Journal de Lisieux, son canton, son Agglo et du Pays d'Auge, paraissant quand il a le temps
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ORDRE RÉPUBLICAIN
(terrorisme, Islam, insécurité, clandestins, dealers, nazebroques, chtarbés etc...)
MISE À JOUR DU 28.11.2023
LES PETITS JARDINS DU CRACK
(ou la salle de shoot de Lisieux)
C'était bien criminel
MISE A JOUR DU 01.07.2023 : Comme par hasard, l'immeuble entre la salle de shoot d'ESI14 à gauche et la porte d'entrée des camés à droite a été incendié. Ils ont fini quand même par cracher le morceau : l'immeuble visé est celui où résidait la jeune femme qui avait été assassinée par un type qui a été retrouvé en Croatie avec un complice. Ils en sont où ceux là, au trou, en fuite ? L'appartement était sous scellées, s'agissait il d'une vengeance par un complice, d'une action pour faire disparaître des preuves gênante pour un tiers ?
MISE A JOUR DU 20.03.2022 : On connaissait la colline du crack, avec ses zombies complètement camés, puis les salles de shoot de la Hidalgogol devant lesquels il faut slalomer entre les dealers et les épaves pour emmener les gosses à l'école, et bien nous voilà avec cette merde à Lisieux. C'est au 4 rue des Petits Jardins, la fameuse rue en sens interdit dans les deux sens. Bon le cas est moins grave qu'à Paname où en plus il faut éviter les poubelles en feu et les rats, mais enfin quand même. A la manoeuvre trois jeunots au look de gauchiasses crasseuses d'ESI 14, qui peuvent être aisément confondus avec leurs "clients". Evidemment la faune qui va fréquenter les lieux va attirer les dealers, comme cela se passe ailleurs. C'est sympa d'acheter sur place en circuit court et d'aller se shooter avec du "matériel stérile" (les seringues) ou des pipes gratuites (pour le crack mais pas que). Pour les dealers, l'endroit est idéal : il a un petit square pour planquer la chnouf, la surveillance par les chouffes mineures isolées facile. En plus il y a une épicerie fine à proximité, certains chalands étant eux aussi bien connus. Vu le site https://www.drogues-info-service.fr/Adresses-utiles/1147 il sont une bonne dizaine là dedans à materner les épaves au RSA, aux frais du contribuable, qui lui est prié de rester en bonne santé jusqu'à 64 ans pour allonger la monnaie. Il y a tout de même des choses bizarres : la jeune femme qui s'est fait assassiner résidait dans cet immeuble, son assassin très défavorablement connu des services de police ayant été retrouvé en... Croatie. Nom prénom siouplait.
LISIEUX BRÛLE T'IL ?
Cliché de... 2017 dans la zone de la rue Ferdinand Daulne, le même ?
MISE A JOUR 21.02.2022 : On ne peut pas dire que Lisieux soit vraiment ensauvagé, par contre ces incendies de véhicules sont récurrents, ce qui est une anomalie, et forcément la conséquence d'un laxisme et d'incompétences évidentes. Pour ceux qui ont lu "LA FRANCE ORANGE MÉCANIQUE" de Laurent Obertone, rappelons que ce journaliste d'investigation avait à l'époque recensé la montée de "incivilités" en s'appuyant sur la "PQR", en l'occurrence des journaux comme LE PAYS D'AUGE et l'EVEIL. Le problème est que ces informations ne franchissent pas la barrière locale, si bien que les responsables, élus, préfets, poulets et perdreaux à plumes bleues se contentent de pleurnicher et s'arranger pour faire fermer leur gueule aux victimes. On remarque dans cette série d'incendies que cela a débuté cité Adeline et s'est terminé Chemin du Moulin (contrairement à ce que nous avions dit en premier), hors du nazebroque traîne la nuit dans l'espace vert de l'usine Castres, ça picole et se came. On se rappelle que de nombreux incendies de véhicules et poubelles ont eu lieu par le passé rue Ferdinand Daulne. La maison poulaga n'a eu aucun mal à trouver l'incendiaire, qui cette fois a commis deux erreurs, chemin de la Cavée et chemin du Moulin les victimes ont eu beaucoup de chance de ne pas cramer dans leur maison. Tarif 20 ans. Un déséquilibré sans doute, qui les fois précédentes a bénéficié de la "mansuétude" des juges. Il aurait dû être surveillé de près, là, culture de l'excuse "tout le monde déteste la police". Du coup, pour éviter que toutes ces brêles (élus, juges, services sociaux) passent pour des billes ils l'ont quand même mis au gnouf. Mais un psychiatre woke va le relâcher, faut pas stigmatiser. Comme aucune tentative de contrôle des crasseux n'est effectuée, vu les pois chiches, ils s'enhardissent, d'autant plus que par les temps électoraux qui courent, le château minimise et s'écrase, et envoie le Phare de la Touques pleurer la misère dans le gilet (ou le sous-tif) des journalistes. Ils ne peuvent même pas arguer qu'avec la pôôôlice municipale ça va s'arranger, car ces flics au rabais seront la nuit dans leurs couettes à lutiner les miches de bobonne. Que notre boxé Onc' Donne Sous ne vienne pas se plaindre, votre serviteur lui a expliqué ce qu'il fallait faire.
"BORDEL" VICTOR HUGO
"ILS" CHERCHENT UN
BOUC ÉMISSAIRE
MISE A JOUR DU 24.07.2021 : Ca tourne mal pour le château et la maison poulaga, car les riverains commencent à poster des témoignages sur leurs pages facebook (nous ne les citons pas pour raison de sécurité, il faut prendre en compte le fait que les "chahuteurs" sont armés de couteaux, et disposent d'informateurs pouvant dénoncer d'éventuels habitants du quartier ou commerçants protestataires). Donc la nuit dernière le "bordel" a continué de plus belle c'est vendredi. Ce soir samedi il faut s'attendre à tout vu que le temps est à l'orage. Selon une source généralement bien informée, le Sous-Préfet, qui marque à la culotte les élus, aurait sourcillé et lancé des convocations à certains protagonistes, dont sans doute le bouc émissaire désigné, afin de lui faire porter le chapeau. On ignore si les principaux intéressés par la vente sur place à leurs copains sont convoqués. Certains commencent à émettre des doutes quant à d'éventuelles "protections" des fautifs potentiels, qui seraient dans les petits papiers d'élus vus en train de fricoter. Lorsque le vilain maire de Lisieux nous a menacé de faire appel à la pôôôlice pour nous virer, c'était un certain Sébastien Meunier, commandant de son état qui représentait le commissaire. Dans ces cas là, pour éviter une x-ième descente des boeufs-carottes (IGPN) il vaut mieux se border et au moins faire semblant de sévir, vous allez voir ce que vous allez voir. C'est ainsi qu'au lieu de coxer le wesh wesh ou le kouffar bourré à 3h du mat sur les Champs Ravagés Lexoviens, une opération de diversion a eu lieu pendant 2h, après la sieste au commissariat, de 15h30 à 17h30. Le pire est qu'ils en ont gaulés, c'est dire. A suivre...
MISE A JOUR DU 21.07.2021 : Comme je vous l'ai indiqué précédemment, avant de s'aventurer sur le terrain glissant du maintien de l'ordre, il vaut mieux faire un peu de renseignement d'abord, c'est d'ailleurs une de mes spécialités, certains et non des moindres s'en sont aperçus à leurs dépends. Car le capharnaüm sur la place Victor Hugo est la conséquence de la légèreté, l'aveuglement, l'irresponsabilité du maire en matière de sécurité, de son premier adjoint à tout et à rien, et de notre "maison poulaga" en "sous effectifs", surtout la célèbre "brigade de la mort" nocturne. Le manque d'anticipation est flagrant, je les avais pourtant prévenus. Mais non, ce n'était pas politiquement correct alors on laisse faire et un beau jour patatras. Le "bordel", qui couvait à mon avis depuis longtemps du fait de la disposition des lieux, du comportement de deux commerçants et de la composition de leur clientèle, a éclaté véritablement le soir de la rencontre entre l'équipe d'Afrique tricolore et le Portugal. Encore heureux que c'était match nul, car sinon... Un attroupement s'est formé sur l'avenue, entre Lisieux Burger et le bar La Famille avec débordement sous l'arcade. Un des autres bistrots, voyant les ennuis arriver, a effectué un repli stratégique de ses clients sous sa terrasse. La foule était composite, mais à dominante "déboulés de HOTVIL" + les "connaissances" de cités radieuses lointaines, mais aussi du "blancos", dont des clients des deux commerces susdits. Là, ce fut fantasia chez les ploucs, avec rodéos, berlines vrombissantes avec rap à donf, wesh-wesh énervés, le tout dans un nuage de fumée où il n'y avait pas que du tabac. Evidemment, pas un flic à l'horizon, qui ont assisté au spectacle grâce aux caméras existantes, le déplacement des énergumènes depuis HOTVIL n'est tout de même pas passé inaperçu. C'est une x-ième démonstration que les caméras ne servent à rien, seul le rapport de force sur le terrain et le ciblage des leaders marche. Il y a eu quelques explications de gravures au commissariat, certains ayant anticipé les manoeuvres pour éviter de porter le chapeau. Ils cherchent bien un bouc émissaire, la cible idéale dans la Macronie radieuse étant le mâle blanc hétérosexuel de plus de 50 ans. Il se dit qu'un des profiteurs de ces fiestas aurait tenté d'intimider. Encouragés par cette première prise de contrôle, plusieurs soirs de suite, le cirque a recommencé. D'où la réunion incongrue du 13 juillet, les poulets et les citoyens ont autre chose à faire la veille du 14 juillet. Panique à bord, Lisieux devient Chicago. Mais la réunion d'où nous avons été virés par le malotru "méchant" et mal élevé qui nous sert de maire a quand même réuni une quarantaine de personnes. Les premiers témoignages arrivent : tout va bien, tout est résolu. Ben voyons. Il s'est surtout passé que les deux profiteurs ont chapitré leurs "connaissances" pour calmer le jeu avant que leur bizness soit perturbé avec la fermeture administrative qui leur pend au nez. En tous cas, la consigne aux riverains est la suivante : faites vous discrets, car sinon vous allez vous faire repérer, et les méthodes des allogènes et de leurs acolytes autochtones on les connaît : intimidation sournoise, dégradations en particulier des véhicules, menaces. Vous savez maintenant que les voyous ont des "correspondants" sur place qui peuvent prendre connaissance de vos faits et gestes. Et n'hésitez pas à harceler la mairie, ils sont officiers de police judiciaire, ils assument. Comme d'hab, les innocents du château ont proposé de... rajouter des caméras, alors qu'il y en a déjà suffisamment et que cela ne résoudra pas de problème, car à un moment faut sortir du bocal du commissariat, opération risquée compte tenu des multiples rixes visant les policiers, en toute impunité, qui se répandent dans l'ex doulce France. D'ailleurs, la racaille est tellement terrorisée que le soir du 14 juillet le futur Hôtel de Police Municipale à HOTVIL était cerné par les flammes. Placer ces locaux à l'endroit le plus chaud de la ville et haut lieu du trafic de drogue, il faut vraiment être un simplet de choc. Message reçu 5 sur 5. Les jours de ce local sont comptés, et il va y avoir des difficultés de recrutement, car aller y bosser c'est se faire repérer.
MISE A JOUR DU 17.07.2021 : Sauf erreur, rien n'a filtré officiellement de la réunion sous pression du 13/07, silence on se dégonfle. Dans la foulée dans la nuit du 14 au 15, la prise de possession territoriale à HOTVIL récurrente s'est produite, juste devant les futurs locaux de la police municipale, le message a été reçu 5 sur 5 par la racaille. Incendier un futur commissariat, c'est quand même le pied. Vous allez voir que notre futur grand chef à plumes de la police municipale va être obligé de se réfugier à la mairie, aller travailler dans ses futurs locaux tout seul comme un grand va devenir risqué. Deux exemples de conséquences ci-dessous, pour l'intimidation des riverains qui se font bombarder au mortier, et comment se terminent des rodéos sur une voie où il n'y a pas de bordure de trottoir pour protéger les piétons et les gogols boboïdes branchouilles qui picolent en terrasse. Va falloir protéger les terrasses de la brillantissime civilisation multiraciale multiethnique derrière des blocs de béton comme une vulgaire foire à tout.
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TRÈS MAUVAISE SOIRÉE !
MISE A JOUR DU 14.07.2021 : Hier j'écrivais, "mauvaise soirée en perspective". Histoire de taper leur cirque boboïde, ils avaient déplacé le feu d'artifice de l'hippodrome, où il y a de la place et possibilité d'accès en automobile, à la Basilique dont le parvis est tout de même étriqué. Au passage ça fait de la pub pour la calotte, bon. Histoire de bien faire "chier le monde" et distinguer les "sans-dents" et autres "gilets jaunes" de la "haute pétée", la circulation était bloquée avenue de la Basilique (Jean XXIII), ce qui aurait semé un souk gratiné en ville, avec concentration de population sans précédent. Précision : je suis allé jeter un oeil quand même, ils avaient interdit le stationnement sur le petit parking où stationnent les camping-car, réservé cela va de soi aux huiles (gardé par ANEAS, une société de sécurité avec des loustics en treillis noir (dessinés par Hugo Boss ?) avec les rangers qui brillent). Vous avez dit arrogance et mépris ? Le "marché nocturne" c'était pas ça non plus, il va falloir arrêter ces zozoteries. Le clou du spectacle a eu lieu à l'Espace Victor Hugo, pour la réunion sur le foutoir des "Champs Elysées lexoviens". Le cas devient de plus en plus intéressant car au fur et à mesure que les témoignages arrivent, on se rend compte que les trouillards du château ont laissé s'installer progressivement une prise de possession territoriale de cette zone par une faune où manifestement figurent des islamo-racailles aux côtés de punks à chiens et bobos trottinettes, voire de migrants et de clandos, vu les rodéos avec les BM et "Benz-Benz-Benz" rutilantes. Comme je l'ai déjà dit, deux conneries ont été faites : étendre les terrasses, ça c'est le roitelet, et en rajouter une couche avec des extensions "covid", ça c'est PIREQUE. On apprend au passage que des dégradations sont commises sur les véhicules (plusieurs auraient brûlé en ville silence dans la presse aux ordres), et il est manifeste que les commerçants sont très inquiets de la santé de leurs vitrines. Ce qui explique sans doute qu'ils n'étaient pas "invités", ni les présidents d'associations de commerçants, dont CAP LISIEUX. Le problème du maire et de son adjoint à la sécurité, c'est de se défausser pour pas passer pour des billes, surtout après avoir embauché un gugusse à 5000€ par mois pour monter une police municipale, qui sera bien incapable d'ailleurs sans renforts de gérer ce genre de rassemblement qui peut dégénérer à tout moment pour casser du flic et avoir un prétexte pour piller. Du coup il fallait limiter le nombre de personnes présentes pour mieux les endormir et les manipuler. Cette histoire étant pour votre serviteur un cas d'école qui se reproduit un peu partout en France, je me suis donc pointé à la réunion, incongrue un soir de 13 juillet où la police a autre chose à faire. En effet, les indices convergent, la racaille est en train de sortir de ses quartiers QRR et ZUS pour conquérir des territoires en zone urbaine centrale. Et donc tous les Lexoviens sont concernés, le risque est de se retrouver dans son véhicule, en famille, piégé au milieu d'énergumènes surexcités. Le résultat ne s'est pas fait attendre, Sébastien LECLERC, de manière très agressive et malpolie m'a ordonné de partir avec un et hop ! qui m'a quelque peu déplu, révélant ainsi sa nature dont nous avons entendu parler à plusieurs reprises durant la campagne des cantonales, menaçant de faire appel à la police, qui... était là. Il ne va pas l'emporter en paradis, car ce genre d'altercation, ça motive. On finira par savoir ce qui s'est dit. Maintenant, pour la maison poulaga, les services de renseignement, la préfecture et la justice il va falloir la jouer fine, car pour éradiquer ce "bordel" bien installé, il faut être méthodique, savoir qui est présent, qui pousse au crime (cafetiers, fast food, dealers ou les trois à la fois), cibler les leaders, etc... A coups de fermetures administratives, de couvre-feu, d'interdiction de séjour, de harcèlement préventif, ça peut rentrer dans l'ordre. Evidemment, ceux qui contrôlent les lieux vont rapidement s'apercevoir que la rigolade est terminée, il faut donc s'attendre à des agressions, des dégradations par vengeance. Ce sont des crapules, gare aux couteaux "à la gorge". Je rappelle à notre maire que le 24 mars 2020 il a reçu un mail qui le prévenait avec prémonition de ce qui est en train de se produire ! Je sais faire à votre disposition.
MISE A JOUR DU 13.07.2021 : Vu les témoignages des riverains de l'avenue Victor Hugo on est au bord de l'émeute, avec des zombies qui traînent et poussent des braillements jusque vers les 3/4 heures du matin. Une dame se serait fait agresser à 6h du matin à un distributeur de billets. Il a fallu demander des renforts venus de Caen, entre deux c'est l'anarchie et les passants sont en danger. On m'a signalé également un énergumène en djellaba... Réunion ce soir à l'espace Victor Hugo en présence du commissaire et des petits marquis du château à 18h30. Ce matin les ASVP ont eu bien du mal à dégager les véhicules ventouses des riverains titulaires d'un abonnement. Ce qui prouve bien qu'avoir supprimé des centaines de places dans ce coin pour le transformer en terrain de jeu pour noctambules avinés était une connerie, merci Bernard et sa bande d'idiots de ville. Tout cela pour mettre en place un x-ième marché de bimbeloteries Chinoises sur la place Boudin Desvergées. Cerise sur le gâteau de la soirée d'enfer, l'interdiction de la circulation ave de la Basilique et les rues avoisinantes jusqu'au cimetière, ce qui va rendre l'accès au parvis de la Basilique difficile, c'est carrément une randonnée. Ces "zélus" qui en ont plein la gueule des handicapés, de la veuve et de l'orphelin, éliminent d'office les personnes à mobilités réduites. Pas sympa. N'étant pas vacciné, pas trop envie de me mélanger à une foule de gogols morts de trouille qui croient être protégés, et vont se contaminer au variant delta comme des malades. On verra le feu d'artifice de loin...
GROSSES TEUFS AVE V. HUGO
MISE A JOUR DU 12.07.2021 : Cela devait arriver, à force de donner dans le genre d'jeun's branchés, d'autoriser des extensions de terrasses (gratuites), d'encourager du boucan à la Mosaïc en plein air comme samedi, cela a inspiré les nazebroques et autres chtarbés, les alcoolos, les zombies complètement allumés et j'en passe, à se défouler. Le teufeur, c'est un grégaire, du coup il tape son cirque en groupe, et si en plus il peut se faire du flic ou un élu, c'est un plus. L'avenue du Sahara (le "cours" Victor Hugo), déserte la journée, voit se regrouper se soir dans deux bistrots et un fast food oriental pas très catholique, puis sous l'arcade, un ramassis de braillards dans un état second qu'il vaut mieux éviter. Il est évident que l'extension des espaces piétons favorise l'agglutination et la densification, et ce ne sont pas les deux pauvres poulets de la patrouille de nuit qui peuvent se risquer à intervenir, puisque tout le monde déteste la police c'est bien connu. Du coup l'article bizounours du Pays d'Auge apparaît quelque peu décalé, on n'est plus dans le registre "Champs Elysées" mais bientôt colline du crack ou le parc Eole. La réalité pour les habitants est devenue très éloignée des élucubrations branchouilles que nous avait décrites l'artiste du cabinet Laverne qui a pondu ce qui est devenu un foutoir pour 1M€. Bref, dormir du sommeil du juste en ville devient compliqué. Et ça va continuer, car le château fait tout pour cacher la suite, à savoir la réplication abrutie de l'extension des terrasses en particulier place du gal de Gaulle. On vous avait pourtant prévenu il y a quatre ans déjà, personne n'a bougé, on a été même critiqués comme mauvais coucheurs. Et bien maintenant, c'est BFPTG (Bien Fait Pour Ta Gueule copyright Préfet Lallement). Une "réunion" serait programmée mardi à 18h30, la soirée va être chaude avec le feu d'artifice enclavé à la Basilique et un marché nocturne place Boudin-Desvergées (rappelons que le roitelet déchu voulait torpiller le marché place de la République et a fait installer discrètement des prises de courant sur cette place et aux alentours). Méfiance donc, car ce marché pourrait bien servir d'argument pour poursuivre l'oeuvre de destruction de "Nanard". Souhaitons que la météo refroidisse les esprits, sinon ça va se terminer à la baston avec les pandores.
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