) pour jouir du spectacle en direct live. Il soigne ses alibis, le bougre.
LE "ROITELET AUX PIEDS D'ARGILE"
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MAJ du 18.09 : L'article de L'EXPRESS étant paru il y a plus de dix jours, L'ECHO JOLI le met en ligne afin que nul n'ignore (veuillez nous excuser pour l'erreur de lien). Il se dit que L'EXPRESS a disparu des rayons de la Médiathèque. Dans les kiosques c'est fini, il en resterait chez Tonton Edouard (magasin Leclerc).
MAJ du 09.09 : Plein sa gueule, il en prend. Le numéro spécial "Agecanonix" de L'EXPRESS est disponible en kiosque. Ne ratez pas ce numéro collector. Bon, il va appeler Christophe Barbier le bobo parigot à l'écharpe rouge. Evidemment c'est pas pareil que de convoquer comme d'hab le rédac'chef de la rédaction unique OUEST FRANCE, je ne veux voir qu'une seule tête, qui arrive au château avec forces courbettes sous l'oeil narquois de la Montespan. L'article sur "l'élu isolé et affaibli" mérite d'être décortiqué, à suivre. En plus votre serviteur est cité, avec son ECHO JOLI, il faut dire que l'entretien avec le gribouilleux Manuel Sanson (qui signe son forfait) avait duré 1h30, avec description des personnages, et de leurs frasques y compris d'alcôves. On notera que sur la photo prise de la masure municipale de feu la Marquise du Chignon des Orangers de la Cour de la Mairie, figurent encore des... orangers, crevés depuis, à 60000€ sans compter les faux frais si mes souvenirs sont exacts. Au moins elle n'a pas emporté les rideaux du salon d'honneur.
CONTRE FEU DU SOUS-SOUVERAIN
MAJ du 18.09 : Le contre feu à la téloche, c'était la 2, reportage ce midi dans le journal d'Elise Lucet, la "pauvre fille" de Rachida Dati. Il faut dire que celle à qui on adresse des lettres (à Elise) musicales, est une du coin pur jus, qui a fait ses classes dans le monstre merdiatique de FR3 régions à Caen. C'est dire. Le sujet du reportage n'était pas les échecs du roitelet, mais les "économies" que doivent faire les mairies face au désengagement de l'Etat socialaud, qui préfère financer la sinécure des déserteurs Syriens à 15000€ le bout par an. Comme le licenciement des nounous a été évoqué (sans que celles-ci aient eu un droit de réponse) ambiance de l'amour garantie au prochain conseil municipal (mardi 22, 20h). S'il faut de toute évidence freiner un peu les dépenses de fonctionnement, prétexter qu'il ne faut pas réduire les investissements pour faire travailler les entreprises locales est un GROS MENSONGE, ceux qui reportent les appels d'offres raz des pâquerettes étant pour la plupart du temps hors Calvados ! L'exemple du reportage bidonné était le parking de la gare ou PAS UNE SEULE ENTREPRISE LEXOVIENNE n'est intervenue. Transmis fort et clair à Gérard Legoupil, PDG de la SEEL, qui attend toujours un chantier (depuis 15 ans ?). Bon, certes, il y eut jadis des circonstances malheureuses, mais ce n'est pas une raison. Le menteur aux pieds de bouillasse, qui se prend pour les frères Rapetou, n'a d'ailleurs rien trouvé de mieux que de taxer les échafaudages, sans doute pour encourager le bâtiment. Le chantier de l'ex Banque de France, avec ses échafaudages insolents et arrogants, va coûter 20€ par jour le mètre carré à Gégé Butel. Un crime de lèse riche. Ses moustaches ne vont pas s'en remettre.
MAJ du 17.09 : En mauvais père de famille notre micro mamamouchi a réagit en convoquant la téloche aux ordres. Une petite souris de l'ECHO JOLI a ainsi assisté à cette sc "Alors attablé au diplomate où j'ourdissais quelques infamie ne voila t il pas que je tombe nez a nez avec Nanard. Ou plutôt le je vois marcher à grandes enjambées, d'un pas martial et austère, au milieu de la chaussée, un air de profonde préoccupation figeant ses traits mâles et virils (genre conducator tout a la charge de SA Nation). Ceaucescu du Pays d'Auge en marche. Suivi par une équipe de télévision sur son côté gauche, prenant son plus beau profil, ô combien altier. Le tout avec un cameramen, un perchiste, un journaliste. FATALITAS (Chéri-Bibi), manquant déjà de chance, ne voilà t-il pas que la pluie s'en mêle.... et voici notre fine équipe obligée de se réfugier sous l'auvent d un marchand de chaussures en argile où cet aréopage, après avoir piétiné et s'être concerté 10 minutes, pris la décision de rebrousser chemin..... Direction la mairie au pas d Attila, ravagent les plaines Austro-hongroises. Beau comme du cinémascope. C'était du Lellouche sur la plage de Deauville dans "un homme et une femme ". Beau comme du Sacha Distel dans " quand tombe la pluie". Beau comme Jean Kelly dans "un américain à Paris", les claquettes en moins... C est d'ailleurs dommage. Une très belle réalisation des studios Einsenstein de Moscou spécialiste de la prise de vue pour culte de la personnalité. Il ne manquait plus que l'escalier du théâtre pour que le petit Bonaparte nous rejoue le "Cuirassé Potemkine", dans le berceau ? Serait ce un contre-feu allumé en réponse aux huit pages du pamphlet sanglant de l'Express ? Décidément il manque de chance, la baraka c'est fini, me baguenaudant hier-soir en ville (que veux tu je suis très Parisienne ), je tombe à nouveau sur le roitelet d'opérette avec toute la clique municipale hors opposition, ceci va de soi, en tas au milieu de la place Mitterrand. Le "mandat de trop" pérore en faisant de grands gestes, tentant sans doute de se faire comprendre de ses courtisans, et accompagné de membres d'un cabinet d'études, sidérés. Le mauvais petit père du peuple et sa cour prirent ensuite la rue Pont-Mortain, par ici la visite, s'il vous plaît, faites attention aux pavés disjoints datant de la Yvette, ils sont glissants. Ne serait ce pas en prévision du prochain conseil municipal (mardi 22) et de cette Arlésienne de plan de réaménagement du centre ville ? Seigneur Jésus... mais il est bientôt 17 heures. Je vais de ce pas prendre mon thé." Signé Furax.
MAJ 25.02 : C'est une vieille histoire, un pataugeage à la Aubril, voir la page BRETELLES A FIRMIN. Donc le CONSEIL GENERAL, dont le budget est plombé par le "social", est obligé de tailler dans la masse, et donc réduire le budget des routes. Il a déjà bien du mal à faire un entretien correct (la RN13 est très dégradée à certains endroits, on n'en est pas encore aux nids de poule comme en Allemagne de l'Est après la chute du mur (du vécu) et ses "umleitung" qui vous emmenaient visiter la misère, mais cela ne saurait tarder. Non seulement les bretelles de raccordement de Pont l'Evêque sont apparemment au tas, mais c'est définitif : la route Lisieux Pont l'Evêque (RD579), ne sera pas mise à quatre voies. C'est une bonne nouvelle pour un écologiste, le saccage de la vallée de la Touques n'aurait pas créé un emploi de plus. Certes, le GIL va encore verser des larmes de crocodiles. Bon, les gars, soyons un peu sérieux, Lisieux a perdu 3000 habitants en cinq ans (rappel le recensement donnait l'image de 2011, nous avons trois ans de plus), le prix des carburants, selon un pote qui bosse dans l'automobile, va tripler d'ici 2017 (ce qui explique les investissements dans les véhicules électriques). Le trafic ne peut donc QUE BAISSER. Cette route suffit donc largement, encore heureux si elle reste en bon état. Ce n'est pas que l'échec d'Aubril qui "comprend" (qu'il n'a plus qu'à s'écraser), c'est aussi celui des deux autres conseillers généraux, Eric Lehéricy et Clotilde Valter. Forcément, quand on se barre en pleine séance pour aller prendre la photo de la liste, voilà ce qui arrive. En plus, le redécoupage des cantons va mettre tout le monde d'accord.
MAJ 06.02.2011 : Autre anecdote cocasse, j'ai assisté à un concert avec François Corbier, qui, venant de Paris, a fait confiance à son GPS. Il s'est retrouvé évidemment dans Pont l'Evêque, s'est retrouvé deux fois à faire le tour du propriétaire pour finir par demander son chemin à un perdreau bleu de passage. Si même les GPS ne comprennent rien... Le parcours est donc allongé de quatre kilomètres (mesurés sur la carte Michelin), avec des circonvolutions et des passages scabreux, car il faut passer sur la voie de gauche dans le flot des grosses guindes des parigots qui déboulent de Deauville.
MAJ 05.02.2011 : L'histoire mélodramatique des BRETELLES A FIRMIN arrive à son épilogue. Rappelons que la bretelle de sortie de l'A13 devait obligatoirement passer AU DESSUS des voies de la RD579, par un viaduc "à hauteur des peupliers". Aubril fait semblant de découvrir, mais cela a été dessiné comme ça dès le départ et c'est dû aux contraintes de cet échangeur bricolé. Cette bretelle ne sera JAMAIS FAITE, et les ingénieurs qui l'ont conçue comme ça l'on fait à mon avis exprès, exactement les mêmes méthodes que les loustics de RFF, normal, c'est les mêmes loges. Entre Grand Frères, faut bien se refiler des tuyaux pour couillonner les zélus. C'est un des plus gros échecs d'Aubril, qui, par son obéissance et sa forfanterie (jamais là dans les bonnes réunions), pénalise tous les Lexoviens (rallonge six bornes), les touristes qui se paument, et les GIL (pas les clowns Belges, ceux de Lisieux). Quant à la 2x2 voies Pont l'Evêque Lisieux, pas un mot durant la dernière session du Conseil Général. Au tas. Autre échec cuisant.
MAJ DU 29.08 : Les travaux sont en train de s'achever à l'échangeur de Pont l'Evêque, cela signifie clairement que les bretelles de raccordement sur Lisieux ne seront jamais construites (en orange sur le plan). Ce qui nous a été présenté dans la presse était donc du pipo. Pour accéder à l'autoroute dans tous les sens il faudra aller jusqu'à l'échangeur "Honfleur", sortir, passer sous l'autoroute et s'engager dans un véritable toboggan où déboulent les parigots pressés venant de Deauville. La manoeuvre pour ne pas louper la voie de gauche pour aller sur Lisieux est scabreuse, surtout pour un touriste qui ne connaît pas les lieux. Tout cela parce que môsieur Aubril ne s'en est pas occupé, qu'il n'a rien vu venir, et que ses maîtres savent que de toutes façons il va s'écraser. La SAPN a même retiré les panneaux provisoires Lisieux avant de mettre les définitifs. Vraiment un champion.
MAJ DU 29.08.2010 : Les travaux sont en train de s'achever à l'échangeur de Pont l'Evêque, cela signifie clairement que les bretelles de raccordement sur Lisieux ne seront jamais construites (en orange sur le plan). Pour accéder à l'autoroute dans tous les sens il faudra aller jusqu'à l'échangeur "Honfleur", sortir, passer sous l'autoroute et s'engager dans un véritable toboggan où déboulent les parigots pressés venant de Deauville. La manoeuvre pour ne pas louper la voie de gauche pour aller sur Lisieux est scabreuse, surtout pour un touriste qui ne connaît pas les lieux. Tout cela parce que môsieur Aubril ne s'en est pas occupé, qu'il n'a rien vu venir, et que ses maîtres savent que de toutes façons il va s'écraser. La SAPN a même retiré les panneaux provisoires Lisieux avant de mettre les définitifs. Vraiment un champion.
Le dessinateur a quand même bien arrangé le personnage de gauche.
On aura reconnu deux marquises de notre connaissance.
MAJ 02.02 : Il semble que ce n'est pas une bretelle (celle Paris Lisieux), mais aussi celle Lisieux Caen, qui soient passées à la trappe. Si vous connaissez le coin, merci de nous tenir informé de l'évolution du chantier. MAJ 28.01 : L'hypothèse du foutage de tronche est de plus en plus vraisemblable. En effet, la marquise de la côôôte, pourtant au courant des prix, ou alors, parle de 2M€, le prix de deux rond-points. Or là, il faut faire un viaduc de trois cent mètre minimum. Si quelqu'un dans la salle a une idée du coût d'un tel chantier, nos colonnes lui sont ouvertes. Document accablant, le dossier de presse de 2008 (donc après la signature de la "convention") de la SAPN : pas une trace ni mention de la sortie directe sur Lisieux.
http://www.sapn.fr/fr/images_db/DPtravauxelargissements2.pdf
Il existe bien un plan sur un autre site (même service de presse) : http://www.travaux-a13.fr/ mais on est dans le registre voeux pieux, dans le sens où les travaux seront faits "à terme" et qualifiés de "longs". A conditions qu'il y ait des sous, la dette est telle qu'on ne va pas tarder à se faire couper les vivres comme les Grecs et le Conseil Général est plombé par le RSA (et accusé en plus par Sarko de creuser les déficits). Ou alors faut augmenter les péages pour faire financer les bretelles des ploucs du Sud Pays d'Auge par les parigots qui vont à Deauv'. Déjà que les seuls endroits de Basse Normandie où les Juifs jettent de l'argent par la fenêtre, c'est aux péages de Beuzeville et de Dozulé (boutade racontée par un pote de cette obédience, il n'y a donc pas de crime contre l'humanité, mais autodérision).... Comme on ne peut pas à la fois faire la bretelle et faire la quatre voies, on l'a dans l'os. Transmis à la CCI et au GIL. Le tordant de l'histoire est que 130 poilus se sont retrouvés à la CCI, dont tout le ban et l'arrière ban des huiles du secteur, pour discuter du sexe des anges gardiens à plumes bleues des quatre voies, alors que c'est râpé de chez râpé comme dirait Nique ta Mère. Il suffisait de chercher un peu sur le net comme ci-dessus. Maintenant, les gars, va falloir prendre des mesures pour éviter les encombrements de camions qui prennent les raccourcis sur le réseau secondaire, qui en a pris un sacré coup du fait de l'abandon des barrières de dégel. On imagine d'ici Firmin aller expliquer aux routiers, dont le cerveau a souvent la forme d'un gros bras d'honneur, d'être des gentils mignons et faire le tour par les autoroutes payantes de la SAPN pour aller à Orbec. Déjà qu'il a la trouille des manouches.
MAJ 27.01 : Selon les bruits qui bruissent en ville, il est pratiquement certain que la fameuse "convention" que Mme la Présidente du Conseil Général et néanmoins née marquise, a signé avec la SAPN, était un "chiffon de papier", comme se plaisait à qualifier les traités un certain Adolf. L'Echo Joli, qui ne recule devant rien pour informer ses lecteurs va demander une copie de cette fameuse convention. Car il suffisait de la publier et de la transmettre à la presse pour faire taire la polémique. On nous cache tout, on nous dit rien. L'Etat, la SAPN, le Conseil Régional et encore moins le Conseil Général avaient d'excellentes raisons de jouer la montre, botter en touche, regarder les mouches voler comme un légionnaire Romain envoyé en mission pour coxer un village d'irréductibles Gaulois. En effet, l'ouvrage à réaliser est du genre pharaonique : il faut partir du bas, de l'A13, passer par dessus la voie de droite de la route Lisieux Deauville, redescendre au milieu de la voirie actuelle. Par temps de neige, tu y restes. Moi je vais vous dire les petits loups, on n'est pas sortis de l'autoroute. En plus, les vieilles bretelles à Firmin, un modèle à élestoche des années 50, sont "hors normes", un peu mon n'veu, car on passe de 130km/h à un petit 50 pépère en ville. J'en connais qui doivent l'avoir saumâtre, la CCI (dont le directeur est adjoint au sports de Lisieux) et le GIL, qui s'époumone à réclamer une quatre voies où il n'y aura plus un chat dans deux ou trois ans vu le prix du gaspi. Tous les sous vont passer dans la brettelle. Les regrets sont d'autant plus éternels que beaucoup ont oeuvré en coulisse pour l'élection du fossoyeur Firmin. Sortez les mouchoirs pour éponger les larmes de crocodiles. Il y a même eu deux candidatures de diversion, c'est dire. Bravo tout le monde, c'était bien la peine de me virer de vos listes bande de nazes.
MAJ 25.01 : Cette histoire de bretelle "oubliée" ne tient pas debout. En effet, ces travaux font l'objet d'appels d'offres de MARCHES PUBLICS, où tout est détaillé, les intervenants sont multiples, financeurs (ETAT, Région, Département), cabinets d'étude, bureaux d'études, ingénieurs, plusieurs entreprises, des sociétés d'audit et de contrôle. Ce n'est PAS POSSIBLE D'OUBLIER. Le prétendre, c'est se payer la fiole des citoyens, et pourtant, Aubril le fait. Culotté pour un type qui a perdu une bretelle ! De deux choses l'une : -- Ou les travaux de la bretelle "LISIEUX" étaient dans le marché ou un des marchés, et comme il n'ont pas été réalisés, cela doit donner lieu à des avenants en moins value. Car si la totalité des fonds prévus au départ a été versée, cela veut dire qu'il y a présomption de détournement de fonds publics (les entreprises ont été payées de travaux qu'elles n'ont pas fait). Il faut donc fouiller, ce qui n'est pas vraiment du ressort du citoyen de base, même perspicace, mais d'une brigade financière avec des perdreaux de haut vol. La Cour des Comptes Régionale, voire la Cour des Comptes de la Nation (celle que présidait Philippe Seguin) doivent aussi mettre leur nez dans cette carambouille invraisemblable. Le Procureur de Lisieux pourrait au moins se fendre d'une information judiciaire. Et là, faut en avoir. Etant donné la pression qu'exerce le pouvoir sur la magistrature par les temps qui courent, c'est pas gagné. Rappelons au passage que les entreprises de travaux publics ne sont pas forcément des anges et des modèles de vertu. Il paraît même que trois entreprises du coin se seraient fait redresser sévère (non vérifié). -- Ou la bretelle n'était pas au départ dans le marché, elle n'y a jamais été, et les affirmation de notre chère marquise et de "Firmin", son valet Lexovien, sont purement gratuites et n'engagent que les innocents Lexoviens qui y croient.
Autre supposition, que notre marquise, qui n'a pas digéré l'entourloupe que lui avait fait Yvette Roudy pour la rocade de Lisieux, ait trouvé ce moyen mesquin de se venger.
*** C'est sous ce prénom "générique" que les valets étaient désignés dans les maisons bourgeoises au 19° siècle. C'est très utilisé dans le théâtre de boulevard. Adopté, merci à celui qui l'a suggéré à l'Echo Joli, un connaisseur.
MAJ 20.01 : Incroyable, tu fais le coup un premier avril, tout le monde va repérer le poisson. Non, non, c'est vrai, les as de la SAPN ont "oublié" de faire une bretelle à l'échangeur de Pont l'Evêque pour une sortie directe Paris - Lisieux. Au début, ce n'était pas prévu, c'est dire si la SAPN en a rien à cirer des ploucs du sud Pays d'Auge. Ce qui les intéressent, c'est les ronds des parigots. La marquise du 21° arrondissement (qui fait partie du CA de la SAPN !) a un peu insisté pour que son valet chéri maire de Lisieux ou de ce qu'il en reste, ait un petit os à ronger pour éviter de passer pour un "petit fonctionnaire de province" qui ne s'occupe pas de sa ville. Va pour une petite bretelle.. Les loustics de la SAPN ont passé outre et sucré la bretelle discrètement. C'est au moment de remballer les pioches que --soit disant-- tout le monde s'est aperçu de la supercherie. L'histoire ne dit pas si le responsable de ce crime de lèse marquise, passible en d'autres temps de la Bastille ou de l'écartèlement en place publique, s'est fait... remonter les bretelles. Pendant trois ou quatre ans, car ça va lambiner, il faudra donc remonter vers le Coudray-Rabut, sortir, reprendre dans l'autre sens, aller sur la file de droite. A donner le tournis à un GPS. Sans compter encore et toujours des travaux, des rondes de bulldozer, et un paysage un peu plus saccagé, car il va falloir bricoler. Les industriels du GIL réclament à cor et à cris une quatre voies, qui finalement débouchera sur un sac de noeuds. Cela démontre aussi que le suivi des dossiers n'est pas vraiment assuré, c'est bien gentil de phosphorer dans un SCOT, mais que ce genre de "détail" soit négligé est quand même significatif. Une fois de plus, malgré un article complet avec sa photo, Aubril apparaît tel qu'il est, un zigoto qui s'est encore une fois fait rouler. Bravo.
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